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EAN : 9782070418350
485 pages
Gallimard (30/11/-1)
3.71/5   53 notes
Résumé :
Dans la cité de Dvern, capitale du Domaine, règne l'effervescence : Jeophras Denio, le génial et fantasque inventeur, aurait mis au point un merveilleux engin capable - en théorie - d'imiter le vol des oiseaux !

Mais Dvern est soudain en deuil : le prince Nerio de Lethys, cousin de la famille royale, a été assassiné. Et tout accuse Carline, la fille adoptive de Jeophras. Comment l'innocenter ? Dans cette ville perverse aux mille intrigues, où chacun d... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (12) Voir plus Ajouter une critique
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Considéré par beaucoup aujourd'hui comme l'un des écrivains français majeurs des littératures de l'imaginaire, au même titre que Jean-Philippe Jaworski (« Gagner la guerre ») ou encore Stéphane Beauverger (« Le Déchronologue », Laurent Kloetzer est incontestablement un auteur atypique. Déçue par ses « Royaumes blessés », déroutée par les nouvelles de ses « Petites morts », c'est non sans une certaine appréhension que je me suis lancée dans la lecture de cette très encensée « Voie du cygne ». Allais-je encore une fois louper le coche ? Et bien non. Soulagement dès les toutes premières pages : cette fois, je suis moi aussi totalement tombée sous le charme du roman Laurent Kloetzer. Un récit à mi-chemin entre la fantasy et le polar se déroulant dans le même univers atlan que la plupart des autres ouvrages de l'auteur et mettant en scène une galerie de personnages impressionnante car particulièrement soignée. En ce qui concerne l'intrigue, Laurent Kloetzer n'hésite pas à allègrement piocher dans la mythologie grecque : des labyrinthes, un monstre, un vieux roi tyrannique et cruel, un inventeur ferru de machines volantes..., bref, vous aurez sans mal reconnu le mythe du Minotaure que l'auteur se rapproprie ici avec brio en le mélangeant à des histoires de cour et de meurtre.

Le symbolisme tient également une place de choix dans ce roman où tout est à double sens et rien jamais certain. Laurent Kloetzer dispose d'un talent indéniable pour manipuler ses lecteurs jusqu'à les rendre presque fébriles et incapables d'émerger de la toile redoutable qu'il a patiemment tissé. Ne vous fiez pas à l'apparente lenteur des premiers chapitres, car une fois les personnages présentés et le décor posé, le rythme se fait endiablé, action, révélations et rebondissements inattendus s'enchaînant de façon de plus en plus précipité et toujours aussi maîtrisée. le talent de l'auteur réside également dans sa capacité à faire peser sur son récit une ambiance très particulière, comme si les personnages comme le lecteur oscillaient sans cesse entre rêve et réalité. Un onirisme que l'on retrouve d'ailleurs dans la plupart de ses autres romans, qu'il s'agisse du recueil « Petites morts » ou de « Mémoire vagabonde ». « La voie du cygne » m'a à ce propos beaucoup fait penser à l'excellente « Mademoiselle Belle », nouvelle du même auteur mettant en scène une soirée de fête et de jeux dans un jardin aussi merveilleux qu'inquiétant. le principe est un peu le même ici, avec cette partie de l'oie mortelle réunissant les protagonistes. Un jeu au premier abord tout à fait banal et quelque peu ennuyeux mais que l'auteur parvient à rendre captivant et d'une subtilité insoupçonnable.

