AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,03

sur 155 notes
5
9 avis
4
8 avis
3
5 avis
2
1 avis
1
2 avis
Etienne Klein, tiens-toi bien… à ne pas si méprendre avec la célèbre maxime musicale : « ♫Étienne, Étienne, oh tiens le bien… ♫ » qui n'est qu'une métaphore de qui a la plus grande ???? Moment de solitude, mais passons….

Étienne Klein, l'auteur de ce tract est donc un physicien, « quantitien », ingénieur, philosophe des sciences, vulgarisateur et auteur…. Rien que ça déjà, c'est plus Neymar que tu veux dans ton équipe de champion mais Étienne… Enfin si t'es curieux et pas trop porté sur les tendances capillaires du ridicule… Bref le mec parle vulgairement bien, et il écrit littérairement bien à l'échelle des plus novices d'entre nous dans les domaines qui sont les siens, et non les seins qui sont les miens, je le répète, la seule équation que je suis capable de comprendre reste la théorie orgasmique du .G

.G=( . )( .) + « (.) + ).( + 00===D –-

Enfin bref, moi je suis curieux, j'ai toujours été curieux, pourquoi, je n'en sais rien, des complexes certainement liés à une enfance pédagogique des plus chaotique, Dieu n'étant pas une solution rationnelle à mon problème existentiel, je me suis tourné vers des choses plus mathématiques, mais sans les maths, plus métaphysique, philosophique, plus « crobartique », un petit dés-sein et je commence à crier de joie, j'ai la comprenette plus visuelle qu'équationnelle.

J'ai commencé petit joueur, pour m'initier à la philo avec des auteurs (et non philosophe hein, soyons sérieux deux minutes) très contemporains comme Omfray, Spomtville, Ferry, bref des mecs capables de te donner quelques clés pour piger les grands penseurs d'antan, de l'antiquité aux lumières… Dans la logique des choses, les réponses que je recherchais m'amenaient vers d'autres questions plus vastes, et dans d'autres domaines telle que la cosmologie, la sociologie, l'anthropologie, la psychologie, la physique quantique etc… Pourquoi ? bah pour comprendre un tas de trucs dont tout le monde se branle… Mais qui ont tout de même une importance cruciale pour comprendre la magie de l'univers, rien que ça.

Le problème c'est que quand tu commences à t'enfoncer dans la curiosité, tu développes un esprit critique, tu deviens sceptique, tu apprends à te montrer vigilent face à ton cerveau reptilien qui te souffle des intuitions bien pratique face au danger immédiat mais pas très malin dans la réflexion contre intuitive, ça fait mal aux neurones et au synapses du coup, le plus souvent, on se pose le cul dans le canap, la main dans le pantalon ou chez la voisine, ou le voisin des fois qu'il soit réceptif à nos instincts les plus orgasmiques… Là tu t'enivres devant télé qui prend une place de choix dans ton cerveau biaisé de plein de trucs cognitifs… Et du coup quand on te demande :

Que pensez-vous de la chloroquine ?

Tu réponds : C'est efficace, mais cool Raoul, je m'y connais, j'écoute les experts qui se débattent le bout de désaccord à longueur d'ondes hertzienne…

Moi j'aurais répondu : « j'en sais foutre rien… » et le foutre je maitrise, vous n'avez qu'à demander à Étienne… le musical hein !

Depuis la crise du Covid, la bêtise s'étale de chaines en chaines, de bouquins en bouquins, nos philosophes de notoriété démesurée, parfois très bon pédagogue, mais très mauvais penseur, disserte d'une manière rhétorique parfaite, seulement dans la majorité des cas, c'est du n'importe nawak, en d'autre thermes ils racontent de la merde… Omfray, BHL etc… soit ils ont pété une durite, soit j'ai affuté mes sens, mes connaissances pour enfin comprendre qu'ils n'étaient que des « rhétoriciens » et non de vrai philosophe….

