"Dans le chaud silence d'un après-midi d'août, Henri nous divisa en deux groupes. A ma surprise, il me confia un commandement et s'attribua l'autre. Le jeu consistait à capturer des prisonniers et à les faire parler. Les vainqueurs seraient ceux qui les premiers découvriraient le fanion de l'équipe adverse."
"Une crainte irréfléchie m'a obligé à retenir mon souffle. C'était stupide, mais j'ai senti que je ne pourrais pas me débarrasser de cette peur; qu'elle irait en s'aggravant. Je n'en comprenais pas le sens'.