Avec « La voie du cygne », Laurent Kloetzer signe un excellant roman possédant plusieurs niveaux de lecture et proposant un dosage parfait entre action et subtilité. L'intrigue, le rythme, le décor, les personnages..., tout est maîtrisé à la perfection afin offrir au lecteur une histoire passionnante, sans aucun temps mort. Me voilà impatiente de découvrir les prochains ouvrages de l'auteur ! Merci à Arakasi pour m'avoir incitée à surmonter mes réticences et à sauter le pas grâce à son élogieuse critique.
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Jeophras Denio est un homme de science, un inventeur dont le seul grand rêve est de créer une machine volante, des ailes mécaniques qui lui permettront de survoler les océans et de planer au dessus Dvern, la capitale de pierre noire du Domaine, sa patrie d'origine. Hélas, la destinée sournoise semble en avoir décidé autrement : ce matin, le prince Nerio de Lethys, cousin de la famille princière, vient d'être découvert, un poignard plongé dans le coeur. Et l'adorable mais indisciplinée fille adoptive de Jeophras, Carline, est accusée de son meurtre ! Pour innocenter et sauver la jeune fille, Jeophras va se plonger dans les arcanes de la cour de Dvern, un labyrinthe d'intrigues où chacun cache les plus sordides mystères. Pas après pas, case après case, l'inventeur avance, posant sans le savoir les pieds sur un étrange plateau de jeu, mis en place bien des années plus tôt par le prince Jaran, le très brillant et très inquiétant frère cadet du monarque de Dvern…

Fascinant roman, que celui-ci ! Dès les premières pages, il nous entraîne dans un monde troublant et captivant, un lieu plein de non-dits et de messages codés que nous peinons avec le personnage principal à décrypter. Malgré un rythme volontairement lent, presque hypnotique, alternant sans cesse entre présent trouble et passé brumeux, le roman réussit à merveille à nous inquiéter et à nous intriguer, nous poussant à nous impliquer de plus en plus dans l'enquête de Jeophras, avides de découvrir avec lui la fin de cette tortueuse histoire.

Outre ce style si particulier et le sens de l'intrigue indubitable de l'auteur, l'intérêt du roman vient également en très grande partie de la fascinante galerie de protagonistes qu'il met en place. Jeophras est un personnage principal adorable, un de ses rêveurs doux-dingues toujours un peu détachés de leur environnement mais capables de montrer face à l'adversité un courage et une ténacité admirables. Alexis, le gamin des rues débrouillard et gouailleur qui l'épaule, et sa fille Carline, tête en l'air et têtue, sont également très attachants. Face à eux, se dressent les figures énigmatiques des membres de la Cour Princière : le prince Melki, souverain sombre et dissimulé de Dvern, la Comtesse Lara, sa très belle cousine, la maître d'arme Lucian Matteo et – gardons-nous bien de l'oublier ! – le prince Jaran qui semble dissimuler sous ses manières excentriques et délurées de sombres et terrifiants secrets.

En conclusion, un roman poétique, brillant et troublant, à la frontière entre le fantastique et le récit policier. Un de ceux dont on abandonne les protagonistes avec un pincement de regret et le désir vivace de lire d'autres récits de Laurent Kloetzer se déroulant dans le même univers, avec l'espoir de les recroiser à nouveau au détour d'une page. Je le conseille très chaleureusement !
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Après "Mémoire Vagabonde", nous retrouvons avec plaisir la cité de Dvern coincée dans une forme d'intemporalité à mi-chemin entre Renaissance italienne et Siècles de Lumières français. Comme Guy Gavriel Kay, autre auteur qui cultive la sensibilité, Laurent Kloetzer fait le pont entre fantasy et littérature blanche.
La "Voie du Cygne" est à la fois bon roman policier et un bon roman fantasy. L'alchimie entre les 2 est excellente ! La démarche est assez peu usitée de prime abord mais les romanciers français semblent souvent y exceller. L'aspect policier, au début assez sobre et classique, est finalement bien mené et construit rigoureusement. Les mystères s'épaississent au fur et à mesure des avancées de l'intrigue, jusqu'à une conclusion d'une logique implacable. Les indices semés ça et là par l'auteur permettent de nous mettre dans la peau du personnage principal pour reconstituer le fil des événements, et de dévoiler le ténébreux passé qui semble rassembler les princes de Dvern et leur invité assassiné. L'auteur a ainsi transformé un Agatha Christie en une terrifiante histoire de famille royale qui réécrit de façon magistrale le mythe de Thésée et du Minotaure.

