Arnaud de L'Estoile/5
1 notes
Résumé :
Éliphas Lévi: "La philosophie occulte semble avoir été la nourrice ou la marraine de toutes les religions, le levier secret de toutes les forces intellectuelles, la clef de toutes les obscurités divines." De son vrai nom Alphonse-Louis Constant, ce fils d'un modeste cordonnier, brillant élève, se destinait à une carrière ecclésiastique. Mais, tombé amoureux d'une jeune fille, il s'enfuit du séminaire et connut une vie d'errance et de misère, ponctuée de séjours en p... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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La fin du dix-neuvième siècle fut, on le sait, riche en occultistes de toutes sortes.
Parmi eux, figurent plusieurs français : Kardec, Péladan, et Eliphas Lévi.
C'est à ce dernier qu' Arnaud de L'Estoile consacre ce volume de la collection "Qui suis-je"(Pardès).
Né Alphonse-Louis Constant, Eliphas Lévi (1810-1875) eut une existence romanesque.
Ce fils de cordonnier se destinait à une carrière ecclésiastique, ce qui est déjà un signe d' intérêt pour la spiritualité, mais tombé amoureux d'une jeune fille, il quitte précipitamment le séminaire !
Commence alors pour lui une vie d'errance misérable, sans toutefois qu'il abandonne tout à fait l'idée d'être un jour prêtre.
Toujours passionné par la spiritualité et le mysticisme, gardant tant bien que mal des relations avec l'Eglise, constant et même un temps employé au diocèse d'Evreux.
Mais c'est bel et bien l'occultisme qui l'emporte sur le christianisme.
En 1854, au cours d'un séjour en Angleterre, il rencontre Edward Bulwer Lytton, à son retour en France il prend le nom d'Eliphas Lévi et devient une personnalité majeure de l'occultisme.
Son influence dépasse les seuls cercles occultistes et va s'étendre sur le monde des arts : Villiers de l'Isle Adam, Baudelaire, Rimbaud, entre autres reconnaitront Lévi comme l'une de leurs influences.
Eliphas Lévi s'éteint en 1875 après avoir vécu une vie parfois difficile mais en laissant une oeuvre qui est encore couramment citée par les amateurs d'occultisme (Kabbale, Rosicrusisme, Franc-Maçonnerie...)
Arnaud de l'Estoile, signe ici un petit livre érudit et documenté sur un personnage complexe au parcours aussi chaotique qu'intéressant.
Parmi eux, figurent plusieurs français : Kardec, Péladan, et Eliphas Lévi.
C'est à ce dernier qu' Arnaud de L'Estoile consacre ce volume de la collection "Qui suis-je"(Pardès).
Né Alphonse-Louis Constant, Eliphas Lévi (1810-1875) eut une existence romanesque.
Ce fils de cordonnier se destinait à une carrière ecclésiastique, ce qui est déjà un signe d' intérêt pour la spiritualité, mais tombé amoureux d'une jeune fille, il quitte précipitamment le séminaire !
Commence alors pour lui une vie d'errance misérable, sans toutefois qu'il abandonne tout à fait l'idée d'être un jour prêtre.
Toujours passionné par la spiritualité et le mysticisme, gardant tant bien que mal des relations avec l'Eglise, constant et même un temps employé au diocèse d'Evreux.
Mais c'est bel et bien l'occultisme qui l'emporte sur le christianisme.
En 1854, au cours d'un séjour en Angleterre, il rencontre Edward Bulwer Lytton, à son retour en France il prend le nom d'Eliphas Lévi et devient une personnalité majeure de l'occultisme.
Son influence dépasse les seuls cercles occultistes et va s'étendre sur le monde des arts : Villiers de l'Isle Adam, Baudelaire, Rimbaud, entre autres reconnaitront Lévi comme l'une de leurs influences.
Eliphas Lévi s'éteint en 1875 après avoir vécu une vie parfois difficile mais en laissant une oeuvre qui est encore couramment citée par les amateurs d'occultisme (Kabbale, Rosicrusisme, Franc-Maçonnerie...)
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