AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Jane Hawk tome 5 sur 5

Sébastian Danchin (Traducteur)
EAN : 9782809841343
455 pages
L'Archipel (03/02/2022)
4.12/5   49 notes
Résumé :
Le cinquième et dernier volet des aventures de Jane Hawk, mue par la soif de justice et de vengeance, par Dean Koontz, l'un des auteurs américains de thrillers les plus lus au monde. " Un final époustouflant ! " Booklist

Un jeune cinéaste visionnaire servant de proie lors d'une chasse d'un nouveau genre organisée dans le ranch d'un milliardaire...Un hacker de génie qui s'infiltre dans les bases de données des officines gouvernementales pour collecter ... >Voir plus
Que lire après Fenêtre sur la peurVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (20) Voir plus Ajouter une critique
4,12

sur 49 notes
5
10 avis
4
8 avis
3
2 avis
2
0 avis
1
0 avis
Enfin le dernier volume de la saga "Jane Hawk", que j'ai dévoré à l'instar des quatre précédents. Les très nombreux personnages issus de l'imagination fertile (et ce n'est rien de le dire !) de Dean Koontz m'ont accompagnés durant deux ans et demi, avec parfois de longs mois d'attente haletante entre deux tomes. Pour ne pas déflorer l'intrigue aux yeux des futurs lecteurs, je me contenterai d'exprimer mon ressenti global, sans trop entrer dans les détails.

Dean Koontz s'est complètement renouvelé avec ce thriller mêlant technologies futuristes et action non-stop, enquête au sein des plus hautes instances (bien corrompues) des Etats-Unis et psychologie poussée de dizaines de personnages. Nombre d'adeptes de cet auteur l'ont connu au travers de ses romans plutôt ciblés "horreur" ou "terreur" des années 80, mais comme je l'ai déjà écrit (tant pis mais je me répète pour ceux qui n'auraient pas lu mes critiques des tomes précédents), son talent est si protéiforme que la plupart des lecteurs peuvent y trouver leur bonheur, y compris les amateurs de poésie, de nouvelles ou même d'essais, souvent publiés sous divers pseudonymes. Je vous invite à consulter la page Wikipédia qui lui est consacrée, cela vous donnera une petite idée de la variété de son oeuvre.

Pour en revenir à Jane, elle est de retour au centre de l'histoire, alors que dans le tome précédent elle s'était un peu effacée au profit de personnages secondaires. Mais comme il s'agit de la fin de la saga, elle y fait un retour en force, partageant la vedette avec un nouvel arrivant, le jeune cinéaste Tom Buckle, dont on va suivre la fuite éperdue devant un milliardaire acquis à la cause des Arcadiens, Wainwright Hollister. C'est l'un des grands méchants ordonnateurs et financiers de cet ordre nouveau dont le but est d'asservir la population, et d'éliminer les gêneurs figurant sur une liste, gêneurs dont faisait partie le mari de Jane, qui s'est soi-disant suicidé au tout début de la série. Ce qui avait initiée la croisade de celle-ci, convaincue que les suicides en série étaient en réalité induits par une manipulation mentale. Voilà pour le petit rappel du pourquoi.
Tom et Jane seront alternativement les héros de ce dernier opus, on suivra leurs péripéties avec un égal plaisir, même si je suis restée plus attachée à la quête de Jane qu'à la fuite de Tom. J'ai apprécié de retrouver quelques personnages déjà croisés auparavant, et fait la connaissance de Vikram, nouvel allié de l'héroïne (mais surgi de son passé). Il prend une place cruciale dans la conclusion de l'histoire, mais chut... Bien sûr le sort de Travis, le fils de Jane, est régulièrement évoqué, ainsi que celui de ses protecteurs. Toutes les questions laissées en suspens au gré des 4 tomes vont peu à peu trouver leurs réponses, aucun personnage n'est "laissé en rade". Un vrai tour de force, parce que l'intrigue n'était déjà pas simple au départ ! J'ai lu ça et là quelques critiques très négatives, mais moi je tire mon chapeau à D.K. qui a réussi à bâtir une histoire cohérente, passionnante et plausible pour peu qu'on parvienne à s'affranchir de certaines barrières, et à imaginer l'évolution des techniques de manipulation mentale. Il ne reste plus qu'à espérer que cette évolution ne se produise pas, parce que nous n'aurons pas forcément la chance qu'une Jane Hawk vienne s'en mêler !

