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EAN : 9782277232094
J'ai lu (21/03/2001)
3.22/5   54 notes
Résumé :
L'éléphant bleu ou l'histoire d'une princesse thaïe "pas comme les autres" débarquant en Europe avec l'insolence et l'innocence de ses 17 ans.

Comme moi, Sirikit est eurasienne.

Comme moi, elle a habité Kensington Square et poursuivi ses études dans le Londres délirant des seventies où se croisaient dandys et esthètes décadents, rock-stars blasées, adolescentes perverses, opiomanes excentriques et travestis déments. Ni blanche ni jaune,... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique
En choisissant ce titre évocateur « L'éléphant bleu », je voulais une lecture qui me fasse oublier la noirceur de « Sans l'ombre d'un témoin ». Mais ce qui était un bon début pour l'histoire d'une jeune Thaïlandaise de bonne naissance à Londres s'avère, vite, être un roman médiocre basculant dans l'obscène et du coup j'ai détesté.

Ce roman ne fera pas le voyage
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Je ne prétendrai pas être un inconditionnel de l'auteur mais j'avais beaucoup apprécié "Le baiser du dragon" ... il y a quelques années déjà.

Je n'en dirai pas autant de cet "Éléphant bleu".
La première partie, où l'on goûte un peu de la Thaïlande des années 70, démarre plutôt bien. Mais les aventures de Sirikit s'affadissent en tournant school story lorsqu'elle arrive en Suisse.

La suite des pérégrinations londoniennes de la princesse thaï à la recherche de son père biologique se résume à une succession de clichés laborieusement pimentés d'anecdotes mêlant quelques célébrités du rock et de la politique.
On a droit à la gentille et fofolle copine travesti et à quelques scènes légèrement trash façon Catherine Millet, puis on vire Collection Arlequin avec le père diplomate à Rio et, cerise sur le gâteau, la romance avec l'artiste maudit, quarantenaire et alcoolique.
Soucieux de ne pas spoiler comme ils disent, je suis resté succinct quant à la fatalité qui semble avoir frappé ce pauvre type.

Déçu par ce livre mais je reviendrai vers Ysabelle Lacamp, j'avais beaucoup aimé l'écouter, interviewée par Bernard Pivot, jadis.
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Belle écriture. Ysabelle Lacamp nous emmène visiter le Londres des seventies, ses exentricités et ses personnages haut en couleurs. Sirikit croisent des tas de gens, connus ou pas. D'ailleurs elle baby-sitte Zowie, le fils de David...
Une belle plongée dans un monde fou, choc de deux cultures...
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Sirikit est rebelle et aspire à être libre, loin de sa famille bien pensante. C'est en Angleterre qu'elle fera l'apprentissage de la vie et de l'amour. Ce livre très rafraichissant et initiatique est écrit dans une belle langue pleine de métaphores.
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Je n'ai pas réussi à rentrer dans l'histoire, j'ai eu du mal a lire le livre du fait du style de l'écriture. J'ai abandonné avant la fin...
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Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
En rentrant dans ma chambre, je m'aperçus alors que si je m'étais laissé enlever ma culotte, ma pudeur m'avait fait oublier d'ôter mes gants. Je pensai à ma mère. les conservait-elle, ses petits gant à la liséré blanc, lorsqu'elle se retrouvait dans es bras de son "Farang"?
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J'ai coupé les ponts avec ma famille. Plus rien ne me lie à personne. Ivresse de l'inconnu. Impression de naître pour la seconde fois, de me trouver tout nue devant mon destin comme dans ce drôle de cauchemar que je faisais petite fille.
(p.15)
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Mr Willis, qui me guette chaque jour derrière sa fenêtre, ne sait qu'inventer pour me faire plaisir. Je le soupçonne aussi de sortir plus souvent son chien pour pouvoir converser avec moi. Ca lui réussit bien. Il a maintenant le teint rose et l'œil plus brillant.
(p.156)
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Steve, le neveu de Sir Charles, m'appelle de temps à autre. Au début, sa voix traînante et ses silences semblaient charrier un tel ennui que je me demandais vraiment pourquoi il se donnait cette peine. J'ai fini par m'y habituer.
(p.180)
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J'en venais à être jalouse de Phrat, même si j'étais fière qu'il fasse activement partie de cette génération qui assurerait la relève du pays. Lui agissait, moi je végétais. Il fallait que je réussisse mon bac coûte que coûte.
(p.80)
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Videos de Ysabelle Lacamp (7) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Ysabelle Lacamp
"Robert Desnos est un être plein de lumière, d'optimisme ravageur. (...) C'est un moteur d'espoir, d'espérance (...) Il aime l'homme, l'humain, le peuple ; il est au-dessus de toute discrimination."
C'est autour du titre "L'art plus fort que la barbarie" que ce sont rassemblés la romancière Ysabelle Lacamp, l'historienne de l'art Marie Cantos et l'éditeur Bruno Doucey à l'université permanente de Nantes. Une conférence centrée autour des figures des poètes Robert Desnos et Ceija Stojka.
Le roman d'Ysabelle Lacamp : https://bit.ly/2Aa1uR6 Le recueil de Ceija Stojka : https://bit.ly/2rNQK6l
Réalisation © Thibault Grasset.
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