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EAN : 9782374180847
112 pages
Des Ronds dans l'O (11/03/2020)
3.98/5   215 notes
Résumé :
En 2010, lors d'un déménagement au sein du lycée Jean de La Fontaine, dans le 16e arrondissement de Paris, des lettres et des photographies ont été trouvées dans une vieille armoire. Enfouis là depuis des dizaines d'années, ces documents appartenaient à une ancienne élève, Louise Pikovsky. Plusieurs mois durant, cette jeune lycéenne juive a correspondu avec sa professeure de lettres. Son dernier courrier date du 22 janvier 1944, jour où elle est arrêtée avec sa fami... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (166) Voir plus Ajouter une critique
3,98

sur 215 notes
C'est le genre d'histoire qui donne envie de pleurer car c'est malheureusement un véritable drame qu'a connu notre pays durant les années d'occupation. En effet, le gouvernement de Vichy et la police française ont livré des milliers de familles juives aux nazis pour les conduire à leur extermination dans des fours crématoires. On est allé cherché des élèves parfaitement intégré dans les écoles pour les massacrer honteusement au nom de préjugés raciaux.

Une vieille professeur d'école va réunir un groupe d'ancien élèves dans les années 80 pour remémorer la mémoire de Louise Pikovsky qui lui avait laissé son cartable et des lettres avant d'être arrêté par la police. Elle voulait juste que cette professeure assez sympathique et bienveillante puisse les garder jusqu'au jour où elle reviendrait. Mais la vie en ces temps là n'était pas un conte de fée.

J'ai été bouleversé par cette lecture même si je sais qu'il y en a d'autres qui traitent du même sujet. A la fin, on peut voir les photos de cette fille, de sa famille, de sa professeur, de ses camarades de classe qui ont réellement existé. Ce n'est pas une fiction car c'est arrivé.

Je recommande bien évidemment une telle lecture dans un souci de mémoire pour ne jamais oublier ce qui s'est passé dans notre pays. Cela concernait également de pauvres enfants qui étaient brillants et qui avaient tout l'avenir devant eux. Tant de vies brisées.
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Cette bande-dessinée retranscrit la vie de Louise Pikovski, une jeune fille juive, lors de la seconde guerre mondiale. C'est à partir de vieilles lettres retrouvées dans une classe que la journaliste Stephanie Trouillard a commencé à mener des recherches sur la vie de Louise, dans le but de lui rendre hommage, et de perpétuer sa mémoire, comme celle des millions de personnes mortes lors de la guerre, notamment lors du génocide juif.

