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3,74

sur 78 notes
ROMAN THRILLER / HORREUR / ANTICIPATION.
C'est ma première incursion chez Dean Koontz, donc j'ai vérifié les retours des amateurs de l'auteur pour voir s'il n'y avait incompatibilité d'humeur. Alors pour résumer Dean Koontz écrivait mieux dans les années 1980 que maintenant, quand il donnait dans le fantastique et l'horreur, et pas dans genre codifié voire lénifiant du techno-thriller…
Le personnage principal, c'est superwoman.
Les personnages secondaires sont creux et inutiles.
Les méchants sont très stupides donc très ridicules.
Et on retrouve des tics d'écritures issus des ateliers d'écriture yankee.
J'aurais pu me prêter au jeu du roman estival lu sur la plage, mais comme je n'étais pas en été et pas sur la plage je ne me suis pas prêté au jeu. L'auteur ouvre la porte du second degré, mais il donne ici tellement de bâtons pour se faire battre que je vais passer mon chemin sans regret !
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Quatrième épisode des aventures de Jane Hawk, que je pensais être le dernier, mais non ! Un cinquième est en cours de parution en français (pour quand ?), et devrait enfin clore cette saga. Je dis "enfin" parce que j'aimerai bien que cette pauvre superwoman puisse enfin se poser un peu, et profiter de la vie autrement qu'en avalant vite fait une vodka-coca dans un motel pourrave pour arriver à dormir un peu. Même si dans ce volume, l'action est un peu moins centrée sur elle, il ne faut pas croire qu'elle va rester tranquille à attendre que ses innombrables poursuivants la retrouvent.
Ici on va justement s'intéresser de plus près à certains des "méchants" prêts à tout pour préparer l'avènement des Arcadiens, ces "êtres supérieurs" dont le but est l'asservissement total de l'humanité, et l'élimination de ceux qui cherchent à contrecarrer leurs plans. Dans les tomes précédents, Jane traquait les dirigeants de ce mouvement, ici ce sont plutôt les exécutants qui sont si on peut dire, mis à l'honneur. On en avait déjà croisé certains, comme par exemple le duo Jergen-Dubose, tueurs à gage qui hormis leur violence seraient plutôt comiques. Entre la certitude de Jergen d'être bien supérieur à son équipier qu'il juge plouc et peu cultivé, et les déductions improbables de Dubose, (mais qui tombent souvent juste) et sa gouaille inimitable, on a droit à des dialogues du style : (Jergen) "- Tous les hommes de ma famille font leurs études à Harvard depuis des générations. c'est une question de fierté, de tradition et de réussite.
(Dubose) - Voilà bien une vision de gosse de riche de Boston; entre deux cours, vous faites un match de crosse et vous rejoignez une amicale étudiante. Tout ça sans risque, pour le seul plaisir de briller aux yeux des rares personnes qui croient encore au prestige de Harvard. Je ne vois pas le rapport avec la réussite.
- Parce que tu sais ce qu'est la réussite, toi ?
- Dans ma famille, on fabrique du whisky clandestin, on fait pousser de la beuh et on vend des comprimés d'ecstasy depuis des générations. c'est ça, la tradition et le réussite."
Et le reste à l'avenant. Ce qui ne les empêche pas d'être redoutablement efficace. Parmi les poursuivants de Jane, certains sont bien plus sinistres, tel Egon Gottfrey, nihiliste au dernier degré et tellement déconnecté du réel qu'il s'imagine dans un scénario où rien n'existe vraiment excepté lui-même, soumis aux ordres d'un Grand Ordonnateur. Les chapitres dont il est l'acteur sont narrés à la façon d'un tournage de film. Il m'a prodigieusement agacé avec ses idées fixes, c'est un personnage dont je me serais volontiers passé !
