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EAN : 9782351850701
134 pages
Temps Présent éditions (02/09/2010)
4/5   2 notes
Résumé :

Alors que les religions grecques, latines, égyptiennes, hindoues – entre beaucoup d'autres – nous ont livré des représentations de leurs divinités, celles du Livre recèlent un profond et irritant mystère : il n'existe aucune image théologiquement reconnue du dieu de la Bible.

- Y a-t-il une raison précise à ce vœu explicite de YHWH?
- Pourquoi voulait-il cacher à tout prix son corps et son visage à tout le monde ?

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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
En faisant abstraction de toute croyance et hors contexte religieux, les auteurs s'interrogent sur le véritable sens de certains écrits énigmatiques de l'Ancien Testament et textes issus d'autres civilisations.
Cet ouvrage rejoint le courant du néo-évhémérisme (nom inspiré du philosophe grec Evhémère).
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Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
Une autre caractéristique de YHWH est sa relative invisibilité. Quand il adresse ses recommandations au peuple hébreux, il le fait presque exclusivement par l'intermédiaire d'un support auditif. Sa voix est le vecteur de communication avec le peuple élu.
Mais cette voix peut également tonner et être entendue de tous :
< < Ces paroles, l’Éternel les adressa à toute votre assemblée sur la montagne, du milieu des feux, des nuées et de la brume, d'une puissante... > > (Deutéronome 5, 19)
< < Or, quand vous eûtes entendu cette voix sortir du sein des ténèbres, quand la montagne était en feu... > > (Deutéronome 5, 20)
C'est donc par l'intermédiaire de son discours, et de ses actes afférents, qu'il est possible de dresser le profil psychologique de cette entité.
YHWH nous apparaît comme un personnage au caractère instable, versatile, impulsif, rancunier, colérique, jaloux, possessif, et miné par une soif de reconnaissance et un évident complexe de supériorité.
[...] Son impulsivité le conduit à des réactions immédiates, violentes. (...) Cette instabilité émotionnelle amène YHWH à commettre des actes incohérents.
Après avoir créé l'humanité, il chassa peu après Adam et Eve du jardin d’Éden. Les hommes se multiplièrent, puis : < < ... l’Éternel regretta d'avoir créé l'homme sur la terre et il s'affligea en lui-même > > (Genèse, 6, 6)
En conséquence, il décida d'effacer l'humanité de la surface de la Terre.
Le Déluge s'ensuivit. Noé, une fois son arche échouée, fit un holocauste des animaux qu'il avait sauvé. Alors : < < L’Éternel aspira la délectable odeur, et il dit en lui-même : désormais je ne maudirai plus la terre à cause de l'homme (...) désormais je ne frapperai plus tous les vivants comme je l'ai fait > > (Genèse, 8, 21)
Il a donc suffi du fumet d'un sacrifice agréable à ses narines pour que YHWH décide de ne plus anéantir l'espèce humaine.


Ce qui frappe d'emblée à la lecture de l'Ancien Testament, c'est le goût prononcé de YHWH pour le sang. Dès la Genèse, quand Caïn verse le sang de son frère Abel (Genèse 4, 10.11), non seulement Dieu ne le punit pas, mais le marque d'un signe pour que personne ne le tue à son tour :
< < L’Éternel lui dit : Aussi quiconque tuera Caïn sera puni au septuple. Et l’Éternel le marqua d'un signe, pour que personne, le rencontrant, ne le frappât > >
YHWH apprécie donc à ce que le sang soit versé. La circoncision, acte de mutilation sanglant, demandé par YHWH à Abraham et sa postérité (Genèse 17)
Épisode fort connu, nous est livré par la tragique mort des premiers-nés égyptiens (Exode 12). Afin que YHWH puisse distinguer les maisons des Hébreux de celles de leurs persécuteurs, Moïse, sur les instructions du dieu, fit badigeonner de sang linteau et poteaux des portes de leurs demeures. C'est ainsi que les Hébreux n'eurent à déplorer aucune victime.
D'ailleurs, dans les prescriptions du Lévitique, on retrouve du sang à longueur de pages.
Ces exemples édifiants nous montrent le côté obscur, sanguinaire, de cette déité, peu mis en évidence par les exégètes.
Ainsi, lors de l'Exode, Moïse et les Lévites exécutèrent-ils de leurs glaives plusieurs milliers d'entre eux, qui avaient adoré le veau d'or :
Il leur dit : < < Ainsi a parlé l’Éternel, Dieu d'Israël : Que chacun d'entre vous s'arme de son glaive ! passez, repassez d'une porte à l'autre dans le camp, et immolez, au besoin chacun son frère, son ami, son parent ! > > Les enfants de Lévi se conformèrent à l'ordre de Moïse... (Exode 32, 27, 28)


