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EAN : 9782842637934
253 pages
Le Dilettante (12/02/2014)
3.05/5   28 notes
Résumé :
Les funambules vous le diront : la vie ne tient qu’à un fil. Parfois, elle dépend d’une simple lettre qui vient bouleverser votre existence, balayer vos certitudes. De quoi semer le trouble, perdre l’équilibre… Et puis, il y a les rencontres, inattendues, improbables. Pour le narrateur, ce sera Jean-Claude Van Damme, un soir, au bar du célèbre hôtel Lutetia. Le karatéka belge qui fait du cinéma parviendra-t-il, grâce à l’une de ses fameuses démonstrations "philosoph... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (9) Voir plus Ajouter une critique
Originaire de Macau, un petit village du Médoc perdu entre les vignobles, le narrateur sait qu'il ne sera pas ouvrier, comme son père. Son avenir est ailleurs, loin du terroir, plus proche de la culture. Alors, à dix-huit ans, le jeune homme part pour Paris, dans l'intention de percer en tant que réalisateur. Mais très vite, ses maigres économies fondent comme neige au soleil et la nécessité de trouver un travail s'impose. A défaut du cinéma, il se retrouve embauché par Henry, dans une galerie d'art. Mais ce qui ne devait être qu'un travail alimentaire va sournoisement se muer en carrière pour le narrateur qui, s'il a tiré une croix sur ses rêves, côtoie néanmoins le gratin de la société bourgeoise et branchée parisienne.


Tout ne va donc pas si mal, jusqu'au jour où, alors que vingt années se sont écoulées depuis son arrivée à Paris, il reçoit une lettre de son frère Luc… Cinq lignes qui vont lui faire l'effet d'un tremblement de terre et le ramener brutalement à ses origines provinciales qu'il s'est pourtant efforcé de gommer, au point d'avoir coupé les ponts avec sa famille depuis sept ans. Commence alors une errance dans la nuit parisienne, propice à la réflexion et à la rêverie, au cours de laquelle il fera la connaissance de Jean-Claude van Damme qui lui prodiguera l'un de ses discours métaphysiques dont lui seul a le secret. Des conseils qui ne laisseront pas insensible cet homme déraciné qui semble avoir perdu son chemin…


Quel plaisir de retrouver Jean-Claude Lalumière et sa plume pétillante dans ce nouveau roman ! Voilà un auteur que je suis avec intérêt depuis ses débuts et qui m'enchante et me surprend à chaque fois ! Il nous offre cette fois un regard impitoyable sur le monde de l'art avec ses artistes autistes qui s'efforcent de rester incompris, ses acquéreurs ignorants qui pensent que le talent du créateur se résume au prix fixé à son oeuvre, son élite de pique-assiettes superficielle et ennuyeuse. Une vision contrastée du milieu culturel qui exerce à la fois une fascination et un dégoût chez le narrateur qui, parti de rien, côtoie à présent cette classe sociale supérieure à la sienne sans pour autant parvenir à s'en faire accepter…


C'est également l'occasion pour l'auteur d'aborder le sujet des différences culturelles entre villes et campagnes et le clivage social qu'il existe entre les deux. Un sujet que je trouve vraiment intéressant, parfaitement servi par la plume drôle et acerbe de Jean-Claude Lalumière ! On se régale à chaque instant de ses traits d'esprit et de son audace. Mais il n'y a pas que ça… J'ai été profondément émue et surprise par la fin de l'histoire, ce qui m'avait peut-être manqué dans les deux précédents romans de l'auteur. Sous des dehors légers, il soulève également la question de l'amour filial et de l'attachement à une terre. Que ressent-on quand on est déraciné ? Est-il possible de renier définitivement ses origines ? le mal être du narrateur nous plonge directement au coeur de ces réflexions, placées sous le sceau de la culpabilité et du déni… Un roman aux multiples facettes, à la fois grave et léger, qui m'a complètement séduite !
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Lettre à Jean-Claude Lalumière

Monsieur, autant vos deux premiers ouvrages que sont « Front Russe » et « la Campagne de France » m'avaient enthousiasmé par leur drôlerie autant le troisième intitulé « Comme un karateka belge qui fait du cinéma » m'a laissé sur ma faim. Autant vos deux premiers ouvrages que sont « Front Russe » et « la Campagne de France » m'avaient illuminé (1) par leur côté burlesque autant le troisième intitulé « Comme un karateka belge qui fait du cinéma » m'a laissé pour le moins perplexe. Autant vos deux premiers ouvrages....d'accord j'arrête là, je pense que vous avez compris où je voulais en venir. Vous êtes un écrivain humoriste, Monsieur, et vos deux premiers ouvrages que sont « Front Russe » et « la Campagne de France » sont là pour en témoigner. Les péripéties et l'univers absurde de ce jeune fonctionnaire aux Affaires étrangères (Front Russe) et celles des deux protagonistes créant une agence de voyage culturels (La campagne de France) m'ont énormément amusé.