Car dernière Lethys et Dvern se cachent Athènes et Knossos : l'empire d'Atlantys est bâti sur une civilisation gréco-romaine comme le rappellent de nombreux indices (le disque de Faïst étant par exemple une référence au célèbre disque de Phaïstos). La narration fait alterner le parcours initiatique du Prince Nerio, qui donne son nom au roman puisque son emblème est le cygne, la partie de jeu de l'oie de Carline lors de la soirée fatidique et l'enquête de son « oncle » Denio Jeophras. le découpage du roman suit les règles du jeu de l'oie puisqu'à chaque chapitre correspond un jet de dé, un résultat, un déplacement, une case éponyme (hôtel, prison, puits…) et une avancée ou un recul dans le déroulement de l'enquête.
Le tout forme une toile d'araignée admirable qui emprisonne les acteurs et les lecteurs, les uns marchant dans les pas des autres et les fils d'Ariane déroulés par l'auteur finissent par tous se rassembler avec le dénouement de l'intrigue.
Mais quel est le véritable Labyrinthe ? le Palais des 3 lunes, les rues de Dvern ou la narration de l'auteur ?
Mais qui est véritable Thésée ? le prince Nerio, l'universitaire Denio ou le lecteur ?
Mais qui sont les joueurs ? le Prince Jaran, le Roi Arenki, ou l'auteur ?
Mais qui sont les pions ? Carline, les princes héritiers, ou les lecteurs ?
Ne soyez pas dupes : derrière les intrigues des puissants et les badinages des courtisans se cachent une histoire très cruelle…

Outre la délicieuse ambiance que dégage l'ensemble on appréciera que la plume de l'auteur, toujours aussi talentueuse, arrive à personnaliser les protagonistes dans la manière dont ils s'expriment : l'ambigüité maniérée de Jaran, l'indécision de Melki, la culture de Denio, la naïveté et la sensualité de Carline, l'argot D Alexis l'ado des rues… le lecteur devra toutefois se montrer toutefois très attentif aux comportements des uns et des autres : la complaisante Carline, la secrète Lara, l'insondable Jaran, le beau Nerio, le sombre Arenki… dévoilent assez imperceptiblement les contours de leurs personnalités.

On pourrait regretter un petit manque d'intensité (apprentis enquêteurs et apprentis dictateurs respirent quelque peu le fatalisme), quelques inégalités dans le rythme, quelques gimmicks propre à l'auteur (comme les détails sur les aventures et les expériences sexuelles des jeunes filles en fleurs), l'envie de se plonger dans "Mémoire Vagabonde" pour comprendre les renvois faits à cette oeuvre, l'envie de se plonger dans "Le Royaume blessé" pour en apprendre davantage sur l'empire atlante, les royaumes keltes et les cités-Etats orientales… Mais à tous les niveaux difficile de prendre l'ouvrage en défaut ! Bref, autant de maîtrise de son sujet force le respect.
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Dans un monde qui n'est pas sans rappeler le nôtre – ou ce qu'il fut –, dans une ville de légende taillée dans la roche noire d'un volcan, un prince vient d'être assassiné. le poignard, droit au coeur, c'est une toute jeune fille qui l'a planté. Carline, 17 ans, rebelle et rieuse, qui aime la bière, l'aventure et les hommes mais aussi les mystères alchimiques et les idées républicaines. Carline qui n'avait rien à faire au palais de la Petite-Dvern où le meurtre a été commis, et que son père adoptif, le très savant inventeur Jeophraste Denio, refuse de croire coupable.
Pour tenter de l'innocenter, il va devoir se plonger dans les intrigues dangereuses d'une famille régnante au passé tortueux, suivant les règles d'un bien étrange jeu de l'oie.