Heureusement quelques "gentils", déjà croisés dans le tome 2 vont venir épauler Jane qui cette fois cherche avant tout à rejoindre son fils Travis.
Tout le volume se concentre sur un laps de temps réduit à quelques jours et les protagonistes convergent vers un même lieu où ils s'attendent à ce que Jane se rende, la sinistre vallée de Borrégo, déjà présente dans le tome précédent. Bien sûr, la situation devient rapidement explosive, surtout que les Arcadiens n'avaient pas prévu le facteur inattendu qui vient de s'inviter dans leur stratégie. A force de "modifier" des habitants du coin à tour de bras pour les obliger à rechercher Jane et Travis, certains franchiront la fameuse "porte interdite" qui donne son titre au roman. Je ne vous dirai pas en quoi cela consiste, sachez juste que ça va déménager...
Trop de personnages à mon goût dans cet opus, dont certains dont on aurait aisément pu se passer. Et quelques longueurs aussi, notamment en ce qui concerne la poursuite des beaux-parents de Jane par le fameux Egon et son équipe, j'ai même parfois survolé. je pense que l'histoire s'essouffle, c'est très long cinq volumes... Heureusement on passe de bons moments avec Cornell, ce doux géant souffrant d'une forme d'autisme Asperger, ça permet de respirer entre deux scènes d'action parfois très violentes.
J'espère que le prochain (et dernier?) volume réservera un peu plus de rebondissements et une fin à la hauteur des premiers tomes, histoire de me faire oublier cette relative déception.
A l'attention de futurs lecteurs : il est nécessaire de lire les tomes dans l'ordre, j'ai vu dans certaines critiques que l'éditeur envoyait le 3 ou le 4 à des personnes qui n'avaient pas lu les précédents. Je pense que cela enlève une grande partie de l'intérêt à l'histoire, et je conseille vivement aussi de ne pas lire les critiques trop détaillées avant d'attaquer cette saga. J'essaie toujours de ne pas trop en dévoiler, mais certains annoncent même la fin, c'est frustrant !
A réserver aux amateurs de thriller plutôt violent, beaucoup d'action, un peu de technologie, et un soupçon d'humour (mais vraiment un soupçon !)
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Nous retrouvons notre héroïne, Jane Hawk, avec le plus grand plaisir. D'élément clé au FBI, elle est devenue la femme la plus recherchée du pays. J'admire le travail qu'a dû effectuer Dean Koontz pour écrire cette mini-saga. Des techniques de surveillance aux moyens de leur échapper.
Mais Jane doit sauver le monde et ne se laisse pas décourager par l'ampleur de la tâche. Tous les moyens ou presque sont bons pour y arriver. En plus du reste de l'humanité, elle doit se préoccuper de son enfant, toujours en danger également. J'adore d'ailleurs ce Travis, qui du haut de ses cinq ans montre déjà un haut potentiel de courage et de détermination.
Une excellente suite aux trois précédents opus, sur laquelle il devient de plus en plus difficile de faire un retour, si l'on veut éviter de spoiler les tomes précédents, puisque tout le monde n'a pas lu ces livres dans l'ordre.
Peu de personnages, ce qui permet à l'auteur de bien nous les faire connaître et de nous immerger dans l'aventure.
Du très grand art. Chapeau bas, maître.
Le cinquième tome de la série vient tout juste de sortir en français (enfin, me direz-vous), mais je m'étais empressée de le lire dans sa version originale.
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J'ai renoué avec l'oeuvre de Dean Koontz quand l'éditeur m'a fait parvenir le tome 1 (en format poche) à l'occasion d'une masse critique sur Babelio. Dans la foulée, il m'a offert le tome 2 (en grand format). Ensuite, je ne pouvais qu'acheter et lire la suite. Ce qui est fait.