YHWH était avant tout un dieu craint par son peuple et non aimé de la multitude. La rapidité avec laquelle les Hébreux se détournaient de lui pour adorer, soit un veau d'or, soit un Baal, soit Astarté, le démontre amplement. Ce qui, évidemment, ne contribuait nullement à resserrer le lien unique avec un YHWH à la fureur exaltée.
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YHWH insiste toujours sur le fait qu'il ne désire contempler aucune représentation de lui-même.
Dieu dit : faisons l'homme à notre image, selon notre ressemblance.
YHWH était vraisemblablement une créature bipède.
Parlons de ses pieds, justement. Ils sont mentionnés dans deux passages de l'Exode. Le premier, lorsque Séphora (Cippora), la femme de Moïse, circoncit dans l'urgence son fils et jette le prépuce aux pieds de YHWH (Exode 4.25).
Dans le second, Moïse, Aaron, accompagnés des anciens purent contempler ses pieds alors que YHWH se trouvait sur le mont Sinaï :
< < Ils contemplèrent la divinité d'Israël. Sous ses pieds, quelque chose de semblable au brillant du saphir, et de limpide comme la substance du ciel. > > (Exode, 24.10)
Des allusions à ses mains, ses doigts, peuvent être relevées dans plusieurs extraits bibliques où il est question de la transcription des paroles divines :
< < Dieu donna à Moïse, lorsqu'il eut achevé de s'entretenir avec lui sur le mont Sinaï, les deux tables du Statut, tables de pierre, burinées par le doigt de Dieu. > > (Exode, 31.18)
< < Reconnaissez les enseignements de l’Éternel, notre Dieu, sa grandeur, sa main puissante et son bras étendu. > > (Deutéronome, 11.2)
Biens entendu, il pourrait aussi s'agir ici d'une métaphore pour souligner la grandeur et la puissance de la divinité.
Son dos est cité dans un unique passage :
< < Le Seigneur ajouta : il est une place près de moi. Tu te tiendras sur le rocher ; puis, quand passera ma gloire, je te cacherai dans la cavité du roc, et je t'abriterai de ma main jusqu'à ce que je sois passé. Alors je retirerai ma main, et tu me verras de dos ; mais ma face ne peut être vue. > > (Exode, 33, 21-23)
La mention du visage de YHWH se retrouve notamment dans deux allusions de l'Exode et du livre des Nombres :
< < Or, l’Éternel s'entretenait avec Moïse face à face, comme un homme s'entretient avec un autre. > > (Exode, 33.11)
< < Moïse est mon serviteur ; de toute ma maison c'est le plus dévoué. Je lui parle face à face, dans une claire apparition et sans énigmes ; c'est l'image de Dieu même qu'il contemple. > > (Les Nombres, 12, 7-8)
Ces extraits nous montrent l'image d'une divinité anthropomorphe, bipède, dotée de pieds, de bras, de mains, de doigts, d'un buste, d'une tête et d'un visage, mais dont les textes ne citent presque jamais les particularités physiques.
Si nous avons ajouté le mot "presque", c'est qu'un passage au moins des Écritures nous donne une image, disons... exotique, de cette divinité. Citons l'extrait en question, une prière adressée à YHWH :
< < Garde-moi comme la prunelle des yeux, abrite-moi à l'ombre de tes ailes, contre les méchants qui me tyrannisent... > > (Psaume 17, 8-9)
"L'ombre de tes ailes..." Ainsi YHWH est ailé. Comme nous le disions déjà, le passage de la Genèse où il est question de la création de l'homme à l'image de Dieu, est à prendre avec beaucoup de précautions.
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Voici une question qui mérite d'être posée : Y a-t-il eu un YHWH ? ou bien plusieurs déités remplirent-elles ce rôle, tout au long de l'histoire d'Israël ?
L'insistance avec laquelle YHWH stipule qu'il est l'unique, le seul et véritable dieu, peut paraître suspecte, à juste titre, lorsqu'on pénètre un peu mieux sa personnalité, toute en paradoxe et contradictions.
En lisant d'un trait la Bible, on se rend compte que les interventions divines mentionnées pourraient être le fait d'au moins trois entités différentes, pour les seuls livres de la Genèse, qui avait créé l'homme "à son image" n'est visiblement pas le même qui contacta Abraham (Genèse, 12) et demanda la circoncision comme marque de reconnaissance pour "son" peuple. Dieu avait-il créé l'homme du jardin d’Éden imparfait ?
Quoi qu'il en soit, il semblerait que YHWH ait oublié son peuple durant les quelques siècles qu'il passa en Égypte. Est-ce qu'il s'agit toujours de la même divinité lorsqu’elle s'exprime ainsi devant Moïse :
< < Je suis l’Éternel. Je suis apparu à Abraham, à Isaac, à Jacob comme divinité souveraine ; ce n'est pas en ma qualité d’Être immuable que je me suis manifesté à eux > > (Exode 3,3)
Cette divinité effectue d'elle-même le distinguo entre elle et les apparitions de jadis. C'est une entité différente, car sinon pourquoi aurait-elle eu besoin d'ajouter ceci, à l'adresse de Moïse :
< < Je vous adopterai pour peuple, je deviendrai votre Dieu. > > (Exode 6, 7)
Ne l'était-il pas déjà auparavant ?
Son nom même est sujet à débat. Le tétragramme YHWH est une succession de quatre consonnes dont les voyelles n'étaient jamais écrites. Faut-il alors prononcer Yah ? Yahwé ? Jehovah ? (...)
Ce qui est certain, par contre, c'est qu'aucune mention du terme "Dieu" n'est utilisée dans l'Ancien Testament pour évoquer cette entité. C'est une version en grec de la Bible, la Septante, qui a rendu le nom de YHWH par Théos, et l'a popularisé ; la Vulgate latine suivant cette voie en traduisant Théos par Deus. Alors que les véritables dénominations de la divinité hébraïque se trouvent être, le plus souvent, El, Elohim, YHWH ou Adonaï.
Comment s'étonner de cette étonnante diversité de titres et de théonymes, quand on connaît la difficulté de cette déité à se définir elle-même ? A la question : qui es-tu ? ses interlocuteurs n'obtiennent que des réponse vagues, embarrassées, ambiguës. Il se présenta à Moïse comme "l’Être invariable" (Exode 3, 14), selon la traduction du texte original par le rabbinat français : "Je suis qui je serai" (...)
A la question de Josué : < < Es-tu des nôtres ou un de nos ennemis ? > > (Josué 5, 13), il se présenta simplement comme le chef de la milice du Seigneur.
A Jacob (Genèse 32, 30), il répondit par une autre question : < < Pourquoi t'enquérir de mon nom ? > >
Un dernier exemple, qui ne dissipe nullement le flou sur son identité. Lorsque Manoah, futur père de Samson, rencontra un "ange de Dieu", il lui demanda son nom. Celui-ci répartit :
< < A quoi bon t'enquérir de mon nom ? c'est un mystère > > (Les Juges 13, 18)
YHWH connaissait-il lui-même son propre nom ? Bien qu'il ait une préférence pour Adonaï (Exode 34, 6), il est légitime d'en douter.


