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Jacqueline Lenclud (Traducteur)
EAN : 9782266025669
343 pages
Pocket (06/11/1998)
3.28/5   207 notes
Résumé :
Danny, 10 ans, est mort dans un effroyable accident. Et Tina, sa mère, n'a jamais pu identifier son corps. Un an plus tard, des signes prouvent pourtant à Tina que son fils est toujours en vie. Dès lors, elle n'a qu'une obsession : le retrouver et découvrir la vérité. Mais elle dérange et les services secrets tentent de l'assassiner. Qu'ont-ils à cacher ? Et si Danny était celui par qui la fin de l'humanité pouvait arriver ?
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Critiques, Analyses et Avis (88) Voir plus Ajouter une critique
3,28

sur 207 notes
Le livre qui a prédit l'épidémie de coronavirus ! (ou pas)

L'histoire suit le parcours de Christina Evans, Américaine au bord du gouffre depuis la mort de son jeune fils, Danny, dans un accident de bus. Les phénomènes surnaturels se multipliant autour d'elle depuis ce tragique événement, elle se refuse de sombrer dans la folie et mène sa propre enquête. le passage qui a rendu ce livre si célèbre est sa fin (spoilers) : Danny a en réalité été capturé par des scientifiques américains qui lui ont inoculé le Wuhan-400, virus mortel et incurable, élaboré artificiellement dans les laboratoires à proximité de la fameuse ville chinoise aux marchés aux poissons. S'ensuit un long descriptif du virus : symptômes se caractérisant par des vertiges, des malaises et des crises d'hystérie, poussant parfois les malades à déchirer les combinaisons d'astronaute des médecins venus les emmener de force (ça vous rappelle quelque chose ? https://youtu.be/rKek0Y30Ctw) ; mort propre et rapide, évitant au gouvernement chinois des pertes de temps et d'argent à chaque utilisation de cette "arme biologique" qu'est le Wuhan-400.

Pour mesurer l'emballement qui s'est déchaîné autour de cette oeuvre, il suffit de regarder du côté commerçant. Les ventes grimpent en flèche, au grand dam des éditeurs qui avaient rapatrié ce petit thriller inconnu loin des têtes de gondole, ce qui a aussitôt fait flamber les prix. Désormais, comptez dans les 350 euros pour acquérir une édition poche de The Eyes of Darkness, d'occasion bien sûr. Sur eBay, les heureux propriétaires s'en donnent à coeur joie, avec des reventes à près de 400 euros. Autrement dit, si vous le possédez, c'est le moment ou jamais pour le lire et le revendre ^^

Pour compliquer le schmilblick, il existe deux éditions bien particulières de ce livre :

- Une première version, vendue de 1981 à 2008 en anglais et en français, qui ne mentionne jamais Wuhan. En effet, l'action y est transposée à Gorki, en Russie.

- Une seconde version révisée, vendue depuis 2008, où toutes les allusions à Gorki et la Russie ont été gommées comme par magie, afin de les remplacer par Wuhan et la Chine (probablement suite à la fin de la guerre froide). C'est donc cette version qui nous intéresse. Note importante, elle n'a pas été traduite en français.

Bien évidemment, selon moi, ce livre n'est rien d'autre qu'un ironique enchaînement de coïncidences, qui transforme un banal thriller en bête de foire des réseaux sociaux. Il n'empêche que ça suffit à pas mal de monde pour hisser Dean Koontz au rang de prophète, venu avertir l'humanité d'un grand péril qui pourrait la mener à sa perte, couplé aux obscures prédictions de Sylvia Browne qui évoquait une "pneumonie" incurable surgissant en 2020, sans plus de précisions. J'admets que Koontz a assurément un grand talent de conteur, il ne faut toutefois pas franchir un pas aussi grand, ce que certains font pourtant allègrement. J'ai même pu lire sur Twitter que The Eyes of Darkness était "le Livre des Illuminati", c'est pour vous dire la psychose qui s'est emballée autour de ce roman d'espionnage. De plus, quelques différences subsistent entre le Wuhan-400 et le Covid-19 : leur période d'incubation (24 heures pour le premier, 14 jours pour le second), le taux de mortalité (100%, 2%), la manière dont le virus s'y prend pour tuer son hôte (attaque du système nerveux, attaque du système respiratoire), et bien sûr leur nature (artificielle et naturelle) !