Si j'ai poursuivit ma lecture au-delà des deux volumes offerts, vous pensez bien que c'est parce que j'en étais satisfait. Mais à côté de la porte interdite ce n'est rien. Celui-là est « presque génial ». Pourquoi le presque ? Parce que tous les personnages sont marquants, même les méchants. Que l'intrigue... vous intrigue jusqu'au bout. Mais la fin fait un peu bâclée. Comme si l'auteur ne voulait pas dépasser un certain nombre de pages... ou ne savait pas trop comment finir sans que ça fasse « Happy End ». Jane Hawk s'en tire mais ce n'est que partie remise. Y aura-t-il une suite dans laquelle sa cavale reprendrait de plus belle ? C'est presque à souhaiter tant le succès de cette cabale contre laquelle elle lutte reste en suspens. Bien sûr, les petites mains auxquelles elle est confrontée sont éliminées, mais les gros bonnets, les vrais méchants sous toujours en arrière plan, dans leurs forteresse dorée. A-t-elle suffisamment mis la pagaille pour qu'ils soient obligés d'arrêter ? Peut-être, mais peu probable. Ce n'est pas avec les dernières pages de ce livre que vous le saurez.

En bref : Un thriller comme je les aime. Et j'en redemande. Pas tout de suite. Je ne suis pas fan des thrillers à ce point. :-) J'ai eu l'occasion d'allumer les éditions CODA pour leur pelliculage qui ne tient pas. Alors je ne vais pas rater les éditions Archipel. le pelliculage n'a pas tenu et en plus la couverture est désormais détériorée. Ça me rappelle une mésaventure similaire, il y a quelques années avec des volumes de la collection Ailleurs et Demain. Mais c'était au début des années 90.
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De retour dans la vie tumultueuse de Jane Hawk, juste après avoir terminé L'escalier du diable, il y a quelques jours. Avoir la possibilité et le temps d'enchaîner les deux derniers tomes en date était bien agréable, on ne perd rien de cet univers surréaliste dans lequel l'auteur plonge ses personnages mais aussi ses lecteurs. Il faut tout d'abord que je vous avoue que j'ai trouvé le rythme de ce roman, un peu moins soutenu que le précédent, la tension ne s'est pour ma part, mise à toucher le plafond que lors du dernier tiers de ma lecture. Il faut dire que je m'attendais à ce que cet opus soit le dernier et que Dean Koontz nous propose l'issue de la cavale de notre ex agent du FBI, qui est devenue celle que tout le monde traque. Mais chaque ligne, chaque explication, est nécessaire afin d'appréhender ce qui va suivre et de cela je ne peux trop vous en dire, il faut juste que vous sachiez que cela part dans tous les sens et quand je dis dans tous les sens…,On s'attache encore et toujours à ceux qui croisent et recroisent la route de Jane, on vibre et on craint pour leur sécurité car il faut dire que l'auteur ne nous ménage pas depuis le début de cette série...
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Quatrième livre de l'évangile du thriller, selon le Grand ordonnateur Dean Koontz. Quatrième épisode des aventures de Jane Hawk, ancienne inspectrice du FBI, à la fois pourchassée et chasseuse, après « Dark Web », « La chambre des murmures » et « L'escalier du diable ».

Oui, dans ce genre littéraire, Koontz est une sorte de divinité depuis les années 70. L'un des plus gros vendeurs aux USA, devant Stephen King. Les deux K qui ont partagé ma vie depuis quatre décennies.

La fin de l'histoire se profile, puisque la série compte cinq romans (Il reste donc à attendre avec impatience « The night window »).

Autant dire que pour tout amateur de ce genre, il faut absolument lire cette série dans l'ordre.

Le contexte, pour rappel : des thrillers d'anticipation, où une organisation secrète tente de changer le monde en sous-main à coups de manipulation mentale via les nanotechnologies, de meurtres déguisés en suicides et d'actes terroristes. Avec des hommes infiltrés dans toutes les strates du pays (politique, sécurité intérieure, FBI…).

Seule contre tous, Jane Hawk se bat pour la mémoire de son mari et pour la survie de son fils. Un gros caillou dans la chaussure de cette organisation de fous furieux.