Il faut déjà savoir que j'ai lu cette bande-dessinée dans le cadre de mes cours, sinon je n'aurais jamais été tentée de jeter un coup d'oeil dedans, car je n'ai jamais lu beaucoup d'ouvrages historiques et que ça ne correspond pas à mes types de goûts habituellement. C'était donc peu enthousiasmée que j'ai ouvert cette BD, surtout à la vue des dessins assez simples et minimalistes qui ne font encore une fois pas partis de mes favoris.
Je ne dirais pas que la lecture de cette histoire m'a transcendée et que je ne l'oublierais jamais, mais ce fut une très bonne lecture, touchante, poignante, émouvante et saisissante de réalisme.
On suit donc la vie de Louise, une jeune fille d'une quinzaine d'années qui est particulièrement forte dans tout ce qui touche à l'école ; elle est donc une des élèves favorites de sa professeur, Mlle Malingrey. le seul problème : elle est juive et, en 1942, ce n'est pas une bonne idée de l'exprimer à voix haute…
Le lien qui se créé entre l'élève et sa professeure est très fort, voilà pourquoi la jeune fille correspondait avec elle pendant ses vacances. Ce sont ces lettres retrouvées des années plus tard qui sont le fil rouge et forment la trame de cette BD.
Comme je le disais, Louise est très intelligente et mature pour son âge, ce qui m'a agréablement surprise : tout ce qu'elle a écrit est très réfléchit, il y a des questions et des idées vraiment profondes. Ses phrases m'ont beaucoup émue, notamment une : ‘'Oh Mademoiselle, si vous pouvez me reparler de la joie. Je suis sûre que nous pouvons apprécier le bonheur qu'après avoir souffert mais est-ce que la souffrance à des arrêts ? Je finis par en douter.'' Un échantillon de ce que vivaient les gens, adultes comme enfants, à cette sombre époque.
Je connais cette période affreuse de l'Histoire uniquement parce qu'elle fait partie de mes cours, et je ne m'étais jamais penchée davantage dessus (à ma grande honte...). J'ai donc été immensément touchée et horrifiée par la vie de Louise, les restrictions et les violences qu'elle et les autres juifs subissaient, certains passages m'ont même fait monter les larmes aux yeux.
Les pages se tournent très rapidement et je suis finalement vraiment contente d'avoir lu ce récit, c'est un très beau travail de mémoire et de recherche et ça nous permet de ne jamais oublier ces atrocités.
Les lettres de Louise ainsi que les photos d'elle et de sa famille à la fin de la BD rajoutent quelque chose de très fort à cette histoire, une manière de mettre un vrai visage sur cette jeune fille, de pouvoir connaître son écriture… C'est vraiment percutant et émouvant quand on les voit.
De plus, j'ai eu la chance de rencontrer Stephanie Trouillard et de pouvoir lui poser des questions. Elle a expliqué la manière dont elle faisait ses recherches, sur quoi elle avait travaillé et a raconté davantage de détails sur l'histoire de Louise ; c'était extrêmement interessant ! Si tu veux en savoir plus toi aussi sur cette jeune fille et que tu n'as pas forcément le temps ou l'envie de lire la BD, il y a un web-documentaire sur son histoire très fourni et détaillé sur internet.
Ce fut donc une lecture interessante et très touchante, je suis heureuse d'avoir lu cet ouvrage et je lirais peut-être d'autres livres sur cette période à l'avenir !
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En 2010, on retrouve de vieilles lettres et photographies dans une vieille armoire du lycée Jean-de-La-Fontaine dans le 16ème arrondissement. A partir de ces documents, de Paris à Jérusalem, en passant par Drancy et Auschwitz, une enquête est menée. On découvre que ces lettres ont été écrites par Louise Pikovsky, une ancienne élève, à sa professeure Melle Malingrey. le nom de Louise aurait pu tomber dans l'oubli. Stéphanie Trouillard lui a redonné vie, d'abord dans son webdocumentaire, puis dans cette belle et émouvante bande-dessinée. Rapidement, on s'attache à Louise, promise à un bel et brillant avenir. Au travers de ses lettres, on perçoit une jeune fille généreuse, studieuse et spirituelle. « Je voudrais pouvoir lire, lire en ne m'arrêtant que pour penser à mes lectures » écrivait Louise à sa professeure. Leurs échanges épistolaires parlent de la foi, de la famille ou de l'amitié, en somme de la vie. Elles ne parlent pas directement de la guerre mais on la devine à chaque ligne, dans chaque questionnement de la jeune fille. Melle Malingrey n'oubliera jamais son élève. Elle aurait tant voulu la sauver. La famille Pikovsky, unie, ne voulait pas se séparer. Avaient-ils conscience de l'imminence du danger qui les guettait ? Après tout, ils étaient Français. Mais Albert Pikovsky venait de l'Est et avait été déchu de sa nationalité. Louise aura tout juste le temps d'apporter son cartable à la concierge de Melle Malingrey avec ces quelques mots "Nous sommes tous arrêtés. Je vous laisse les livres qui ne sont pas à moi et aussi quelques lettres que je voudrais retrouver si je reviens un jour". Le convoi numéro 67 ne ramènera jamais la famille Pikovsky qui ne voulait pour rien au monde être séparée.
La lecture pourra être prolongée du webdocumentaire :
http://webdoc.france24.com/si-je-reviens-un-jour-louise-pikovsky/
Cette bande dessinée, tragique mais si indispensable au devoir de mémoire, est à mettre absolument entre toutes les mains.
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L'histoire parle d'une dame qui raconte la vie de la famille d'une de ses élèves juives lors de la seconde guerre mondiale. Dans ce livre, on peut retrouver des lettres entre cette élève juive et son enseignante qui ont correspondu durant plusieurs mois. Ce livre est très simple à lire, mais malgré tout, pour ma part je n'ai pas beaucoup apprécié cette bande dessinée historique. J'ai trouvé l'histoire peu intéressante voir même ennuyante, et pas suffisamment détaillée. Je ne me suis pas vraiment attachée aux personnages ce qui ne m'a pas permis de ressentir les émotions que l'auteur voulait faire ressentir à travers les évènements et les personnages. J'ai trouvé ce livre un peu décevant, je m'attendais à mieux. En plus de tout cela, je n'ai pas apprécié les illustrations, je ne les ai pas trouvées attirantes. Mais j'ai tout de même aimé que ce soit une histoire réelle. Même si ce livre ne m'a pas vraiment plu je le recommande quand même, car je pense que ce récit peut parfaitement convenir aux passionnés d'histoire et plus particulièrement la période de l'occupation allemande ou encore aux personnes qui aiment les histoires vraies.
Maria Luisa