Bon je l'avais remarqué avant hein, mais je vous la fais courte, disons que je me suis rapproché de vrais chercheurs et de vrais experts pour enrichir mes non savoir… et mes incompréhensions encore trop nombreuses.

Bref Étienne face à un sondage du parisien qui étudiait l'opinion des français par rapport à la chloroquine, fut agacé, voir fâché, car la majorité a répondu : « Je sais » et la minorité : « je ne sais pas »

Du coup il explique sa façon de penser, notamment concernant les biais cognitifs, les faux experts qui se démocratisent avec des : « Je ne suis pas médecin mais…. Je sais que », la position délicate d'un gouvernement face une élite scientifique boudée, snobée, en désaccord parfois d'où la différence notable entre Doute= recherche / et Croyance = faits et preuves par l'expérience (la terre est ronde)

Je comprends son désarroi, les gens se foutent du pourquoi de leurs connaissances ou de leurs acquis, ignorent ce qu'ils ignorent, croient savoir ce qu'ils ignorent, dans une indifférence un peu flippante, se gargarisant d'émissions à la con bourrées de trouducs pas très malin qui n'aident pas à réconcilier les français avec l'esprit critique, le scepticisme, préférant l'incandescence des leds télévisuelles aux bouquins d'éminents spécialistes traitants chacun de leur domaine.

Ce tract est probablement inutile car les gens qui le liront seront déjà convaincus et auront déjà pigé le problème de la profonde bêtise qui nous unis dans un populisme à la con.

"Pour se rendre compte que l'on est bête il faut être intelligent" je l'aime bien celle-là... Car elle pourrait tout à fait être reformuler ainsi : Pour se rendre compte que l'on dit de la merde, il faut être intelligent... bah ils ne sont pas nombreux.

Donc merci monsieur Klein…Et à plus les copains
Commenter  J’apprécie          446
Deux mots sur ce court essai extrêmement clair et lumineux comme tous les textes d'Étienne Klein.
L'auteur s'appuie sur un sondage du Parisien datant d'avril 2020 ; à cette question complètement absurde : « D'après vous, tel médicament est-il efficace contre le coronavirus ? », 59 % des personnes interrogées répondent oui, 20 % non. Seules 21 % répondent qu'elles ne savent pas.
Bilan des courses : 80 % des gens répondent à une question dont ils sont dans l'incapacité totale de connaître la réponse.
Ahurissant…
Rapport complexe des hommes à la vérité…
Il apparaît tout d'abord que nous tenons pour vrai ce qui nous plaît, ce qui nous arrange, ce qui répond à nos voeux : autrement dit, nous aimons prendre nos désirs pour la réalité. Nietzsche prédit déjà en 1878 que « le goût du vrai va disparaître au fur et à mesure qu'il garantira moins de plaisir.» Donc, je juge faux ce qui me déplaît, ce qui me gêne, ce qui remet en cause mes convictions.
Par ailleurs, on a tendance à considérer comme vrais les propos des gens que l'on admire. J'aime X, il est beau, populaire, riche, du même parti politique que moi, donc ce qu'il dit est vrai.
Enfin, on aime parler des choses que l'on ne connaît pas. Et ce, avec un aplomb étonnant ! C'est une façon d'asseoir notre pouvoir. Ça fait con de dire « je ne sais pas ». Ça fait con de douter.
Alors, pour asséner notre vérité que l'on juge être LA vérité, on s'appuie sur notre intuition personnelle, notre expérience, notre vécu et l'on oublie que la science n'a rien d'intuitif et que les vérités scientifiques sont non seulement assez souvent contre-intuitives mais changeantes.
Le risque est que l'on finisse par considérer la science comme une « une croyance parmi d'autres ». de peur d'être manipulé, trompé, on la remet en question et on finit par douter de son existence. On arrive donc à une situation étonnante : on veut à tout prix la vérité mais on met en doute la parole des scientifiques. du coup, on ne croit plus en rien sinon en notre vision personnelle de la vérité.
Ce qui nous gêne aux entournures, c'est le fait que la vérité scientifique s'inscrit dans une temporalité longue à une époque où il faut aller vite. Et comme il est difficile pour les chercheurs interrogés par les journalistes de dire qu'ils ne savent pas, ils tombent dans le piège, lancent des hypothèses avant d'avoir de véritables preuves et cela se retourne contre eux.
Peut-être que pour tenter de résoudre ce problème, il faudrait que la science soit mieux partagée, or les canaux de communication actuels mélangent informations, croyances, opinions, commentaires. Tout est logé à la même enseigne, mis sur le même plan. Tout se confond sur la toile et donc dans l'esprit des gens.
Je vous invite à lire ce texte intelligent et très éclairant qui nous ramènera peut-être sur le chemin des Lumières dont on s'écarte dangereusement, plus ou moins volontairement d'ailleurs, tant il est confortable de vivre dans son petit cocon de certitudes…
Lien : http://lireaulit.blogspot.fr/
Commenter  J’apprécie          310
Quelle bonne idée de la part de Gallimard reprendre cette collection mensuelle « Tracts » en ces temps troublés ! Une collection qui vit dans les années 30 passer des signatures comme Gide, Giono, Romains et tant d'autres…
Et puis Etienne Klein, en Juillet 2020. Etienne Klein qui m'avait ébloui dans son « facteur temps ne sonne jamais deux fois », et tant de fois dans ses émissions de radio…
Ici, un court essai où l'on parlera de science, de philosophie, de pandémie, de politique.

