Meilleur tome de Love Pistols depuis le début, il m'a convaincu que mon premier sentiment sur l'originalité du scénario était le bon. le manga semble tenir ses promesses sur la longueur avec beaucoup de rebondissements dans l'intrigue tout en restant bourré d'humour, ce que j'adore. Dans ce tome Norio va faire la connaissance de la famille de Yonekuni et Kunimasa qui vont l'apprendre à parfaire sa méthode de camouflage afin de maîtriser son aura animale... une famille plutôt extravagante qui va provoquer bon nombre de tentations sexuelles au programme. J'ai eu un gros coup de coeur pour le petit frère de Kunimasa qui m'a fait terriblement sourire avec son brother complex qui le consume de jalousie envers Norio, la "femelle" attitrée de son grand frère ! Tandis que le puîné de la fratrie s'éprend à son tour de Norio qui n'en finit plus d'être la source de toutes les convoitises. La relation entre Norio et Kunimasa va être mise à l'épreuve une fois de plus avec un dilemme en fin de tome qui s'annonce des plus savoureux pour la suite. Un cocktail explosif qui m'a presque fait oublier les imperfections graphiques récurrentes concernant les mains des personnages. Vivement la suite.
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J'aime toujours autant l'histoire même si le graphisme ne casse pas la baraque.
J'ai toute fois était déroutée par le couple principal où la relation semble s'être inversée sans que l'on ne sache ni comment, ni pourquoi.
Comme dans tout bon Yaoi il faut le personnage perturbateur et alors c'est quitte ou double. Pour ma part je hais ce personnage en long en large et en travers. Je ne le trouve pas gratifiant, il est juste là pour faire capoter l'histoire. Je retiens tout de même que même sans ce personnage, l'histoire aurait pu capoter d'elle-même tant l'un des personnages ne comprend rien aux sentiments de l'autre.
Je reste encore une fois curieuse de voir la suite.
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Sois cruel, sois froid, sois méchant jusqu'à ce que je ne puisse plus penser. Je ne veux pas de ta douceur. Emporte moi avec la violence d'une vague imprévisible.
Si seulement j'avais été une femme... notre relation aurait été plus simple. Si j'avais été une femme, j'aurais pu lui dire ce que je ressentais;
Tu joues les jeunes vierges effarouchées devant moi et tu remues ton cul devant lui !