Dans les années 1980, à Paris, Mademoiselle Malingrey raconte l'histoire de Louise, jeune juive de 16 ans étudiante à Paris qui a été déportée à Auschwitz durant la Seconde Guerre mondiale. Ce livre est original car les auteurs se sont basés sur les lettres d'une jeune juive, retrouvées lors d'un déménagement en 2010 dans un lycée parisien pour créer une bande dessinée. J'ai trouvé ce livre très intéressant car il raconte la vie des Juifs pendant la Seconde guerre mondiale. Il décrit leurs pensées et leurs peurs. J'ai apprécié tous les personnages de l'histoire car ils sont tous intéressants. Cette histoire nous fait réfléchir sur la condition des Juifs et sur les horreurs commises par les nazis. Il procure des émotions tristes. le passage que j'ai préféré, ce sont les lettres écrites par Louise car elles sont réelles et font prendre conscience de ce qu'il s'est passé. Je conseillerai ce livre aux adolescents car il leur permettra de découvrir les conditions de vie des Juifs et une partie de l'histoire de la Seconde Guerre mondiale sous une forme facile à lire : la BD.
Sacha

Je n'ai pas vraiment aimé ce livre à cause des enjambements dans le temps et aussi des dessins qui n'étaient pas digne d'un livre historique. Je n'ai trouvé qu'un point fort à ce livre : c'est une histoire vraie, racontant l'histoire d'une jeune fille qui est juive et qui va être déportée à Auschwitz. Les images à la fin du livre montrent les vraies lettres qui ont étés récupérées dans un pauvre placard. Je conseille ce livre à ceux qui aiment les histoires vraies.
Théophile

J'ai bien aimé ce livre même si l'histoire était un peu plate et les dessins étaient bien.
Paco

Je n'ai pas aimé ce livre. L'histoire est plate et le style graphique n'est pas mon préféré.
Samuel

J'ai bien aimé ce livre car il raconte une histoire vraie d'une famille durant la seconde guerre mondiale. J'ai trouvé les dessins parfois mal faits mais le livre est tout de même émouvant.
Alexis

C'est une bande dessinée tragique et réaliste. Au début, on ne comprend pas tellement ce qui se passe mais dès qu'on arrive au moment où on voit des personnages avec une étoile jaune, on sait que l'on parle de la guerre 1939-1945 et du Massacre des juifs par les nazis, et plus précisément les évènements passés entre 1941 et 1944. Cette histoire m'a marqué car elle décrit l'horreur, la peur et l'inquiétude de l'invasion allemande en France. Louise Pivosky, le personnage principal, aime l'école et apprendre. Elle est très instruite et intelligente. Mais son père se fait arrêter, puis ensuite toute sa famille juste parce qu'ils sont israélites. Elle raconte des faits réels qu'il faut malheureusement savoir et nous montre la peur constante ressentie par les juifs à cette époque.
Paul

La BD est vraiment intéressante mais aussi assez ennuyeuse. Je trouve que l'histoire manque de développement. le point fort de cette BD est le style du dessin mais surtout l'émotion ressentie par le lecteur durant la lecture.
Hermance

Ce livre est émouvant. Cet attachement qui se crée entre Louise et sa professeure montre qu'elle la soutenait et l'aidait à surmonter la malveillance des autres sur le fait qu'elle soit juive. J'ai trouvé la fin plutôt triste. Ses lettres de correspondance avec sa professeure et quelques photos à la fin du livre ont suffi à me chambouler.
Angelina

J'ai bien aimé ce livre. Je l'ai trouvé assez émouvant mais ennuyant à des moments. Les illustrations sont assez jolies. C'est adapté à tous les âges, ça peut aussi être très intéressant pour apprendre des choses sur la seconde guerre mondiale.
Adam
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SI JE REVIESN UN JOUR

Le livre que j'ai choisi s'intitule si je reviens un jour de l'autrice Stéphanie TROUILLARD et du dessinateur Thibaut Lambert sachant que dans une bande dessinée le dessinateur a une place aussi importante que l'écrivain car il ne fait pas qu'illustrer il la met en vie….
C'est une bande dessinée qui fait partie de la sélection BABELIO.
La maison d'édition est des ronds dans l'O, la date de parution est de 2020. La bande dessinée ne comporte qu'un seul 1 seul tome.
Collection :
Il n'y a pas eu d'adaptation filmique, c'est ouvrage est lui-même l'adaptation d'un webdocumentaire réalisé par Stéphanie TROUILLARD elle-même en 2017 .