Et l'histoire en elle-même ? Elle est assez sympathique, même si elle passe malgré elle au second plan dans les circonstances actuelles. Ce thriller flirtant avec l'horreur paranormale est plutôt bien réussi, tient en haleine le lecteur avec une précision toute américaine. En somme, un roman mené tambour battant réussi sur tous les plans. Les similitudes avec l'épidémie qui sévit ces temps-ci, ne peut qu'être la preuve que Koontz sait écrire des histoires aux allures crédibles et réalistes, ce qui est tout à son honneur.

Bonnes lectures ! =)

Update du 11/04 : Bonne nouvelle, la version Wuhan des Yeux des Ténèbres va être traduite en français ! Elle sera disponible sur les étagères des librairies et sur Amazon dès le 20 mai 2020, pour la modique somme de 22 euros. Avec, marketing oblige, un gros bandeau flashy faisant le parallèle avec le Covid-19 !
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Ahhh... Dean Koontz, auteur que j'apprécie de plus en plus, certainement pas autant que Stephen King mais certains de ses romans valent vraiment le détour.
"Les Yeux des Ténèbres" malgré que sur l'édition que je possède qui a un bandeau un peu racoleur disant "Le thriller qui a enflammé les réseaux sociaux", sans trop spoiler, c'est un parallèle un peu tiré par les cheveux entre le bouquin et la pandémie de 2020.

Christina Evans plus connue sous son diminutif Tina, vit tant bien que mal la mort de son fils Danny mort à l'âge de dix ans.
Femme divorcée et femme entrepreneur qui s'est fait malgré tout une place dans le monde du strass et des paillettes de Las Vegas, la vie recommence à lui sourire.
Mais petit à petit, il va se passer de plus en plus de choses étranges dans sa vie qui vont la ramener aux vieux démons de la mort de son fils...

Beaucoup de personnes qualifient Dean Koontz d'être un écrivain de série B ayant connu quelques succès.
Alors je suis loin d'avoir tout lu de Koontz, surtout qu'il y a un paquet de ses bouquins qui n'ont jamais été traduits en France, mais perso, j'apprécie ses livres pour le moment.
Il faudrait que je relise "La Cache du Diable". Premier livre de Koontz que j'ai lu quand j'étais môme et je me souviens que j'avais moyennement aimé. Pourquoi pas retenter.

