>
Critique de Titania
L'avenir de l'amour est posé dans un essai mi psychologique, mi sociologique, qui se donne pour objectif d'examiner le sujet à travers la perception qu'en ont les jeunes de la « génération Y ».
Pour faire clair, je suis la génération du « Baby boom », et mes enfants de 30 et 32 ans c'est la génération étudiée. Bref, avec ce livre je dois normalement comprendre comment fonctionnent mes gamins.
Un essai en 9 chapitres, structurés de la même façon, à savoir un titre, une citation, quelques témoignages et une analyse. L'auteur s'appuie sur des entretiens et des références solides, comme André Comte Sponville, Eva Illouz, Marie-France Hirigoyen, Lacan….on ne peut les citer tous, il y a quatre pages de bibliographie à la fin. Ce travail se prétend une bonne synthèse d'études pluridisciplinaires sur la question du couple et de l'amour.
La thèse défendue c'est la conviction que s'il y a bien une chose intéressante dans la vie c'est l'amour, et que la vie de couple mérite qu'on s'y intéresse et qu'on cherche à la préserver. Mais pour réussir à convaincre et distiller certains conseils pour faire durer ces couples, il faut comprendre comment les jeunes fonctionnent, dans le contexte social, économique et culturel avec Internet qui est le leur. Il est beaucoup question de sexe dans ce livre puisque c'est le point de départ de la plupart des relations.
On apprécie donc "la minute psy" et l'image amusante de la piscine, pour comparer l'orgasme des hommes et des femmes, très utile à rappeler ...aux hommes jeunes et moins jeunes, ainsi que les chapitres sur l'altérité, le désir, ou encore la fidélité.
Et comme on en apprend à tous les âges, ce petit bouquin est utile si vous voulez savoir ce qu'est un PQO ou un PQR, des couples « fissionnels », « polyamoureux », les « trouples » les « no strings », les « no sex », et la « polygamie lente » .
Quand une opération Masse critique vous recentre sur quelque chose d'aussi essentiel que l'amour même si ça fait des bosses nombreuses et....inévitables - mais ça vaut le coup de prendre des risques pour vivre un peu intensément - on ne saurait trop remercier l'auteur, l'éditeur et Babélio de vous avoir permis de passer une soirée agréable.
Pour faire clair, je suis la génération du « Baby boom », et mes enfants de 30 et 32 ans c'est la génération étudiée. Bref, avec ce livre je dois normalement comprendre comment fonctionnent mes gamins.
Un essai en 9 chapitres, structurés de la même façon, à savoir un titre, une citation, quelques témoignages et une analyse. L'auteur s'appuie sur des entretiens et des références solides, comme André Comte Sponville, Eva Illouz, Marie-France Hirigoyen, Lacan….on ne peut les citer tous, il y a quatre pages de bibliographie à la fin. Ce travail se prétend une bonne synthèse d'études pluridisciplinaires sur la question du couple et de l'amour.
La thèse défendue c'est la conviction que s'il y a bien une chose intéressante dans la vie c'est l'amour, et que la vie de couple mérite qu'on s'y intéresse et qu'on cherche à la préserver. Mais pour réussir à convaincre et distiller certains conseils pour faire durer ces couples, il faut comprendre comment les jeunes fonctionnent, dans le contexte social, économique et culturel avec Internet qui est le leur. Il est beaucoup question de sexe dans ce livre puisque c'est le point de départ de la plupart des relations.
On apprécie donc "la minute psy" et l'image amusante de la piscine, pour comparer l'orgasme des hommes et des femmes, très utile à rappeler ...aux hommes jeunes et moins jeunes, ainsi que les chapitres sur l'altérité, le désir, ou encore la fidélité.
Et comme on en apprend à tous les âges, ce petit bouquin est utile si vous voulez savoir ce qu'est un PQO ou un PQR, des couples « fissionnels », « polyamoureux », les « trouples » les « no strings », les « no sex », et la « polygamie lente » .
Quand une opération Masse critique vous recentre sur quelque chose d'aussi essentiel que l'amour même si ça fait des bosses nombreuses et....inévitables - mais ça vaut le coup de prendre des risques pour vivre un peu intensément - on ne saurait trop remercier l'auteur, l'éditeur et Babélio de vous avoir permis de passer une soirée agréable.
