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Critique de Octarine008
Le cadre de l'action, Valdemar, est assez intéressant, mais reste très classique. le concept des compagnons également, même si, à mon goût, ceux-ci restent moins exploités et impliqués que les personnages humains. Certes, il y a Yfandes, mais je ne trouve pas qu'on puisse la qualifier de personnage principal (si je compare par exemple à Eragon, où Saphira occupe une place beaucoup plus importante).
Ce qui m'a le plus plu dans cette série, c'est Vanyel. le personnage évolue grandement au fil des tomes, qui sont séparés par plusieurs années, et ses intéractions avec son entourage, les autres hérauts, les gens du peuple, et surtout sa famille, sont très intéressantes. J'ai pleuré pour lui dans les 3 tomes, et j'ai eu mal au coeur de rage et d'injustice pour lui.
Pour un livre de fantasy sorti pour la première fois en 1989, je trouve que le choix de Mercedes Lackey de raconter l'histoire d'un personnage gay devait être très audacieux à l'époque, et les problèmes rencontrés par Vanyel dans ce contexte, malheureusement, restent actuels. le tout est bien géré et, à mon avis, reste réaliste.
Comme je le disais plus haut, le cadre de l'histoire est classique, et pour ma part j'aime le classique, donc ce n'est pas un problème. Mais pour moi, ce qui fait de cette trilogie une très bonne série, ce sont les personnages, qui sont complexes, et qui évoluent. Par exemple, le jeune Vanyel immature et renfermé du premier tome n'a plus rien à voir avec le Vanyel adulte, plus sage, qui a pris du recul, du troisième tome. Vanyel se remet très souvent en question, a du mal à oublier le passé, et s'angoisse pour le futur (il a de quoi).
En bref, j'ai beaucoup aimé les personnages, l'histoire est bien racontée, même si j'ai été un peu moins séduite par le cadre et l'intrigue très classiques, mais encore une fois, le classique reste dans tous les cas une valeur sure.
Ce qui m'a le plus plu dans cette série, c'est Vanyel. le personnage évolue grandement au fil des tomes, qui sont séparés par plusieurs années, et ses intéractions avec son entourage, les autres hérauts, les gens du peuple, et surtout sa famille, sont très intéressantes. J'ai pleuré pour lui dans les 3 tomes, et j'ai eu mal au coeur de rage et d'injustice pour lui.
Pour un livre de fantasy sorti pour la première fois en 1989, je trouve que le choix de Mercedes Lackey de raconter l'histoire d'un personnage gay devait être très audacieux à l'époque, et les problèmes rencontrés par Vanyel dans ce contexte, malheureusement, restent actuels. le tout est bien géré et, à mon avis, reste réaliste.
Comme je le disais plus haut, le cadre de l'histoire est classique, et pour ma part j'aime le classique, donc ce n'est pas un problème. Mais pour moi, ce qui fait de cette trilogie une très bonne série, ce sont les personnages, qui sont complexes, et qui évoluent. Par exemple, le jeune Vanyel immature et renfermé du premier tome n'a plus rien à voir avec le Vanyel adulte, plus sage, qui a pris du recul, du troisième tome. Vanyel se remet très souvent en question, a du mal à oublier le passé, et s'angoisse pour le futur (il a de quoi).
En bref, j'ai beaucoup aimé les personnages, l'histoire est bien racontée, même si j'ai été un peu moins séduite par le cadre et l'intrigue très classiques, mais encore une fois, le classique reste dans tous les cas une valeur sure.