Roman d'enquête dans un univers de fantasy, la Voie du Cygne est aussi, en filigrane, l'histoire de quatre princes élevés ensemble sous les ordres d'un monarque cruel, de ce qu'ils subirent et de ce que leurs souffrances et leurs secrets ont fait d'eux. Nero, le preux et séduisant cousin assassiné. Lara, la belle cousine, fière et toujours un peu lointaine. Les deux jumeaux : Melki, le prince régnant, renfermé, fuyant et indécis ; Jaran, le plus fascinant de tous, très ambigu prince de la Petite-Dvern que l'on dit à moitié fou.
Mais fous, ils le sont tous un peu, au fond, et qui n'a jamais entrevu que dans les légendes, les héros sont parfois les plus beaux salauds ?

Laurent Kloetzer rejoue ici de vieux mythes grecs, sur le plateau d'un jeu d'enfant détourné par des adultes. le parcours devient labyrinthe, comme une aventure initiatique où chaque case peut être piège et symbole.
Le résultat est un roman remarquablement bien construit, tant par l'imbrication de ses intrigues que par l'épaisseur de ses personnages. Un roman captivant, qui sait se faire plus complexe de page en page jusqu'à un dénouement très bien tourné, qui joue moins la carte de la révélation époustouflante que de l'implacable logique. Un roman qui a su parler droit à mon coeur, pour de multiples raisons... dont le personnage de Jaran est sans doute la première !

A recommander très vivement à tous les amateurs de belles intrigues, de fantasy sans elfes comme de littérature transcendant les genres.
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Lu ce texte dans le cadre du ABC Challenge de l'imaginaire, l'occasion de découvrir un auteur que je ne connaissais pas. Il me fallait une lettre K, ça tombait bien !

Jeophras est enseignant et rêve de faire voler un homme avec sa machine. Ses rêves s'arrêtent nets quand Carmine, sa fille adoptive, est emprisonnée pour meurtre.
Le prince Nerio a été retrouvé mort, poignardé, après une soirée festive où les membres de la famille régnante jouaient au jeu de l'oie.
Jeophras enquête, et se plonge dans l'histoire de cette famille, pas très très nette.

J'ai été d'abord un peu déroutée par le décor du récit. Ambiance ni vraiment fantasy ni SF, plutôt alchimique et mécanique. Ici pas de blabla sur cet univers, pas de descriptions, au lecteur de rentrer dans le jeu. C'est déroutant mais ça marche assez bien en fait, on se rend compte qu'on peut rentrer facilement dans un décor sans forcément en avoir tout l'historique, une idée sur son fonctionnement etc. J'ai juste eu un peu de mal à retenir tous ces noms compliqués.

Sur l'intrigue, on est sur une enquête donc, assez classique. Rebondissements, témoins, aidants et méchants, course contre la montre, indices etc.
L'originalité réside dans le jeu de l'oie qui structure le récit, l'intrigue et les personnages. C'est un vrai traquenard où est allé se fourrer Jeophras, un beau labyrinthe.

La métaphore du labyrinthe est donc là, et c'est bien fait. le récit en lui-même est labyrinthique, avec ses allers et retours dans le passé. En revanche, le labyrinthe se retrouve jusqu'aux personnages et à leur esprit tortueux, torturé, dérangé. Qu'on se le dise, les membres de cette famille royale sont tous complètement frappadingues.

Il faut dire qu'ils s'ennuient ces riches aristocrates. Alors ils tordent le jeu de l'oie pour en faire un truc assez malsain avec des gages. Carline, jolie dinde pas très futée, va en faire les frais. Il faut réussir à suivre tous ces personnages assez fous dans leurs fantasmes malsains.