Hors de question de raconter ce qui vous attend dans ce quatrième tome. Sachez que dans sa première partie il semble n'être question que d'une suite de la traque, avant que la situation ne dégénère sérieusement. Dès lors que La porte interdite est ouverte, plus rien n'est comme avant.

S'en est presque étonnant dans ce pavé (500 pages), l'héroïne principale est parfois en retrait, au profit de personnages secondaires assez incroyables. du bon côté, comme du mauvais.

En plus d'une intrigue totalement addictive, ils sont le sel de ce récit. C'était déjà le cas avec les précédents livres, c'est encore plus flagrant cette fois-ci.

Dean Koontz est un maître. Mettez ces protagonistes dans les mains de 90 % des auteurs de thrillers, ils deviendraient vite ridicules. Pas avec lui, il en fait au contraire une singularité forte. Ses personnages sont dingues, vraiment incroyables. Plusieurs sont hyper typés, à l'image par exemple d'un des membres de cette organisation, nihiliste, qui se voit comme pur esprit et est certain que rien n'existe à part lui.

Ce sont ces personnages, régulièrement mis au premier plan, qui permettent à l'auteur d'inventer des scènes ahurissantes et des dialogues aussi décalés que jouissifs. Oui, l'écrivain s'amuse dans cette histoire sombre.

Koontz joue avec les codes du genre, s'en moque parfois, les maîtrise à la perfection. Chaque nouveau livre développe une ambiance différente du précédent, de plus en plus sombre et violente.

Cette intrigue, qu'on imaginait lancée sur ses rails, déraille à un moment, pour le plus grand bonheur du lecteur. C'est bien simple, lors de cette « déviation » de l'histoire, j'ai posé mon livre pour applaudir des deux mains !

Et puis, en cette période incertaine pour les États-Unis, c'est intéressant de découvrir la vision de l'auteur sur les institutions et les populations.

« La porte interdite » est un thriller mené de main de virtuose, par un Dean Koontz très en forme, et qui ose. L'intrigue conspirationniste et l'idée des dérives des nouvelles technologies au profit des plus puissants fonctionnent à fond. Cette intrigue paranoïaque prend toujours plus d'ampleur pour un plaisir renouvelé.

Vivement le final, avec un cinquième et dernier tome qui s'annonce dantesque !
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Série Jane Hawk, tome 4 : La porte interdite

Les Arcadiens, une organisation secrète infiltrée partout, a mis au point un moyen de contrôler les individus. Jane Hawk, qui a percé le secret, est toujours en fuite, car les Arcadiens, et les agences à sa solde, sont à sa poursuite. Mais il y a pire. Pour affaiblir Jane, ils ont décidé de s'en prendre à Travis, son fils de 5 ans, et à ses beaux parents.

Et voilà que l'on emprunte une voie de garage pour se concentrer sur les menaces pesant sur Travis et les beaux-parents. Et moi qui pensais avancer dans les efforts de Jane face à la machination, je suis déçu, car l'intrigue principale est au point mort, Sans compter que Koontz intègre dans son récit un dénouement un peu Deus ex machina et des coïncidences pas toujours crédibles.

Mais Koontz connait son métier et ses personnages sont savoureux, y compris les animaux.

