La souffrance devient joie si elle est un moyen de purifier le don de soi et de parfaire son sacrifice. La santé a peu d'importance ; on n'est pas sur terre pour manger à l'heure, dormir à temps et vivre mieux. L'essentiel est d'avoir une vie utile, d'affiner son âme, de surveiller ses faiblesses, de servir les autres en servant Dieu, de tout offrir à Dieu.
Tel pourrait être le résumé de la vie de l'abbé La Praz.