Hum… Connaissant la rigueur scientifique de l'homme, un petit bouquin qui, avant lecture est des plus prometteurs…

Et puis, il y eut la lecture (?!)

Enfin, est venu le temps (puisqu'il s'agit d'Etienne Klein, obligé…) de l'après lecture…

Vous m'avez bien déçu Monsieur Klein !

Un texte court, pourquoi pas, on est dans le « Tract », certains pamphlets ne manquent pas de vigueur. Mais là, à part quelques portes ouvertes enfoncées, quelques truismes énoncés comme des théorèmes, rien de bien nouveau sous le soleil… et des démonstrations dignes du café du commerce.
Exemple page33 : « sur nos paquets de cigarettes, il est écrit non pas ‘' fumer déplait à Dieu ‘' ou ‘' fumer nuit au salut de votre âme ‘', mais ‘' fumer tue ‘'. Preuve qu'un discours scientifique portant sur la santé du corps a fini par détrôner un discours théologique qui, lui, aurait porté sur le salut de l'âme. » affligeant !
Quelques fulgurances : « Les lignes de démarcation entre ce qu'on sait, ce qu'on croit savoir, ce qu'on sait ignorer, ce qu'on ignore sans savoir qu'on l'ignore, n'ont cessé de hanter les philosophes. Amusant, non ?
Dernier point. Quant on écrit à juste titre que « Les sciences progressent par l'organisation collective des controverses scientifiques. », il est grotesque de n'opposer aux théories du GIEC au sujet du caractère anthropique du réchauffement climatique, que les « clowns lyriques » Trump et Bolsonaro , quand Vincent Courtillot alimente la controverse scientifique de de façon très argumentée…

Oui, Monsieur Klein, vous m'avez bien déçu…
Commenter  J’apprécie          290
Texte en réaction à certains discours autour du covid et des sciences , écrit par un scientifique pointu, a été tout à fait compréhensible pour l'ignare que je suis.

Si l'on a envie d'être plus ouvert, moins aliéné aux blablas des infos ou des réseaux sociaux, si l'on veut prendre un peu de recul et réfléchir- ce n'est pas prise de tête, l'entorse du cerveau ne nous guette pas - il faut lire ce court ouvrage qui nous remet deux trois idées en place et nous arme face aux auto-proclamés spécialiste de n'importe quoi .
Lien : http://theetlivres.eklablog...
Commenter  J’apprécie          190
Très bon et court essai sur le vérité, le savoir mais aussi sur l'homme et sa soif d'explications, de réassurance.