Ce qu'il s'agit bien de comprendre, c'est qu'il est impossible à l'homme de distinguer YHWH d'un de ses anges.


[...] Gédéon (Les Juges, 6) dialogua ainsi avec deux entités, présentées, l'une comme un "ange du Seigneur", et l'autre, comme l’Éternel lui-même.
Mais cette double présence divine peut être surtout déduite dans l'extrait de l'Exode où Moïse désire voir la Gloire de Dieu. YHWH se tenait près de Moïse sur un rocher, il l'abritait de sa main pour le protéger quand passait la Gloire. Et quand YHWH retira sa main, Moïse distingua la fin du phénomène, à savoir le "dos" de YHWH. Cette scène est difficile à visualiser, sauf si nous avons affaire ici à deux entités différentes, dont l'une se tient aux côtés de Moïse, et l'autre qui passe et s'éloigne.
[...] La Genèse nous en offre un cas flagrant, lorsqu' Abraham reçut la visite de trois personnages brusquement apparus devant lui, à l'entrée de sa tente, alors qu'il faisait une sieste durant les chaleurs de l'après-midi (Genèse, 18). L'un des trois YHWH, ainsi qu'on l'apprend au cours de la conversation, indiqua à Abraham qu'il allait se rendre à Sodome pour constater de visu les dépravations des habitants de cette ville et de celle de Gomorrhe. Deux des trois personnages quittèrent alors Abraham, lequel poursuivit, avec le dernier, toujours censé être YHWH, son célèbre dialogue sur le nombre de justes que comptait Sodome.
S'agissait-il de trois anges ? de YHWH accompagné de deux anges ? ou de trois YHWH ?

Avec YHWH, nous avons donc affaire à une divinité rongée par des interrogations sur sa propre identité. Est-elle collective ? Individuelle ? En refusant de se nommer, en utilisant une fonction ou un subterfuge, elle montre un déni de soi évident. C'est là le paradoxe d'une conscience collective confrontée au désir de l'unicité. La non-reconnaissance par autrui de ce vœu engendre dépit et fureur, détournant ainsi les fidèles encore un peu plus de cette déité tourmentée. Comme le remarquaient déjà les commentateurs anciens, YHWH est une impasse théologique.
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La différence de taille entre des humains qui conservaient des aspects reptiliens flagrants et d'autres qui affichaient un caractère mammalien de plus en plus marqué, fut la conséquence d'une lutte pour la survie entre ces deux souches issues "de l’Éden".
[...] Après le déluge, la plupart des rescapés de ces géants reptiliens et leurs descendants s'éteignirent progressivement ou furent exterminés par les guerres successives des Hébreux sous la conduite de YHWH. Ne subsistèrent plus que les humains mammaliens, dont les rares traits reptiliens disparurent au fil des générations pour n'en laisser subsister aucun chez l'humain contemporain.