Un livre qu'on quitte sans en avoir extrait quelque chose est un livre qu'on n'a pas lu (2) . Partant de ce principe j'ai extrait plusieurs passages de votre roman « La campagne de France ». Je ne peux les citer tous tellement ils sont nombreux, je tiens néanmoins à soumettre à mes lecteurs ce passage qui a trait à la coiffure et qui leur donnera peut-être l'envie de vous lire : "Ses cheveux étaient d'une couleur que d'aucuns auraient pu croire sans équivalent dans les règnes naturels, mais que le touriste rompu à la contemplation des paysages de carte postale rapprochera sans délai du spectacle inoubliable d'un coucher de soleil sur la Toscane. Elle était la justification qu'attendait le législateur pour que fût enfin créé un code pénal applicable aux coiffeurs." Votre style est, je dois bien le reconnaîtr drôle, aérien dérapant !

C'est pourquoi je ne m'explique pas ce troisième roman intitulé, je le rappelle, « Comme un karateka belge qui fait du cinéma » dans lequel vous racontez l'histoire de ce garçon quittant son Médoc natal avec le sentiment d'être différent des siens, d'être fait pour autre chose que la vigne ou le bricolage mais plutôt pour le cinéma et les lumières de la ville, mal à l'aise avec ses racines mais découvrant à Paris l'insondable bêtise du jeu social, se retrouvant un beau matin employé d'une galerie d'art contemporain et y voyant défiler cette bourgeoisie jeune et coquette. Ce livre est empreint d'amertume, de tristesse, de nostalgie. Même le récit d'une improbable nuit en compagnie de Jean-Claude van Damme dans une suite de l'hôtel Lutetia n'a provoqué sur mon visage aucun sourire. Pour être honnête avec vous votre livre est des plus déprimants. Il me donne « l'impression de lire le bulletin météorologique de la Pologne » (3). Je vous imagine d'ici, dans votre chambre, à tourner en rond. Et parfois même à tourner en carré, histoire de varier le parcours géométrique de votre déprime." (4). Il faut vous ressaisir Jean-Claude. Vous ne pouvez pas continuer comme ça. Pourquoi ne pas relire Alphonse Allais (5) dont je vous sais friand ? La musique peut également être un très bon remède à condition de ne pas écouter Axel Bauer qui risque de faire ressurgir vos vieux démons. En effet est-il besoin de vous rappeler qu'un de ses plus grands succès s'intitule « Eteins la lumière » ? Je crains que vous ne le preniez pour vous, en outre les paroles de cette chanson font froid dans le dos : « Éteins la lumière Montre-moi ton côté sombre Regarde les ombres Qui errent ...». Non le plus sage finalement serait de vous remettre à l'écriture d'un autre roman, rien de tel pour vous guérir de cette déprime passagère. Seulement je compte sur vous pour que celui-ci soit drôle, léger. Faite en sorte qu'il n'ait rien à voir avec « Comme un karateka belge qui fait du cinéma » dont je n'ai finalement qu'une chose à dire : la lumière s'est éteinte !

(1) N'est-il pas normal que des livres écrits par Lalumière illuminent ?

(2) Citation d'Antoine Albalat écrivain spécialiste de la littérature française (1856 -1935)

(3) Citation extraite de « La campagne de France »

(4) Citation extraite de « La tête de l'emploi » écrit par David Foenkinos

(5) Ecrivain humoriste français (1854-1905)
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N°959– Août 2015

Comme un karatéka belge qui fait du cinémaJean-Claude Lalumière – le dilettante.

