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Citations sur Les chevaliers du Zodiaque - St Seiya, tome 2 (11)

Dans une vieille histoire qui raconte depuis longtemps en Chine… un homme vendait des lances et des boucliers… Ses boucliers étaient si résistants qu’aucune lance ne pouvait les transpercer… Ses lances étaient si affûtés qu’elles pouvaient transpercer n’importe quel bouclier. […] Un bouclier qu’une lance ne peut traverser… Une lance à laquelle aucun bouclier ne résiste… Que se passe-t-il si on les oppose ?
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Une promesse non tenue, c’est un mensonge.
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L’armure sacrée de la constellation du Cygne est issue du mur des glaces éternelles, un glacier né durant la première grande glaciation au début de l’ère quaternaire, autrement dit il y a plus d’un millions d’années. Ce glacier n’a jamais fondu une seule fois depuis. Aussi aiguisés que soient tes crochets, ils ne pourront jamais la transpercer. D’ailleurs, même pour le plus puissant des chevaliers, il serait impossible de la détruire.
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Même dans ses poèmes, Li Bai parle de la cascade de Lushan. « De loin je contemple la cascade suspendue au-delà du fleuve. De trois mille pieds, rapide, elle se jette et descend, droite comme un flèche. On dirait la Voie Lactée tombant du neuvième ciel ». Oui Shiryû, c’est comme si l’eau de cette cascade tombait du ciel ! Alors renvoie-la d’où elle vient ! Si tu y parviens, tu seras digne de porter l’armure d’un chevalier sacré ! Celle de la constellation du Dragon !
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- A chaque fois que tu déclenches le Shôryûha, tu concentres toutes tes forces et inconsciemment, tu baisses ton poing gauche. Cela ne dure qu’un centième voire un millième de seconde, mais durant cet instant, ton cœur est vulnérable. C’est la seule faille de ton attaque.
- Hum ! Dans ce cas, je n’ai pas à m’en faire. Personne d’autre que vous, maître, n’est capable de remarquer cette fraction de seconde de vulnérabilité. Et même si je rencontrais quelqu’un qui le découvre, il lui serait pratiquement impossible de me frapper à cet instant-là… puisqu’il aurait déjà été emporté par l’attaque du Shôryuha.
- Néanmoins, Shiryû, si un jour tu fais face à cette personne… Et si elle capable de te frapper au cœur précisément à ce moment-là, tu mourras sans aucun doute possible.
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- Comment un homme seul pourrait-il inverser le cours de la grande cascade de Lushan ? C’est contraire aux lois de la nature ! A moins d’avoir la force d’un dieu, c’est impossible pour un homme.
- Les lois de la nature ? Elles n’ont jamais précisé que le courant des rivières devait s’écouler de haut en bas. Le Yangzi Jiang n’échappe-t-il pas lui-même à cette règle ?
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[le public] AAAH ! Shun, tu es le meilleur.
[le public] Quelle beauté ! J'ai du mal à croire que c'est un homme !
[Jabu] Eh bien...quel succès ! Ce n'est pas chevalier que tu aurais dû devenir, mais pop star.
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L’endroit où l’on m’a envoyé pour que je devienne un chevalier n’est autre que Wulaofeng, dans la montagne de Lushan en Chine, célèbre pour sa légende de Ryûjin, le dieu dragon.
La grande cataracte de Wulaofeng serait nourrie depuis les temps anciens de la chute des fragments d’étoiles de la voie lactée dans les neufs cieux. C’est dans les profondeurs de cette grande cataracte que sommeillait l’armure sacrée du dragon. Elle incarnerait le dragon lui-même, trempée dans l’eau de la voie lactée depuis la nuit des temps, plus brillante et plus résistante encore qu’un diamant.
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[Hyoga à Ichi] On raconte que l’Hydre de Lerne en Argolide en Grèce possédait neuf têtes venimeuses qui repoussaient aussitôt qu’on les coupait et qu’elles crachaient du venin… Ainsi, tes crochets ont les mêmes facultés…
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- Depuis combien d’années vis-tu ici à Wulaofeng ?
- Cela va faire cinq ans maître.
- Hum… Cinq ans d’apprentissage… C’est bien plus qu’il n’en faut à un poussin pour s’envoler dans le ciel.
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