La petite sorcière

[Olga] raconte à Lisbeth son exceptionnelle lignée et le destin de ces femmes qui ont été persécutées parce qu'elles étaient trop ambitieuses, trop intelligentes, trop belles ou... trop rousses. En vérité, elles ont été persécutées parce qu'elles étaient différentes. "Une tête qui dépasse, on la coupe ! Mais il faut que tu sois fière de qui tu es. Tu es quelqu'un d'exceptionnel, ma petite Lisbeth".

De retour dans sa chambre, Lisbeth s'installe pour consulter le fameux livre. En feuilletant les pages, elle découvre avec surprise des dizaines de portraits de femmes, rousses pour la plupart. Lisbeth peut ressentir leur force rien qu'à les regarder !
En parcourant le texte, elle comprend qu'il s'agit d'une généalogie mais pas n'importe quelle généalogie : une généalogie de sorcières !

Elle raconte à Lisbeth son exceptionnelle lignée et le destin de ces femmes qui ont été persécutées parce qu'elles étaient trop ambitieuses, trop intelligentes, trop belles ou... trop rousses. En vérité, elles ont été persécutées parce qu'elles étaient différentes.

Lisbeth et sa grand-mère partagent maintenant un précieux secret. Les sorcières se doivent d'être discrètes sur leur véritable nature et d'exercer leurs dons en catimini.

Les gorges sont lugubres et ressemblent à un immense lys blanc. Seuls quelques arbres morts dépassent, servant de perchoir à des oiseaux de mauvais augure.
Lisbeth s'approche des corbeaux en tendant la main. L'un d'eux se perche sur son poignet. Elle lui murmure à l'oreille: "Menez moi à Edward."
La nuée noire s'envole et dessine alors un cercle qui désigne une crevasse.
Lisbeth et Olga s'y précipitent. Elles trouvent une minuscule entrée où seule la petite sorcière peut se faufiler pour rejoindre son ami.

Edward déplie ses doigts glacés et sort de sa poche un ellébore qui scintille de mille cristaux de glace.
" C'est pour t... t... t...
- C'est pas vrai! C'était pour ça?
- Comment m'as-tu re... re... re...
- ...retrouvé? L'intuition féminine!
- Lisbeth, tu sais, je t'ai... t'ai... t'ai....
- Moi aussi Edward...."
Lisbeth prend le visage tremblant d'Edward entre ses mains et dépose un doux baiser chocolaté sur ses lèvres glacées.

Car Lisbeth a la fâcheuse habitude de finir les phrases des autres... avant qu'ils ne les aient prononcées. Son maître la punit constamment, ses copines d'école ne lui adressent plus la parole et ses parents sont exaspérés. Sa grand-mère, elle, pense que c'est un don.

En parcourant le texte, elle comprend qu'il s'agit d'une généalogie mais pas n'importe laquelle généalogie : une généalogie de sorcières !
Chacune de ces femmes a eu un destin exceptionnel : par exemple, en page 10, elle découvre le destin de Lilith, la fondatrice de la lignée, qui défia Dieu lui-même. Apparemment, ce serait-elle qui aurait poussé Adam hors du paradis !
En page 38, il y a Lisa, dont la vilaine tête dit quelque chose à Lisbeth, qui voulait tellement être admirée qu'elle a pris possession du tableau d'un peintre célèbre...

c'est l'histoire d'une petite fille qui se nomme LISBETH la petite fille est heureuse d'aller passer les vacance de Noel chez sa grande mère OLGA car sa grande mère est la seule a supporter sa manie de finir les phrases des autre...


vous pouver bientot decouvrire la fin au CDI bientot

j'ai aimer ce livre car c'est un histoire triste car personne n'accepte ca manie et emouvante car ca grande mère (OLGA) l'accepte parfaitement