Avant 2016, et ma lecture de l'intégrale de ses célèbres
fables,
Jean de la Fontaine était pour moi ces souvenirs de l' école primaire des années 60 où nous apprenions le lièvre et la tortue,
le corbeau et le renard,
le loup et l'agneau, La cigales et la fourmi... évocations nostalgiques de ces vers appris par coeur et que nous restituions d'une voix parfois pressée et hésitante.
C'est la lecture, encore récente, des
fables d'
Esope, qui m'a mieux fait apprécier l'apport inestimable
De La Fontaine au genre: L'enrichissement et la mise en musique par les vers. La partition poétique, qui a permis à ces
fables de rester des morceaux intemporels et populaires.
Cette mélodie particulière, rend aussi ces petites pièces et leur morale et leur bon sens, intelligible à tous.
Une modernisation de petits contes moraux et immémoriaux a propulsé
Jean de la Fontaine dans l'immortalité des auteurs incontournables. de ceux dont les trésors littéraires ont enrichi le patrimoine littéraire de la France.
Alors, moult et grands mercis, monsieur
De La Fontaine.
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