Bon, finalement je lui mets 4 étoiles, car, malgré ma déception, j'ai eu beaucoup de plaisir à le lire. Et j'attends la finale, avec le prochain livre, avec impatience.
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Mais quelle série ! Après la fin du tome 3 qui nous laissait sur un suspense haletant, j'ai enfin pu lire la suite des aventures de Jane Hawk. Ici, la jeune femme est un peu moins présente, au profit d'autres personnages, dont certains arcadiens que l'on suit dans leur traque. Occasion nous est alors donnée de voir la folie qui les habite, mais aussi leur orgueil qui leur fait croire qu'ils sont au dessus du commun des mortels. On retrouve également avec plaisir certains amis de Jane, toujours prêts à l'aider dans sa quête.
Grâce à des chapitres courts, qui rythment le récit et alternent les points de vue, on peine à lâcher ce livre avant la fin.
Encore un fois, Dean Koontz nous régale avec un tome prenant et plein de suspense, où les personnages se croisent et Jane comme son fils risquent à tout moment d'être découvert par les Arcadiens.
En attendant le cinquième (et dernier) tome, je remercie Mylène des éditions de l'Archipel et Netgalley pour cette lecture haletante.
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Jane Hawk n'a qu'un but : retrouver son fils avant que les arcadiens ne mettent la main dessus car alors tout s'écroulera pour elle. Jane ne peut compter que sur elle, les arcadiens ont sût la faire passer pour le beau monstre au niveau de la population. Ce qu'elle ne sait pas c'est que pour l'arrêter ils s'attaquent à sa belle famille et aux amis de son mari. Elle doit faire vite et même si les obstacles deviennent de plus en plus importants, Travis est son seul but.
Quel plaisir de retrouver Jane ,car le dernier tome m'avait laissé trop en attente d'une suite. le roman se lit très vite, les actions se déroulent à une telle vitesse qu'il est impossible de lâcher le récit.
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Tout d'abord, un grand merci à Mylène de L'Archipel pour ce thriller et sa confiance renouvelée. J'avais un fort doute à demander ce livre après la déception causée par le tome 3 de la saga, mais finalement la curiosité a été la plus forte car je pensais qu'il s'agissait de la fin de l'histoire. Malheureusement ce n'est pas le cas, j'espère m'en souvenir et ne pas vouloir encore lire la suite de cette série bien indigeste.

Ce volume raconte trois jour de la vie de Jane, toujours pourchassée à travers la Californie et le Texas par lesTechno-Arcadiens, une organisation secrète qui a infiltré tous les rouages de l'Etat et veut asservir la population grâce à un mécanisme de contrôle du cerveau. Jane essaie de récupérer son fils Travis, caché par un jeune homme autiste, tandis que ses ennemis veulent absolument s'emparer de ses beaux-parents.

Cet opus est vraiment navrant, entre les répétitions, les méchants tellement stupides que c'en est totalement invraisemblable, les gentils ne sont pas mieux. J'avais déjà trouvé le tome 3 assez indigent, mais là on est carrément dans une caricature. de plus l'intrigue n'avance pas, c'est juste une suite de rebondissements sans intérêts, de violence gratuite, à tel point qu'on n'est même pas pris dans l'histoire, on attend juste d'en avoir fini. L'intrigue est de plus en plus diluée dans des rebondissements grotesques, j'avais déjà l'impression que le tome 3 servait à rallonger la sauce, mais à force ça devient de l'eau sale.

L'idée de cette dystopie n'est pas mauvaise du tout et elle aurait vraiment pu être réussie si elle s'était concentrée sur un, voire maximum deux volumes, mais là on est est au quatrième, près de deux mille pages et on n'en voit pas le bout. Je sais que les livres de Koontz se vendent très bien aux USA et je suppose que ce lamentable feuilleton est surtout une opération commerciale très juteuse pour l'auteur. Il y a de nombreux auteurs mauvais genres américains qui gagnent des fortunes, comme Stephen King ou James Patterson, ce n'est pas le problème, pour autant que leur production présente de l'intérêt, mais cette série, qui semblait prometteuse après le premier tome, se termine en eau de boudin.

D'autres avis sont nettement plus positifs, mais j'ai lu tellement de meilleurs thrillers ou de meilleures dystopies que je trouve ce quatrième tome caricatural à l'extrême et sans intérêt pour moi, j'espère m'en souvenir lors de la parution du prochain (et dernier ?) opus.

#LaPorteInterdite #NetGalleyFrance

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