Je n'ai presque jamais trouvé de longueurs ou de lourdeurs dans ces milliers de pages, excepté parfois dans les discussions de binômes de méchants : il s'agissait soit de modèles de voitures, ou de vêtements censés être plus ou moins classieux. Je suppose que ces intermèdes réguliers étaient censés apporter de l'humour ou de la légèreté entre deux scènes plus violentes, mais sur moi ça n'a pas pris ! Ce (petit) bémol excepté, j'ai vraiment pris grand plaisir à la lecture de ces cinq volumes, que je considère comme une apogée dans l'oeuvre de Dean Koontz.

Commenter  J’apprécie          4512
« L'esprit humain est composé de nombreuses pièces et tu les habites toutes », dit Jane Hawk à l'un de ses acolytes, vers la fin de ce cinquième et dernier tome de la série.

Après avoir visité le coin (premier épisode, « The silent corner », traduit mal à propos en « Dark Web » en français), découvert la chambre (des murmures), descendu l'escalier (du diable), passé la porte (interdite), Jane termine sa guerre en osant regarder par la fenêtre (sur la peur).

La fin du chemin de sa croisade moderne contre les forces du Mal qui tentent d'asservir les Hommes, et de tuer ceux qui représentent une menace. Pour mettre à terre le plus grand complot jamais imaginé.

La technologie fait entrer la science-fiction dans la réalité à vitesse grand V, rendant possible ce qui paraissait impensable quelques années plus tôt ; ici, à coup de manipulation mentale via les nanotechnologies. « Je me dis que plus la science progresse, moins la société en mesure les conséquences. Plus les humains sont intelligents, moins ils ont conscience des pulsions malignes qui les habitent », pense Jane.

C'est la confrontation finale, à combattre une conspiration planétaire imaginée par les pires mégalomanes. Et qu'on a laissé faire. « Les politiciens courageux étaient à peu près aussi nombreux que les tigres albinos et les grenouilles à deux têtes », se désole Jane.

Après un quatrième épisode qui avait remisé Jane presque en retrait de l'action au profit de personnages annexes, cette conclusion referme le cercle en la replaçant au centre. Et recolle les morceaux éparpillés durant près de 2 500 pages d'un thriller XXL.

Le livre précédent avait vu l'intrigue totalement dérailler, de manière aussi inattendue que jouissive. Ce dernier épisode se révèle plus conventionnel, pas le meilleur de la série, mais toujours aussi addictif.

Fenêtre sur la peur est du Koontz typique, courses-poursuites, dont une partie dans la neige comme il aime tant ça. Ça fait des décennies qu'il utilise la même recette, l'assaisonnant un peu différemment.

L'intrigue conspirationniste et l'idée des dérives des nouvelles technologies au profit des plus puissants fonctionnent à fond. Cette intrigue paranoïaque trouve son achèvement sans grande surprise mais avec de vraies satisfactions de lecteur.

Et puis, cette série lui aura permis de proposer des personnages secondaires franchement dingues, avec des dialogues parfois totalement décalés.

Ses méchants du moment sont du genre nihilistes. Qui se prennent pour des cadors, alors que l'auteur les couvre régulièrement de ridicule.

Voilà le genre de pensées de ces êtres du Mal : « Propager la bonne parole de la souffrance et de l'humiliation ou commettre au hasard des actes de cruauté n'est pas donné à tout le monde, pas même aux petits voyous ou aux politicards véreux. Les petits dealers comme les sénateurs corrompus se mentent quand ils affirment agir au nom de leur clan, oeuvrer pour le bien commun et la justice sociale. Ils ne recherchent que le pouvoir. Les menteurs et les manipulateurs sont incapables de rebâtir un monde meilleur. A l'inverse, un millionnaire telle que lui doit repousser toutes ses illusions. Il sait que la seule vérité est celle du pouvoir ».