Il y a en nous tous un Lucien de Rubempré qui sommeille surtout en matière d'illusions perdues. Luc, le narrateur n'y fait point exception qui a quitté son Médoc natal et son milieu modeste d'ouvrier agricole pour « monter à Paris » comme on dit dans nos provinces. Il a tout quitté, son enfance, ses souvenirs pour s'inventer une vie dans la Capitale mais ses rêves de cinéma se sont rapidement transformés en petits boulots et il est devenu factotum dans une galerie d'art parisienne, pas vraiment ce qu'il espérait. Ce parcours un peu cahoteux, malgré un beau mariage, lui a au moins donné l'occasion de réfléchir sur sa condition et cela donne une somme d'aphorismes pertinents sur la culture et sur l'art ou plus exactement sur l'idée que s'en font les collectionneurs, le plus souvent parisiens et surtout l'usage (financiers) qu'ils entendent en faire. Il y a une sorte d'empathie pour les artistes méconnus qu'il comprend mais n'oublie pas au passage d'égratigner tous ceux pour qui la culture n'est et ne sera toujours qu'un misérable vernis. Tout y passe, depuis les vernissages où se pressent des pique-assiettes jusqu'aux critiques professionnels peu inspirés et bien souvent peu cultivés en passant par les fluctuations du marché de l'art. Il n'oublie pas les artistes qui bien entendu se prennent pour des génies et les quidams prêts à n'importe quelle excentricité pour s'en faire remarquer. Bien entendu la presse spécialisée, bien plus intéressée par l'audimat ou la nécessité de vendre que par l'information diffusée en prend pour son grade sans oublier les « cultureux » qui prétendent tout comprendre, surtout quand il n'y a rien à comprendre. Il se laisse aller à critiquer les choses de cette vie, sur les idées reçues et sur l'humanité qui n'est pas fréquentable, ce que nous savons d'autant plus que nous en faisons tous partie, le racisme ordinaire et les repas de famille arrosés qui se terminent toujours par des chansons paillardes ou des disputes stériles. Il apprécie la roulette russe de la génétique qui fait parfois que deux membres d'une même fratrie sont de véritables étrangers l'un pour l'autre, différence qu'on mesure surtout quand on a choisi de se tenir en retrait du milieu familial et de mettre entre lui et soi le plus grand nombre possible de kilomètres. Ainsi ne ressemble-t-il pas à son frère et s'en félicite ! Il ne fera pas de cinéma comme il en avait rêvé mais se fera quand même « son » cinéma, fictivement bien sûr comme le film qu'il aurait pu tourner et où il aurait été le seul acteur, jouant le scénario de sa propre vie...Solipsisme d'auteur ou envie de refaire le monde ! Jusqu'à la réception d'une lettre de ce frère qui va remettre les choses à leur vraie place, faire ressurgir son passé, ses blessures, ses fêlures… On peut se poser la question : Pourquoi refaire le monde, le redessiner pour soi seul et à ses mesures ? C'est peut-être l'apanage de l'écrivain dont l'imagination est souvent débordante, l'exercice du simple plaisir d'écrire, de raconter une histoire qu'il invente ou dont il rend compte, de laisser aller son stylo sur la feuille blanche, de faire chanter les mots, de satisfaire son ego... Grâce à l'écriture il donne ses couleurs favorites à un monde décevant pour lui, se recrée pour lui-même un univers parallèle où il guide son lecteur ? A nous, de choisir !

Le titre m'a d'emblée paru suspect. Que va-t-il encore nous pondre sur ce thème, me suis-je dit. Et moi de craindre l'humour facile qui prend toujours les Belges pour cible. On s'empresse de les qualifier de « nos amis » pour aussitôt s'en moquer. Ce qui me rassure c'est que, paraît-il, ils font de même pour nous ! En réalité c'est Jean Claude van Damme qu'il a rencontré au bar d'un grand hôtel parisien qui se qualifie ainsi, donnant son titre au roman. J'ai quand même préféré la scène du clochard qui se termine à la manière du Petit Prince et de son étoile, à la philosophie quelque peu éculée de cet acteur bodybuildé. Pour autant, ce titre ne doit pas nous cacher la réalité, l'auteur parle surtout de lui mais il le fait avec humilité. Les apparences sont en effet trompeuses et le milieu culturel parisien dans lequel il travaille peuvent donner l'illusion qu'il est quelqu'un d'important alors qu'il avoue qu'il n'en est rien et qu'il accepte de rester à sa place. Il avait pourtant tiré un trait sur sa famille, sur ses origines modestes. Il est en effet tentant de se dire qu'on est un être exceptionnel et de finir par y croire soi-même ! Finalement faire le point sur soi, comme il le fait, même si le constat n'est pas reluisant, est plutôt salutaire.

J'ai retrouvé avec plaisir l'auteur de « La campagne de France » et du « Front russe » dont cette chronique s'était fait l'écho. Même si le thème traité ici est différent, son humour, son sens de la formule, sa plume pétillante m'ont à nouveau enchanté mais j'ai choisi quand même d'y voir, au-delà des traits d'esprit, une critique un peu acerbe voire désabusée, nostalgique même, mais assurément bien menée.
Hervé GAUTIER – Août 2015 - http://hervegautier.e-monsite.com
Lien : http://hervegautier.e-monsit..
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Ca commence avec humour et ironie, une critique bien sentie du monde de l'art, mais aussi du monde tout court qui nous entoure, la jeunesse, internet, toute cette vie qui va si vite et nous éloigne du passé. le narrateur a fui justement ce passé, sa jeunesse, ses parents, fui cette famille un peu prolo pour rejoindre Paris avec des rêves de cinéma. Il est devenu assistant dans une galerie d'art, et une lettre de son frère va le replonger dans ce passé, dans ses souvenirs de mômes, tour à tour drôles et touchants. Et puis l'humour va lentement faire place à la mélancolie, à la tendresse, pour finir par frôler l'émotion lorsqu'il retrouvera enfin, après des années, la maison de son enfance, et sa vieille maman un peu sénile...

