Dès huit heures du matin, je me précipitai vers la porte cochère de Gabriel Ruisseau. Elle me parut tellement plus petite que la veille. Je me rapprochai de l’entrée de l’artiste. A Saint-Germain des Près, nous étions vraiment à Paris. Attendre dans ce condensé de la culture française n’était pas vraiment une épreuve. J’admirai les couvertures des livres anciens, les manières noires ou les burins d’artistes contemporains, les courbes féminines de céramiques ja... >Voir plus