Le sexisme, nous vivons entouré par cela est un préjugé, une attitude ou mépris de l'autre selon le sexe et le genre. nous considérons que l'homme est le - chef de famille - donc de son économie et que la femme doit se limiter à prendre soin des enfants, du ménage.
Il y a une date à retenir, c'est le 13 Juillet 1965, il y a à peine 54 ans une loi est voté pour autoriser les femmes à ouvrir un compte bancaire en leur nom et travailler sans le consentement de leur mari. La femme n'est ni un objet, ni une marchandise...
L'amour se prouve toujours par l'estime, le respect de soi-même et le respect des autres...
La femme est l'égal de l'homme !!!
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Cela dit, aujourd'hui dans un monde où les réseaux sociaux - ne devrait-on pas les qualifier d'sociaux ? - déversent, le plus souvent sous couvert d'anonymat, des torrents de violence, de brutalité, de vulgarité, de bêtise agressive, il serait peut-être temps de prendre la mesure du pouvoir des mots, de leur in fluence sur les manières d'être.
On a coutume de dire que les paroles s'envolent, que les écrits restreint. C'est sans doute vrai juridiquement. Mais c'est largement inexacte au plan psychologique et social. Si les mots s'envolent, c'est pour aller se nicher dans l'inconscient de l'homme d'où, un jour ou l'autre, sous l'effet d'un stimulus plus ou moins prévisible, ils rejailliront, convertis en actes. Le venin est là, avant tout.
Selon cette fallacieuse idéologie du crime passionnel, submergé par cette passion ouvrant droit à possession, ne s'appartenant plus lui même, l'assassin n'aurait que partiellement coupable - voire totalement non coupable b- de son acte. Et en filigrane se profilait cette aberration, cette horreur que la coupable, en fait, c'était l'autre, la femme qui, par sa conduite, son rejet de la domination, sa contestation de l'autorité prétendue naturelle, ou par la simple expression d'un désir de liberté, avait distendu le lien d'appropriation, causant l'anéantissement évoqué ci-dessus, et donc provoquant le passage à l'acte.
En refusant la domination, elle commzettait, elle, quelque chose copme un crime de lèse-amour.
Aussi- est il besoin de le répéter ? le combat contre le sexisme est d'abord le combat contre tout ce qui, dans les attitudes, les mots, les plaisanteries, les gestes, les intentions, se trouve perverti par ce chancre mental de l'approbation.
Il est bin évident que lorsque le beau mot de - femme se trouve perverti en - meuf -, on ne fait pas que sacrifier à la mode du verlan , on dévalorise ce qu'il désigne. Il est tout aussi évident que lorsque l'on dit d'une fille, d'une femme, qu'elle est - bonne -, on n'entend pas souligner que l'on reconnaît à cet être humain la grâce de la beauté. Pas du tout, on l'abaisse au rang de produit de consommation.
Aussi, quitte à paraitre candide, passéiste ou conformiste, nous insisterions sur l'importance qu'il y a à se parler avec respect. Tout simplement parce que le mot respect - fait souche commune, étymologiquement, avec - répit - .
Autrement dit, le mot porte en lui l'expression d'une trêve dans l'animosité ou la violence.
Ce n'est pas rien.
Les grandes arnaques sont révélatrices de leur époque. C’est ce que démontre l’écrivain et journaliste Dominique Labarrière dans son nouveau livre qui raconte 12 des plus grandes arnaques de l’Histoire. Dominique Labarrière. – « 12 arnaques qui ont changé l'Histoire », de Dominique Labarrière est publié aux éditions Pygmalion.