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Critique de bdelhausse


Difficile de se réinventer au bout de 30 tomes. Comme on avait pu le deviner à la fin du tome 29, Eugène, Michonne et les envoyés de la Communauté tombent dans une sorte de guet-apens. Les gardes ressemblent à des storm troopers, je goûte assez peu cette sorte de clin d'oeil. Ils découvrent une ville de 50.000 habitants, savamment redécoupée en classes, sous la coupe d'une "gouverneuse" dont le fils n'est qu'un gosse pourri-gâté.

C'est très tape-à-l'oeil, mais sous de beaux atours, le verni craque. Air connu, de nouveau. Vu qu'on a déjà eu droit à de multiples, il faut jouer sur de nouveaux ressorts. Ou essayer. Michonne retrouve donc une de ses filles.

De manière générale, on décompresse et on pense à l'amour, que ce soient des sentiments purs ou des ébats physiques.

Cela dit, on tourne autour des mêmes rouages et il y a assez peu de surprises. Les auteurs nous disent quand même que la démocratie doit se réinventer, qu'elle est fragile, sans cesse en péril. Sous les belles apparences de la société menée par la gouverneuse, les gens parlent, râlent, fomentent une sédition presque. Mais la tension est à son comble quand Rick et la gouverneuse se rencontrent et confrontent leurs vision de la société idéale... Un nouvel ordre mondial, pour sûr.
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