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Critique de Pascalmasi
Ouvrage très bien construit et très pédagogique. Bravo aux deux auteurs. Nécessite de réelles bases en biologie cellulaire et évolutive.
La mort et son compagnon de route, le vieillissement, y sont abordés sans fard et sans pathos. Une exploration sans concession dans les réalités que peut proposer la science sur ce sujet peu abordé et donc peu connu.
Cet ouvrage propose une réelle plongée dans les mécanismes physiologiques de ce qu'est la mort et de ce qu'est le vieillissement. Pour les auteurs, la vie constitue toujours une sorte de "cohabitation" ininterrompue - dès l'instant de la procréation - entre des forces que l'on pourrait appeler de mort (pendant l'embryogenèse et tout au long de notre vie par ce qu'on appelle la mort cellulaire programmée/apoptose) et des forces dites de vie. Ce concept de cohabitation va donc à l'encontre de la conception généralement admise de la mort comme survenue d'un événement unique. Quant au dénouement final, il faut le voir davantage comme le résultat de la sélection naturelle que d'une nécessité extérieure à la vie. Bref, un ensemble de concepts très intéressants et sans doute très utiles dès lors que l'on accepte de réfléchir non pas seulement à la mort mais à se propre mort. Une excellente contribution de mon point de vue.
La mort et son compagnon de route, le vieillissement, y sont abordés sans fard et sans pathos. Une exploration sans concession dans les réalités que peut proposer la science sur ce sujet peu abordé et donc peu connu.
Cet ouvrage propose une réelle plongée dans les mécanismes physiologiques de ce qu'est la mort et de ce qu'est le vieillissement. Pour les auteurs, la vie constitue toujours une sorte de "cohabitation" ininterrompue - dès l'instant de la procréation - entre des forces que l'on pourrait appeler de mort (pendant l'embryogenèse et tout au long de notre vie par ce qu'on appelle la mort cellulaire programmée/apoptose) et des forces dites de vie. Ce concept de cohabitation va donc à l'encontre de la conception généralement admise de la mort comme survenue d'un événement unique. Quant au dénouement final, il faut le voir davantage comme le résultat de la sélection naturelle que d'une nécessité extérieure à la vie. Bref, un ensemble de concepts très intéressants et sans doute très utiles dès lors que l'on accepte de réfléchir non pas seulement à la mort mais à se propre mort. Une excellente contribution de mon point de vue.