Alors oui, c'est drôle, avec une vision sarcastique de notre petit univers, puis on tombe dans le drôle décallé avec la rencontre de JCVD et sa philosophie improbable, puis c'est émouvant, touchant, des madeleines de Proust à chaque page, et l'on finit par se plonger nous aussi dans nos souvenirs, nos blessures et nos relations avec nos parents...

Bref, j'ai eu un peu de mal au début du bouquin, et puis le passage avec JCVD relance brutalement le récit, on commence à réaliser que le livre ne sera pas qu'une petite farce rigolote, qu'il va y avoir bien plus, et c'est finalement ce qu'il reste une fois le livre refermé. de l'émotion, des frissons et de la mélancolie.

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Jean-Claude Lalumière m’a fait RIRE avec Le Front Russe et La Campagne de France. D’ailleurs il m’arrive de relire pour le plaisir la cultissime scène du pigeon du Front Russe.
Dans ce nouveau roman Comme un karatéka belge qui fait du cinéma nous changeons de ton. Nous quittons l’Humour avec un grand H pour un sentiment plus mélancolique, plus tragique. Suite à la réception d’une lettre de son frère longtemps perdu de vue, nous suivons notre héro en pleine remise en question à travers Paris et ses souvenirs d’enfance.
J’ai eu un peu de mal au début. J’étais trop encrée dans l’univers du Front russe et de la Campagne de France. De plus si on se réfère au titre de ce nouveau livre : Comme un Karatéka belge qui fait du cinéma, je pensais vraiment me retrouver dans une histoire un peu barrée. Mais nous en sommes loin.
Au fur et à mesure de ma lecture j’ai ressenti beaucoup de tristesse pour cet homme. Et les dernières pages de ce roman remettent en cause toute notre lecture. Malgré quelques répétitions sur les états d’âmes de notre personnage principal, j’ai beaucoup aimé ce livre.
Jean-Claude Lalumière sait nous faire rire et il sait être plus mélancolique. J’aurais plaisir à découvrir ces prochains ouvrages
Lien : http://le-club-des-incorrigi..
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Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, l'unité et la solidarité nationales se mesuraient en litres de vin consommés. C'était un soutien à l'activité agricole de la France, un coup de pouce à son dynamisme, une participation au rayonnement international de son art de vivre. Ces hommes-là ne chômaient pas du coude dans l'accomplissement de leur devoir et affichaient un patriotisme exemplaire. Le ministère de la Santé et la Sécurité routière commençaient à peine de répandre leur message de modération.
(p. 13-14)
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Le problème est que les artistes se considèrent, le plus souvent comme des êtres exceptionnels qui ont trouvé le moyen de le communiquer aux autres. De cette autorité autoproclamée découle la position d'idoles, consentie par un public qui ne se sent pas autorisé à contredire , qui craint de ne pas être légitime et qui finit par accepter comme artistes ceux qui ont du succès, ceux qui gagnent de l'argent et qui parviennent à vivre de leur travail.
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Il est d'ailleurs surprenant de voir comment, en art, les acheteurs oublient leur propre goût. Il est probable qu'ils n'en aient pas, tout simplement. Les acquéreurs d'aujourd'hui sont des investisseurs. A partir du moment où un artiste est reconnu ou même seulement visible, ils suivent, et nourrissent la tendance par la même occasion, dans l'espoir d'une rapide plus-value. Les marchands d'art, qui gardent en mémoire les années sombres de la crise, se contentent très bien de ces clients-là.
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Il y a plus de savoir-vivre dans une distribution de la soupe populaire que dans un buffet mondain.
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Au physique, elle n'a pas changé même si l'on ne peut nier l'outrage du temps. Elle a gardé cette corpulence qui laisse imaginer qu'elle serait capable de transformer des talons aiguilles en talons bobines en moins de temps qu'il n'en faut au vendeur de chaussures pour demander si la paire enfilée correspond bien à son pied.
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Videos de Jean-Claude Lalumière (8) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Jean-Claude Lalumière
Jean-Claude Lalumière vous présente son ouvrage "L'invention de l'histoire" aux éditions du Rocher. Rentrée littéraire janvier 2023.
Retrouvez le livre : https://www.mollat.com/livres/2676063/jean-claude-lalumiere-l-invention-de-l-histoire
Note de musique : © mollat Sous-titres générés automatiquement en français par YouTube.
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