L'histoire pourrait se résumer en 6 lignes et pourtant
Koontz arrive à vous tenir en haleine 639 pages sans que vous aillez trouvé le temps de vous ennuyer.
Les personnages sont intéressants et le suspense prenant, si bien qu'on pardonne à l'auteur les quelques invraisemblances du scénario et l'abus d'angélisme de la "morale de l'histoire".
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