En tout cas pour ce qui est de celui-ci, il est bon, ce n'est pas un chef-d'oeuvre c'est sûr mais il est vraiment pas mal.
Ce qui lui a porté préjudice peut-être c'est tout le tatouin qu'il y a eu dans les médias aux États-Unis au moment de la pandémie de coronavirus. Mais pour ça il faut lire le livre. C'est un bon thriller, un bon roman de science-fiction et d'épouvante. Il ne faut surtout pas faire de raccourcis un peu trop faciles et téléphonés dans toute cette hystérie collective qu'il y a eu pendant le covid.
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Dean Koontz fait partie de ces auteurs que je suis depuis des décennies, et qui ont tâté un peu de tous les genres, horreur, thriller, un peu de SF, fantastique... Comme pour tout écrivain prolifique, il y a à boire et à manger dans ses écrits, et si j'ai vraiment aimé les premiers livres parus en France sous son nom, ainsi que plus récemment sa série Jane Hawk (en tout cas les trois premiers tomes), j'avoue en avoir sans doute trop attendu avec cette réédition de "Les yeux des ténèbres", que j'avais lu début des années 90, dans sa première version. Il faut dire que les médias l'ont présenté de façon très trompeuse comme le livre qui avait prédit 40 ans à l'avance l'épidémie que nous subissons actuellement.
Mais que nenni ! Oui, il y a bien une histoire d'épidémie là-dedans, mais qui n'a pas grand-chose à voir avec le covid, si ce n'est l'origine du virus (Wuhan), et encore, à l'origine il était russe. Mais l'Histoire (avec un grand H) a fait qu'il était plus pertinent de délocaliser la bestiole, la guerre froide n'étant plus très vendeuse...
L'essentiel de l'histoire est centré sur Tina, organisatrice de revues à Las Vegas, dont le fils Danny est décédé deux ans auparavant lors d'une sortie avec les scouts. Leur bus s'est écrasé dans un ravi en pleine montagne, pas de survivants, et les corps étaient trop abîmés pour qu'on puisse les montrer aux malheureux parents avant l'enterrement. Or voici que Tina est réveillée chaque nuit par des bruits en provenance de la chambre de Danny, et que de mystérieux messages lui sont adressés sur le tableau noir de son fils. Perturbée, elle convainc son nouvel amant, Michael, un riche avocat, ancien des Services Secrets, de l'aider à trouver la provenance de ces manifestations.
Une intrigue assez simpliste, mais efficace, il est juste dommage qu'elle soit diluée avec une romance sirupeuse qui n'était pas vraiment nécessaire. du coup, comme l'on noté nombre d'autres lecteurs, le dénouement est vraiment bâclé, comme si l'auteur s'était brusquement aperçu qu'il ne lui restait que 20 pages pour boucler son histoire. Il y a un gros coup d'accélérateur dans la toute dernière partie, et certains détails sont vraiment à la limite de l'invraisemblance; Je ne me souviens plus si c'était déjà le cas dans la première version...
Les aficionados de Koontz aimeront quand même, mais se diront sans doute comme moi que c'est loin d'être une de ses meilleures productions.
Vite lu, mais qui ne figurera certainement pas dans mes "lectures de l'année". Et surtout ne l'achetez pas pour l'argument marketing du "visionnaire du covid" !
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Un roman d'espionnage qui se cherche.

Un peu trop de fantastique à mon  goût pour ce genre de livre.

Et le fantastique excuse beaucoup trop de choses.

Une histoire facile qui a la chance, à mon avis, de se dérouler à l'époque de son écriture soit dans les années 80, ce qui donne un charme sympathique aux décors et situations du livre.

Amis lecteurs, passez votre chemin.
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Il faut souvent écouter nos... deuxièmes intuitions. J'avais récupéré instinctivement ce livre de Dean Koontz quand les réseaux sociaux bruissaient de l'information qu'il avait prédit bien des années avant l'épidémie qui allait nous toucher. Dans un deuxième temps, je m'étais dit que lire un livre sur une pandémie en pleine pandémie n'était pas le meilleur moyen de faire fonctionner à plein régime la sensation d'évasion qu'est censé procurer une bonne lecture. Un an après.... l'épidémie est toujours là et je me suis dit que je risquais peut-être de ne jamais le lire si j'attendais la survenue du monde d'après !

Après une trentaine de pages, j'ai été vérifié que je ne m'étais pas trompé ou qu'il n'y avait pas eu de bug dans le téléchargement avec une différence entre le titre et le contenu du ebook. Parce que je ne voyais pas du tout à quel moment un virus allait intervenir et influencer cette histoire d'une mère qui ne parvient pas à se convaincre que son fils est bien mort... dans un accident d'autocar. Mais non, après vérification il s'agissait bien du livre qui avait "enflammé les réseaux sociaux", selon le bandeau promotionnel. Je commençais à sentir pointer l'arnaque éditoriale... Et quand on constate ensuite que les premiers indices sur un possible virus n'arrivent qu'alors qu'il ne reste même pas un tiers du livre... Et que la première mention d'un virus arrive alors que le compteur de pourcentage restant est à un seul chiffre.... Et qu'à part virus et Wuhan, ce qui est décrit n'a vraiment rien à voir avec ce que nous vivons... je suis très heureux de remercier NetGalley et les éditions de l'Archipel de m'avoir permis de ne pas débourser un centime pour cette lecture pour m'éviter une envie de saisir la justice !