C'est ça qui a fini par me fatiguer. C'est glauque, et malsain. Les personnages sont englués dans des stéréotypes de genre assez lourds, leurs rapports sont basés sur une obsession sexuelle assez pénible à la longue. Les femmes sont engoncées dans leur rôle traditionnel d'utérus sur pattes, prostituées, esclaves ou femmes de lignée royale et qui ne valent rien, violées à tour de bras. Les hommes sont des brutasses finies, crient, violent et et frappent sans arrêt, jouent à qui fait pipi le plus loin pour savoir qui sera le gagnant du trône. Ces personnages, féminins comme masculins, sont ridicules, manquent cruellement de vraisemblance; ça ferait rire si c'était une caricature, mais non, ça n'en est pas une.


Ce livre date de 99, mais je trouve qu'il a déjà pris un gros coup de vieux. Schéma narratif assez classique, personnages grotesques et hypersexualisés… franchement, j'ai trouvé que ça frisait le ridicule. Heureusement, la fantasy d'aujourd'hui me semble beaucoup plus variée, imaginative et c'est rafraîchissant. Peut-être que lire ce texte il y a vingt ans ne m'aurait pas gênée, après tout ce schéma classique était ce qui se faisait un peu partout. Mais lire ça aujourd'hui… non, je ne suis plus le public pour.

Les qualités indéniables que je trouve dans ce récit n'ont pas été suffisantes pour me faire passer un bon moment de lecture.
Lien : https://zoeprendlaplume.fr/l..
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Citations et extraits (2) Ajouter une citation
Ils traversèrent Dvern figée en sa gangue de pierre, déserte et abandonnée à leur volonté. Nerio se sentait la force de devenir le maître de ce navire de roc, il se sentait la force d'affronter les fantômes et les dieux enfouis de cette cité millénaire. En cette nuit de tempête, la ville laissait apercevoir sa véritable nature, lavée de ses dorures et de ses fanfreluches atlanes... Elle apparaissait telle qu'elle était, une cité cruelle et sanglante, vénérée jusqu'à la mort, destinée à régner !
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Cet endroit, Nerio, n'est pas un simple grenier comme tu as pu en connaître. Tu es ici dans la demeure d'un être étrange et noir, une pauvre âme torturée dans un corps terrifiant. Pendant longtemps, alors que d'innocents enfants dormaient juste en-dessous, un monstre énorme a arpenté ce plancher, en faisant craquer les lattes et empêchant les enfants de dormir. Si terrifiant, que Kasny lui-même n'osait pas monter au grenier, qu'il tremblait de peur et gémissait dans son lit quand le monstre grognait...

(...)

Ce monstre n'est plus là, Nerio, il faisait peur à mon père. Il n'est pas bon pour un prince d'avoir un monstre dans son palais... Alors ils l'ont emmené, ils sont venus avec des soldats en armes pour le jeter dans une prison sombre et secrète dont nul ne peut jamais sortir... Mais le monstre a laissé des traces de son passage, des reliques, des fantômes. Ne sens-tu pas son odeur, Nerio ?
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Vidéo de Laurent Kloetzer
Cela se passe dans la plus grande ville du monde connu. La Cité de la toge noire, la Ville aux mille fumées, donnez-lui le nom que vous voulez, vous y êtes déjà allé… et nous vous proposons d'y retourner, en compagnie de L.L. Kloetzer. Qu'y a-t-il de plus amusant que discuter d'un roman, si ce n'est jouer dans l'univers dudit roman ? Fervents amateurs de jeux de rôle, Laure et Laurent Kloetzer feront jouer Nicolas Fructus (illustrateur au talent indicible) et Erwann Perchoc (n°1½ du Bélial') dans l'univers de “Noon du soleil noir”, partie à laquelle nous vous convions. Ce sera en direct, ce sera probablement un rien expérimental, et, nous l'espérons, amusant ;-) https://www.belial.fr/l-l-kloetzer/noon-du-soleil-noir Illustration : Nicolas Fructus
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