L'auteur nous explique la science et ses doutes constants, son temps de réponse, sa méthodologie de recherche. Face aux autoproclamés immunologie, chercheurs forts de leurs convictions. La crise du COVID a fait émerger le pire de l'humanité. Dommage que la bêtise n'ait pas été un facteur aggravant.
Commenter  J’apprécie          90
Très joli petit livre de synthèse sur la pensée scientifique et son rapport au monde. Ou plutôt sur les éternels biais cognitifs d'Homos sapiens face aux réalités que la science dévoile besogneusement depuis Copernic et Galilée. Depuis que le divorce grec d'avec la Nature, qui fut si longtemps la règle, nous a amenés à tout découvrir, à comprendre beaucoup et… à faire beaucoup de bêtises. La planète aujourd'hui nous le dit sans ambages : « Attention, Homo sapiens, il va falloir très vite corriger le tir… » Ce livre d'Etienne Klein est un résumé intelligent en forme de Tract politique pour prendre conscience de ces enjeux et prendre les bonnes décisions. Rapidement. J'ai beaucoup aimé comme tout ou presque chez ce magnifique auteur.
Commenter  J’apprécie          90
Rien que la Quatrième de couverture a de quoi dégoûter du vrai.

"La philosophie des Lumières défendait l'idée que la souveraineté d'un peuple libre se heurte à une limite, celle de la vérité, sur laquelle elle ne saurait avoir de prise : les « vérités scientifiques », en particulier, ne relèvent pas d'un vote."

D'où sort cette soit disant vérité générale sur « la philosophie des Lumières » ?

« Sapere aude ! Aie le courage de te servir de ton propre entendement ! » Voilà la devise des Lumières, selon Kant. de sorte que la « vérité » n'en constitue pas la limite, mais l'objectif.
La souveraineté d'un peuple libre – où est-il ? – consisterait justement à avoir prise sur ce qu'on lui assène comme « vérités », y compris les « vérités scientifiques » qui, si elles ne sont pas l'objet d'un vote, sont l'objet de biais internes et externes : réputation, rivalités, course aux crédits, conflits d'intérêt, etc.
En outre, quel est ce Klein d'oeil à l'imposture électorale, qui réduit la souveraineté d'un peuple libre à voter pour ceux qui l'en dépossèdent ?

Quel est donc ce « goût du vrai » qu'on ne voit jamais dénoncer et combattre l'artificialisation universelle, matérielle (la masse de l'artificiel dépasse aujourd'hui la totalité de la masse du vivant) et symbolique (la société du spectacle dans laquelle git l'authenticité) de la vie sur terre ? N'est-ce pas la dite science qui, sans mot dire, a rendu possible l'équipement technique de la destruction-défiguration générale de tout ? A-t-on jamais vu les scientifiques se mettre en grève générale illimitée pour que cesse cet enfer ? N'est-ce pas la dite science qui entend nous convaincre « pour mieux vivre dans cette nature » (sic) de la réduire autoritairement à sa matière ?
La « crédibilité de la recherche » est facile à définir : ce sont les crédits de la recherche.
Le « goût du vrai » n'est certainement pas le goût de cette science séparée depuis longtemps du goût du bien.
Commenter  J’apprécie          87
Le contexte a fait en sorte que des discours scientifiques et anti-scientifiques se présentent à nous presque quotidiennement. S'entremêlent alors des faits vérifiés et des pseudo-vérités, des canulars et des interprétations excessives, des idées et des opinions dans un univers médiatique où le relativisme semble avoir gagné du terrain.