Après cette longue introduction contextuelle, quelques mots quand même sur l'histoire en elle-même. Un style plutôt efficace, notamment sur toutes les scènes d'action pure... qui n'arrive malheureusement que vers la moitié du livre. Car si les passages concernant la mère en deuil sont plutôt réussis même si classiques, le long début de romance entre la chorégraphe et l'avocat m'a paru bien fastidieux, sans doute parce que je ne suis pas client des romances et que ce n'est pas du tout ce que je m'attendais à trouver dans un thriller. Ce temps trop long pris au début pour développer ce lien entre les personnages aboutit à une fin bâclée. On a l'impression que l'aspect un peu SF-surnaturel a été surtout exploitée pour permettre aux héros de rusher sur le final faisant fi de toutes les difficultés en travers du chemin, jusqu'à nous économiser même le face à face avec le grand méchant. Et quel dommage également que les interrogations finales de la mère ne puissent se développer qu'en une seule phrase, c'est tout ce que l'auteur lui aura accordé, il lui avait sans doute trop donné avec la belle romance avec le riche avocat.

Je pense qu'une certaine aigreur ressort de cette critique, comme quoi le buzz médiatique peut avoir des effets pervers à long terme même si elle aura forcément permis une belle augmentation illogique des ventes !
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Citations et extraits (10) Voir plus Ajouter une citation
To understand that, Dombey said, you have to go back twenty months. It was around then that a Chinese scientist named Li Chen defected to the United States, carrying a diskette record of China's most important and dangerous : new biological weapon in a decade. They call the stuff "Wuhan-400" because it was developped at their RDNA labs outside the city of Wuhan, and it was the four-hundredth viable strain of man-made microorganisms created at that research center.
Wuhan-400 is a perfect weapon. It afflicts only humans being. No other living creatures can carry it. And like syphilis, Wuhan-400 can't survive outside a living human body for longer than a minute, which means it can't permeanently contaminate objects or entire places the way anthrax and others virulent microorganisms can. And when the host expires, the Wuhan-400 within him perishes a short while later, as soon as the temperature of the corpse drops below eighty-six degrees Farenheit. Do you see the advantage of all this ?
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C'est là que le paradoxe lui sauta à la figure comme un diable qui sort d'une boîte : d'un côté elle se comportait comme si elle ignorait la vérité, de l'autre elle cherchait à l'obtenir par l'intermédiaire de Stryker que l'on rouvrît la tombe de son fils, ce qui semblait indiquer qu'elle savait quelque chose. A en croire Stryker, ses motivations étaient innocentes : elle entretenait des remords pour n'avoir pas eu le courage de voir le corps mutilé de son fils avant la mise en bière. Elle avait l'impression d'avoir manqué aux égards les plus élémentaires vis-à-vis du défunt et ce sentiment de culpabilité avait engendré, toujours aux dires de l'avocat, des troubles psychologiques sérieux, cauchemars, etc.
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Le type s’installe à sa table de jeu et il est tellement absorbé qu’il perd complètement la notion du temps ; entre parenthèses, c’est ce que désire la direction, et c’est pourquoi il n’y a jamais ni fenêtres ni pendules dans un casino. Mais il arrive de temps en temps que le joueur ne se rende plus compte de rien et continue partie sur partie comme un zombie ; par-dessus le marché il boit comme un trou et quand il se lève d’un bond, le sang fiche le camp de son cerveau et bang ! il tombe évanoui.
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Apparemment, quand un enfant meurt, la pire chose que les parents puissent faire c'est de refuser de le voir dans son cercueil. Il faut passer un certain temps avec le défunt pour être en mesure d'accepter de ne jamais le revoir vivant.
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On lui avait inoculé une maladie fabriquée artificiellement en laboratoire, et il est le seul à avoir survécu : car il possède un anticorps naturel qui l’aide à lutter contre ce virus très particulier puisque synthétique. Le docteur Tamaguchi, qui est à la tête de ce Centre, a fait pression sur nous, je dirais même qu’il ne nous a pas laissé une seconde de répit jusqu’à ce que nous ayons réussi à isoler cet anticorps et à comprendre comment l’enfant avait réussi à détruire le virus.
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