Cette série de techno-thrillers est une vraie réussite, à la fois du Dean Koontz pur jus tout en apportant son lot de surprises. Jane Hawk est définitivement un des personnages les plus importants de sa longue carrière.

Fenêtre sur la peur termine le boulot, et on sait comment s'achèvent en général les livres de l'écrivain américain. Un vrai plaisir à lire sur cinq romans !
Lien : https://gruznamur.com/2022/0..
Commenter  J’apprécie          221
Dernier tome de la série Jane Hawk écrite par Dean Koontz, celui-ci n'a été traduit en français que récemment, et bien évidemment je m'étais précipitée pour lire ce roman en version originale.
Notre Jane court toujours après les Arcadiens, qui injectent des nanoparticules à leurs victimes pour leur laver le cerveau et les réduire à leur merci. On sait depuis longtemps que le mari de Jane s'est suicidé sans raison apparente et qu'elle n'a jamais cru au suicide, tout comme on sait que les manipulateurs sont les responsables de son acte tragique. Jane est donc toujours en cavale, avec pour double objectif, éliminer les coupables et protéger son fils Travis.
Son ami hacker Vikram Rangnekar est toujours à ses côtés. Jane est persuadée qu'un psychopathe milliardaire du nom de Warwick Hollister, finance toute l'opération. Mais un énorme problème vient se greffer à leurs mésaventures, quelqu'un aurait reconnu Travis, et l'angoisse de Jane monte d'un cran. Je ne veux pas trop en raconter parce que la version française venant tout juste de sortir, j'imagine sans mal la déception des fans s'ils étaient spoilés.
On aime Jane. Je crois bien que c'est la protagoniste préférée de tous les romans de Dean Koontz et je suis persuadée que c'était le but recherché par l'auteur. C'est qu'il est finaud, le bougre. Donc bingo. On a tellement tremblé pour elle qu'on est rassurés qu'elle puisse enfin faire confiance à quelqu'un, ou même qu'elle "ose" enfin faire confiance à quelqu'un.
La construction du roman est un peu différente, on voit que l'auteur aura voulu nous apporter toutes les réponses et on voit un tout petit peu moins Jane, mais on n'a pas le temps de s'ennuyer et comme d'habitude avec Koontz, on passe un moment d'exception.
En tout cas le livre termine bel et bien la série et on ne reste pas sur notre faim... bien que certaines rumeurs laissent entendre qu'un sixième tome pourrait bien voir le jour dans un futur indéterminé. Mais ce ne sont que des rumeurs et cette fois, la boucle est bouclée.
Merci Dean Koontz pour ces merveilleux moments.
Commenter  J’apprécie          207
L'anneau se resserre autour de Jane Hawk et de son fils, Il faut dire qu'elle affronte des milliers d'Arcadiens sans compter les milliers de modifiés qu'ils contrôlent. Et ces Arcadiens occupent des positions clés de pouvoir dans plusieurs domaines, dont la politique, les médias, etc. Justement le chef des Arcadiens part à une chasse à l'homme avec un réalisateur qui a eu le malheur de lui déplaire. Malgré tous ces obstacles, un allié inattendu féru en informatique, se rallie à Jane pour l'aider.

Jane Hawk, quasi seule, face à un nombre effarant d'ennemis. Comment va t'elle s'en sortir ? Et voilà que Dean Koontz nous pond une finale tout à fait satisfaisante après les 4 tomes précédents pour clore la série en beauté. Une tension à fleur de peau, des mécréants sans foi ni loi, des amis sur lequel compter et l'idée, mais l'idée, qui permettra peut-être de retourner la situation.

Un plaisir certain, les pages qui défilent et soudain, c'est la fin. Wow !