C'est dans ce magma de couverture diverse que la parole d'Étienne Klein s'est présentée avec cette plaquette où rationalité, connaissances et vérités scientifiques sont interpellées alors que les circonstances, trop souvent, les bafouent. J'ai donc lu avec beaucoup d'intérêt le goût du vrai de cet auteur, animateur, physicien, vulgarisateur et philosophe des sciences que j'aime à écouter dans La conversation scientifique sur France-Culture. J'ai retrouvé là des idées pertinentes sur la perception et la place que la société accorde à la science, sur les relations entre science, réalité et vérité scientifique. L'auteur conclue qu'il n'est pas souhaitable de renouer avec le scientisme, mais, dans la situation actuelle où la nature se rappelle à nous avec force, il propose plutôt de faire appel à nouveau à la rationalité tout en la refondant et en remettant en question le relativisme ambiant.

Voilà donc un essai qui, bien que court, est tout à fait percutant.
Lien : https://rivesderives.blogspo..
Commenter  J’apprécie          70
Sous la forme d'un éditorial étendu, Etienne Klein met ici à plat sa pensée sur les réalités scientifiques, la réalité qui nous entoure, et notre espace culturel actuel.
L'espace proposé par Gallimard à des gens de lettres pour exposer de manière sereine une pensée dans des textes courts, sans la prétention d'un essai publié ni l'investissement de lecture qu'il représente, est toujours bienvenu. Et l'expression d'Étienne Klein s'y développe clairement.
Commenter  J’apprécie          70
Je sors de la lecture de cet opus avec un avis légèrement mitigé.

Oui aujourd'hui les sots ont la parole, les fake-news prolifèrent tout comme les post-vérités.
Si on regarde Twitter ou Facebook, oui il y a des courses aux échalotes pour avoir des like, des RT et autres hochets numériques.
Entre les (pro;anti)(ze;nuke;OGM;etc...) c'est souvent à celui qui écrira la plus grosse bêtise le plus rapidement.

Mais de là à en conclure à une délégitimation des sciences, des scientifiques et des vérités du moment, non, je n'arrive pas à franchir ce pas.
J'ai ressenti comme un air de victimisation du scientifique.

Oui, la vérité est utopique.
Les théories nous permettent de l'approcher, suivant tel ou tel angle.
Et toute théorie à vocation à être supplantée par une autre plus vaste ou plus précise.
Mais ce n'est pas une raison pour jeter le bébé avec l'eau du bain (même si Trump, Borsonaro, et même Allegre dans un passé pas si lointain... y sont tentés).

Après, une personnalité comme le Pr Raoult pose en effet problème. Il est peut-être dans le vrai mais sans preuve raisonnable comment le croire ? "Ca marche. Pourquoi parce que je vous le dis et je le sais", c'est un peu court.
Notons, qu'en cette période de panique, ce genre de discours peut aussi augmenter l'effet placebo... fallait-il interdire ? Ses conseils de prescription (posologies et moment où l'utiliser) étaient-ils réellement dangereux ?

Autre point, il n'est jamais fait mention dans ce titre de l'argent et son pouvoir de corruption.
Peut-on parler des lobbies, des conflits d'intérêts sans être classé parmi les théoriciens du complot ?
Combien de "scientifiques" se décrédibilisent devant le dieu Argent ?

L'article du Lancet de mai dernier, quelle catastrophe, quel séisme dans le monde scientifique !

Et que dire de l'étude Discovery, qui était ouvertement
anti-Raoult (changeant ses conseils de prescription jusqu'à le rendre toxique) ?
Quelle meilleure méthode pour que l'idée "Hydroxychloroquine pas assez rentable, trouvons mieux" ne se répande ?
Et je souhaite de tout coeur que cette idée soit une infox !
Commenter  J’apprécie          60




Lecteurs (362) Voir plus



Quiz Voir plus

Retrouvez le bon adjectif dans le titre - (5 - essais )

Roland Barthes : "Fragments d'un discours **** "

amoureux
positiviste
philosophique

20 questions
849 lecteurs ont répondu
Thèmes : essai , essai de société , essai philosophique , essai documentCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..