[...] A une époque donc, dès l'ère Secondaire selon les datations en vigueur communément admises, des humains géants côtoyèrent les dinosaures. Il est malheureusement impossible de déterminer s'ils possédaient eux-même des caractéristiques reptiliennes. Ce serait pourtant logique puisque quasiment toutes les créatures géantes de cette période étaient d'essence reptilienne.
Une humanité géante, que nous soupçonnons posséder quelques traits reptiliens, disparut ainsi en même temps que les dinosaures dans le cataclysme qui mit fin à l'ère Secondaire. Et cette fois nos sources proviennent non de textes théologiques mais d'une science : la géologie.
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Les monothéismes judéo-chrétiens reconnaîtront des serpents dans les Séraphins, une catégorie d'anges célestes au service du Dieu unique. Ils tirent leur nom des "Séraph", ces 'serpents brûlants' qui officièrent dans le désert au service de YHWH.
Il y a aussi l'histoire des anges déchus, ceux qui copulèrent avec les femmes humaines parce qu'elles étaient belles. Ils en eurent des enfants : les géants (Genèse 6,1-4) Dans un écrit apocryphe, dont il ne nous reste malheureusement plus que des fragments, le 'Testament d'Amram', ces anges avaient un visage long et étroit, comparé à celui d'une vipère. Dans le second 'Livre d'Hénoch', nous apprenons en outre qu'ils étaient d'une hauteur démesurée, avec un visage brillant, des mains plus blanches que la neige, et des ailes dorées (II Hénoch 1, 2) Dans un autre passage, Hénoch les décrivit ainsi :
< < ...leurs faces étaient semblables à de grandes vipères, leurs yeux à des lampes éteintes et leurs dents découvertes jusqu'à leur poitrine. > >
Précisons que selon le même auteur, l'un des anges déchus qui copulèrent avec les femmes humaines s'appelait Gadre'el ; et lui aussi "aurait séduit Eve" (Hénoch 69, 6)


YHWH détruisit une première humanité lors du déluge. De ces géants nés des anges ne survécurent que Noé et les membres de sa famille. Dans le premier 'Livre d'Hénoch, on évoque son physique car il ressemblait étrangement aux Veilleurs, aux anges déchus. Même la Bible semble se faire l'écho d'anomalies corporelles affectant le fils de Lamek. Un jour d'ivresse, Noé se retrouva nu sous les yeux de son fils Cham (Genèse 9, 20 et s.) Dessoulé, Noé maudit son fils. Qu'avait-il aperçu de si répréhensible ? des écailles de serpent ? une queue de reptile ? des embryons d'ailes ?
De ce que l'on peut déduire de divers textes, un dieu reptilien, YHWH, entouré de vassaux de la même espèce (le serpent du jardin d’Éden, les Séraphins, les anges qui déchurent...) crée une nouvelle race, hybride, ayant les caractéristiques de traits mammaliens, tels Adam et Abel ; tandis que chez Eve et Caïn ressortirent avec plus d'acuité le côté reptilien.
Les unions sexuelles qui commencèrent sans doute avec YHWH et se poursuivirent entre d'autres reptiles de race pure (les anges déchus) et les hybrides de la lignée d'Adam ou de Caïn (les "femmes belles à voir") eurent pour conséquence la prolifération d'une progéniture géante aux mœurs répréhensibles. Voilà ce que nous révèle à ce propos le patriarche Hénoch : < < Les anges prirent pour eux des femmes, une pour chacun d'eux, et ils se mirent à les approcher et à se souiller à leur contact. Ils leur enseignèrent les drogues, les charmes, la botanique et ils leur montrèrent les herbes. Les femmes conçurent et enfantèrent des géants, hauts de trois mille coudées qui dévorèrent tout le fruit du labeur des hommes, si bien que les hommes ne purent plus les nourrir. Les géants se liguèrent contre eux pour les tuer et dévorèrent les hommes. Ils se mirent à pêcher contre toutes (les bêtes), oiseaux, quadrupèdes, reptiles, poissons et à se dévorer entre eux. Ils burent le sang. Alors la terre accusa les criminels pour ce qui y avait été fait > > (I Hénoch, 7)
Ce passage nous montre à la fois la grandeur démesurée de ces créatures, leur vorace appétit et les conséquences dramatiques d'un manque de nourriture les concernant.
Les textes ougaritiques semblent également se faire l'écho de ces traditions.
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