J'ai beaucoup aimé. Et je crois que le thème de contrôle de personnes plait à Dean Koontz qui l'a aussi utilisé dans La peste grise que j'avais adoré.
Commenter  J’apprécie          220
Dernier tome de la série Jane Hawk écrite par Dean Koontz, celui-ci n'a été traduit en français que récemment, et bien évidemment je m'étais précipitée pour lire ce roman.
Notre Jane court toujours après les Arcadiens, qui injectent des nanoparticules à leurs victimes pour leur laver le cerveau et les réduire à leur merci. On sait depuis longtemps que le mari de Jane s'est suicidé sans raison apparente et qu'elle n'a jamais cru au suicide, tout comme on sait que les manipulateurs sont les responsables de son acte tragique. Jane est donc toujours en cavale, avec pour double objectif, éliminer les coupables et protéger son fils Travis.
Son ami hacker Vikram Rangnekar est toujours à ses côtés. Jane est persuadée qu'un psychopathe milliardaire du nom de Warwick Hollister, finance toute l'opération. Mais un énorme problème vient se greffer à leurs mésaventures, quelqu'un aurait reconnu Travis, et l'angoisse de Jane monte d'un cran. Je ne veux pas trop en raconter parce que la version française venant tout juste de sortir, j'imagine sans mal la déception des fans s'ils étaient spoilés.
On aime Jane. Je crois bien que c'est la protagoniste préférée de tous les romans de Dean Koontz et je suis persuadée que c'était el but recherché par l'auteur, donc bingo. On a tellement tremblé pour elle qu'on est rassurés qu'elle puisse enfin faire confiance à quelqu'un, ou même qu'elle "ose" enfin faire confiance à quelqu'un.
La construction du roman est un peu différente, on voit que l'auteur aura voulu nous apporter toutes les réponses et on voit un tout petit peu moins Jane, mais on n'a pas le temps de s'ennuyer et comme d'habitude avec Koontz, on passe un moment d'exception.
En tout cas le livre termine bel et bien la série et on ne reste pas sur notre faim... bien que certaines rumeurs laissent entendre qu'un sixième tome pourrait bien voir le jour dans un futur indéterminé. Mais ce ne sont que des rumeurs et cette fois, la boucle est bouclée.
Merci Dean Koontz pour ces merveilleux moments.
Commenter  J’apprécie          150

Citations et extraits (71) Voir plus Ajouter une citation
The library contains twenty-five thousand volumes that Hollister inherited from his father. The old man was a lifelong reader of novels. But his son has no use for fiction. Wainwright Warwick Hollister is a realist from his epidermis to his marrow. Orenthal also read many works of philosophy, forever searching for the meaning of life. His son has no use for philosophy because he already knows the two words that give life its meaning: money and power. Only money and power can defend against the chaos of this world and ensure a life of pleasure. Those people whom he can’t buy, Hollister can destroy. People are tools, unless they decline to be used, whereupon they become merely obstructions that must be broken and quickly swept aside—or eliminated entirely.
Commenter  J’apprécie          40
Refocusing his attention on his guest, he says, “The forecast is for twelve inches. Temperature will drop to the low twenties by nightfall. No wind yet, but it’s coming. Winter lingers on these plains. Have you experienced a storm in territory such as this?” “I’m a California boy. My experience of snow is entirely from TV and movies.”
Commenter  J’apprécie          60
In a conspiracy this radical, this bent on transforming America—indeed the world—the supreme leader, the self-appointed intellectual who inspired the loyalty of others, did not necessarily have to be the one with the most money. A fanatical passion for change and dominance might lift a man of modest means to that position.
Commenter  J’apprécie          50
À l’image de tous les gens élevés par des parents honnêtes, des artistes sincères et de ceux qui croient au rêve américain, le jeune homme compense sa détermination par un manque de sens commun. Il lui reste beaucoup à apprendre, mais peu de temps pour y parvenir.
En se dirigeant vers la salle à manger en compagnie de son hôte, Tom Buckle ne peut s’empêcher d’admirer à voix haute le luxe de cette demeure et la qualité des tableaux qui en ornent les murs. Des œuvres signées Jackson Pollock, Jasper Johns, Robert Rauschenberg, Andy Warhol, Damien Hirst… Cet enfant issu d’un milieu modeste est subjugué par l’immense richesse de Hollister, au même titre que l’apprenti sorcier tombe sous le charme de son maître le jour où il entre à son service.
Il n’y a aucune envie chez lui, aucun signe de cupidité. En tant que cinéaste, il est tout bonnement amoureux du beau.
Commenter  J’apprécie          10
In any crisis situation, the most important thing to do was get off the X, move, because if you weren’t moving away from the threat, someone with bad intentions was for damn sure moving closer to you.
Commenter  J’apprécie          60

