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Critique de Alfaric


Ce tome 66 intitulé "Sorry, I Am Strong" aurait pu être bien... Encore une fois oui mais non !
On a un personnage emblématique de la série qui passe contrait et forcé du Côté Obscur de la Force, et cela aurait pu être l'occasion de développer pathos et tragédie mais inséré dans les loufoqueries du savant fou au nouveau look débile et des combats zombies versus zombies c'est OSEF... Et puis le coup de la drogue qui permet de remonter le temps c'est WTF !
Après les marionnettes du pouvoir de la mort, les marionnettes du pouvoir de l'amour ! Pépé Waccabrada : qu'est-ce c'est que cette caricature de Barry White déguisé en Cupidon avec des couilles éléphantesques qui dépassent presque de son pagne ? C'est nul, et en plus les Stern Ritters passent autant de temps à s'entre-tuer pour monter en grade en s'attirant les bonnes grâce d'Yhwach qu'à accomplir leur mission qui est d'anéantir la Soul Society jusqu'au dernier de ses membres...
Le boss de fin et sa garde rapprochée débarquent au palais spirituel, tous attendus de pieds fermes par les membres de la Division Zéro : c'est ainsi que Nianzol Weizol, Gerard Valkyrie, Lille Barro, Askin Nakk le Vaar et Pernida Parnkgjas affrontent Tenjirô Kirinji, Ichibē Hyōsube, Ôetsu Nimaiya, Senjumaru Shutara, Kirio Hikifune (ouf la symétrie est respectée avec 5 combattants de chaque côté, mais on évite pas les clichés sexistes récurrents dans les shonens mainstream à rallonge des années 2000). Sauf qu'on repart dans les conneries habituelles super forts / super faibles, et je ne vais pas épiloguer vu que vous savez déjà ce que je pense de la gestion des niveaux de puissances dans ce manga :
- j'explique longuement mon pouvoir, car je suis le plus fort et je vais te buter en un seul coup...
- non c'est moi qui suis le plus fort et qui va te buter un seul coup, donc c'est moi qui va expliquer longuement mon pouvoir...
Pour ne rien gâcher, le mangaka fait du suspens eco+ en reprenant tels quels les twists déjà usités dans l'Arc des Arrancars... Soupirs !
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