J'avais beaucoup aimé le premier tome et la suite confirme le potentiel de cette courte série. Haru est surprise par son père qui finit par embaucher une nourrice pour s'occuper de la petite fille et éviter qu'elle ne parte de chez elle.
Les inégalités sont de nouveau mises en avant : entre Chinois et Japonais, entre Japonais riches et pauvres. C'est dur de voir que même au niveau des enfants, la différence est toujours présente. Mais on ne se cache pas, elle vient essentiellement des adultes... Toujours très fort, mais aussi dur avec les moments d'animosité. Un manga à découvrir !
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