Quand on me demande comment je vois ma propre trajectoire dans le cinéma québécois, je réponds que je ne la vois pas. Je n’y pense pas, je laisse cette problématique à d’autres. […] Mon problème est mon prochain scénario. J’y pense tout le temps. Je suis dans un état d’obsession total. C’est quoi le premier plan ? Comment va-t-on le tourner ? […] Je vais finir en faisant des films, c’est ça que j’aime et c’est ce dans quoi je suis le meilleur.