Laclavetine nous fait voir le "monde" à travers le regard d'Ange ( est-ce un choix anodin, ce prénom?) perché dans sa nacelle de peintre au-dessus de la salle des pas perdus.
Magique, dérangeant, provocateur, banal..., je pourrais ainsi accumuler une multitude d'adjectifs pour qualifier les différents caractères des personnages observés dans cette salle et mis en scène.
Laclavetine, avec art et tendresse (?) nous présente sa vision de la vie ordinaire.
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