Videos de Dean Koontz (12) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Dean Koontz
Comme chaque année, les équipes de la Griffe Noire vous proposent leurs coffrets de Noël. Une sélection de livres accompagnée de goodies. Gérard Collard et Thomas Raymond vous présentent les contenus...
COFFRET JEUNESSE 7-10 ANS (45,80 €) : - Mortelle Adèle au pays des contes défaits, Mr Tran et Diane le Feyer, Tourbillon - le journal de Gurty, mes bébés dinosaures, Bertrand Santini, Sarbacane - Charlie se change en poulet, Sam Copeland, R. Laffont https://www.lagriffenoire.com/100771-coffret-coffret-histoire.html
COFFRETS JEUNESSE ALBUM (45,70€) : - Jules et le renard, Joe Todd-Stanton, Ecole des loisirs - Maman noel, Ryan T. Higgins, Albin-Michel jeunesse - Il était une fois la corne des licornes, Béatrice Blue, Little Urban https://www.lagriffenoire.com/100772-coffret-coffret-histoire-poche.html
COFFRET ADO (50,70€): - Cogito, Victor Dixen, R. Laffont - Les pluies, Vincent Villeminot, le Livre de Poche jeunesse - La maison des oiseaux, Allan Stratton, Milan https://www.lagriffenoire.com/100773-coffret-coffret-litterature.html
COFFRET SCIENCE FICTION (55,90€): - Métaquine indications, François Rouiller, Atalante - Chiens de guerre, Adrian Tchaikovsky, Denoel - Chevauche-brumes, Thibaud Latil-Nicolas, Mnémos https://www.lagriffenoire.com/100776-coffret-coffret-detente.html
COFFRET MANGAS (37,80€) : - L'atelier des sorciers 1, Kamome Shirahama, Pika - Bip-Bip Boy 1, Rensuke Oshikiri, Omaké - Dr Stone 1, Riichiro Inagaki et Boichi, Glénat - Heart Gear 1, Tsuyochi Takaki, Kioon https://www.lagriffenoire.com/100777-coffret-coffret-polar.html
COFFRET BD SCIENCE FICTION (57,85€) : - le château des animaux : Miss Bengalore, Delep & Dorison, Castermann - Nathanaelle, Charles Berberian & Fred Beltran, Glénat - The kong crew : Manhattan jungle, Eric Hérenguel, Ankama
COFFRET BD ADULTE (53,85€) : - Monsieur Jules, Aurélien Ducoudray & Arno Monin, Bamboo - Bruno Brazil : Black Program, Aymond & Bollée, Lombard - Lecio Patria Nostra : le tambour, Yerles & Boidin, Glénat
COFFRET BD JEUNESSE (54,95€) : - le royaume de Blanche fleur, Benoit Feroumont, Dupuis - Les quatre de BakerStreet : Les maitres de Limehouse, Dijian & Etien & Legrand, Vents d'Ouest - Raowl : La belle et l'Affreux, Tebo, Dupuis
COFFRET LITTERATURE FRANÇAISE (71,30€) : - Murène, Valentine Goby, Actes Sud - Les simples, Yannick Grennec, Anne Carrière - Rien n'est noir, Claire Berest, Stock https://www.lagriffenoire.com/100783-coffret-coffret-detente-poche.html
COFFRET LITTERATURE ETRANGERE (73,40€) : - Dévorer le ciel, Paolo Giord
+ Lire la suite
autres livres classés : thrillerVoir plus
Les plus populaires : Polar et thriller Voir plus


Lecteurs (120) Voir plus



Quiz Voir plus

Quiz sur le livre "Ne crains rien" de Dean Koontz.

Qui est Orson ?

Le chat de Chris
La meilleure amie de Chris
Le chien de Chris

10 questions
4 lecteurs ont répondu
Thème : Ne crains rien de Dean KoontzCréer un quiz sur ce livre

{* *}