Merci Babelio, merci Masse Critique, merci Hors Collection !
Un ouvrage assez cool consacré au vidéoludisme et divisé en trois parties :
- « Un Nouvel espoir » (la PS1)
- « L'Empire contre-attaque » (la X-Box)
- « Les Deux tours » (où comment les règnes de Sony et Microsoft vont être ébranlés par le retour du roi Nintendo)
Chaque chapitre est consacré à une plateforme donc retrogamers, vieux gamers et gamers tout cout retrouveront les grandes heures de la PS1, la Saturn, la N64, la PS2, la Xbox, la Gamecube, la Deamcast, la PS3, la Xbox 360 et la Wii. Les utilisateurs de PC et de consoles portables devront se contenter de la portion congrue… On sent assez vite que Marcus Lacombe de Game One est plus joypad que joystick : un gamer passionné, mais un gamer de consoles avant tout.
Certaines saga sont mis à l'honneur : "Zelda", "Metal Gear Solid" (objet d'un running gag avec Solid Snake planqué sous un carton), "Resident Evil", "Tomb Raider", "GTA", "Call of Duty" et les Mario machins…
Quelques coups de coeur aussi avec "Goldeneye", "Ico" et "Shadow of the Colossus", "Okami", "Red Read Redemption", "Deus Ex", "Pain"… et peu ou prou toutes les licences "Star Wars" ^^
Quelques coup de gueule également avec la beaugossitude de "Final Fantasy", les jeux licenciés "Dragon Ball", "Naruto" ou tout simplement Hollywood, les nouveaux "Street Fighter", les jeux de sports en général et les jeux de foot en particuliers.
On n'évite donc pas le catalogue, voire l'énumération donc on survole beaucoup et on oublie un peu, mais qu'importe cette trop courte odyssée au pays du vidéoludisme.
J'ai trouvé un peu étrange que l'auteur soit aussi réfractaire aux mangas et aux animes, surtout lorsqu'on connaît les liens étroit qu'entretiennent ces médias avec les jeux vidéos, chacun se nourrissant l'un de l'autre au point qu'il est devenu bien difficile de savoir désormais qui influence qui. Un gamer qui se coupe volontaire de la planète manga à mon avis passe à côté de beaucoup de choses…
2 bémols sur le livre-objet :
- pas de sommaire, c'est limite faute professionnelle
- aucun crédit photographique… quand on connaît les jeux pas de souci, mais allez les reconnaître dans le cas contraire !
Mais un parfait complément de "Game Story" donc les ambitions sont autrement plus élevées.
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Tout d'abbord merci à babelio et aux masses critiques, ainsi qu'aux éditions Hors collection pour cette découverte.
Le très connus Marcus (enfin pour tout gammer basique...) nous écrits ses souvenirs sur l'évolution, et les différents jeux et consoles de 90 à 2010 de façon subjective d'accord mais tellement agréable.
On part donc de la PS1 pour finir à la WII en passant par le PC les XBOX, Saturne etc... enfin toute ma jeunesse en gros... et c'est qu du bonheur de se remémorer tout ça... Qui ne revoie pas Solid Snake sous ça boite en carton, le cris érotisant de Lara Croft quand elle prenait une trousse de secourt.... raah rien que de m'en souvenir j'ai à nouveau la banane...
Se livre est merveilleux pour tous les nostalgiques de jeux old school qu'il nous raconte d'ailleurs très bien dans ses émissions de retro gamming.
Enfin tout ça pour dire que c'est un ouvrage nécessaire pour tout fan de jeux vidéo de plus de 25 ans... et même pour les plus jeunes curieux.
On regrette malgré tout qu'il n'ai pas eu la place de développer un peu plus les jeux et qu'il soit obliger de survoler des hit planétaire mais comme il le dit lui même en 144 pages on est obligé d'être léger...
Autre petite remarque le titre annon ce 90 à 2000, mais Marcus s'arrêtant en 2010 je trouve ça un peu dommage peut être de pas avoir accentuer les jeux jusqu'à 2000 et fait un nouvel ouvrage pour de 2000 à 2010, se qui aurait peut être éviter de survoler certain console (la Vita, ou le PC...) enfin bon c'est histoire de faire une remarque...
Encore merci
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Me semble très agréable à lire pour s'instruire et se rappeler de bons souvenirs
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Lara Croft va devenir l’icône même du jeu vidéo, détrônant carrément Pac-Man, qui commençait à se faire vieux !
Pac-Man (rond comme un ballon) a peut-être été éclipsé par les charmes de Lara (ronds comme des ballons eux aussi), mais c’est avant tout la liberté d’action de "Tomb Raider" qui a fait son succès, même si son créateur, Tobias Richter, a un jour avoué à demi-mot : « Tant qu’à passer une dizaine d’heures derrière un personnage, autant qu’il ait un joli petit cul ! »
"Tomb Raider" est l’un des premiers jeux d’action dans lequel on peut admirer l’environnement en 3D sous toutes ses coutures, sur fond de musiques grandioses qui donnent à l’épopée de Lara un souffle épique.