L'auteur
sJournaliste, elle travaille à France 24 et depuis plusieurs années elle s'est spécialisée dans l'histoire de la deuxième guerre mondiale.
Concernant sa carrière littéraire, elle a également écrit « Mon oncle de l'ombre » une enquête sur son grand – oncle maquisard breton fusillé en 1944.

1) L'ouvrage

- le genre du livre est le récit d'un fait historique de la dernière guerre mondiale

- Les thémes du livre sont :

° la deuxième guerre Mondiale de 1939 a 1945 et le génocides juifs .

° l'amitié qui se lie entre Louise et son professeur de lettres.

° l'adolescence, le personnage principal est une collégienne juive qui décrit son questionnement propre à son âge et à la situation qu'elle subit dans son quotidien.

° la famille et la religion qui sont 2 thèmes omniprésents et déterminants dans l'histoire.










Le récit :

Le narrateur
En bande dessinée la narration est invisible car elle devient quasiment cinématographique, il n'y a pas a proprement parlé de narrateur.
Les images font la narration d'où la place importante comme je disais du l'illustrateur.


Le cadre spatiaux- temporel : l'histoire se déroule en 1980 ainsi que pendant la deuxième guerre mondiale 1939-1945 à l'aide de flashback durant le récit.
Les lieux de l'histoire se déroulent dans le milieu urbain, ordinaire en France à Paris dans l'appartements familiales de louise, dans les parcs, à l'école chez mademoiselle Malingray qui était professeur de lettres pendant la deuxième guerre Mondiale du lycée Jean de la Fontaine.
Puis au camp de Drancy à Boulogne en Janvier 1944 où sont détenus toutes les personnes juives en attentent de leur déportation dans les camps d'extermination .


L'intrigue : le protagoniste de ce récit est Louise Pikovsky qui est une adolescente juive en classe de 3eme dans un lycée Parisien. Elle est blonde aux yeux bleus, studieuse, brillante, elle excellait en mathématique où elle venait au secours de ses camarades parfois en difficultés ainsi que grande lectrice d'où ses échanges épistolaires et philosophiques avec son professeur de lettre mademoiselle Malingrey.




Au début du récit Louise vit avec sa maman son père son frère et ses 2 soeurs. Pendant les grandes vacances de 1942 Louise correspond pour la première fois avec mademoiselle Malingray son professeur de lettres qui lui fait parvenir des livres et quelques colis de nourriture. A la rentrée d'octobre, elle retrouve son enseignante et pendant 2 années elle lui est fidèle et lui écrit à chaque vacance.
C'est l'histoire de leur amitié qui dure presque 2 ans puisque le 22 janvier 1944 Louise et toute sa famille sont arrêtés par les allemands et seront déportés pour mourir en camps de concentration les. Mademoiselle Malingray a beaucoup souffert de la mort de Louise d'autant plus qu'elle voulait la protéger en la cachant chez elle ce que le père de Louise a refusé.







2) Ton jugement

Le titre n'est pas très explicite par rapport au sujet de l'histoire, il évoque un départ sans donner de détails et envisage un retour possible mais pouvant être compromis . Cependant le titre évoque le chagrin et l'inquiétude du retour.






TU CHANGERAIS LE TITRE :

NON, je ne le changerai pas car si le titre avait été plus descriptif ( ex : Louise, adolescente juive, déporté en 1943 ) je ne l'aurais pas lu parce que c'est une période très triste et dont les issus sont toujours dramatiques parce que le titre est très vague et en lisant les premières pages il n'est pas évoqué toute suite de quoi il est question.






Non il n'y pas d'humour ni de formes comiques. Les personnages utilisent un style littéraire et courtois.
J'ai tout apprécié dans ce livre car même si le sujet est connu et a déjà été traité de nombreuses fois je trouve que cet ouvrage a été bien exploité : car bien que l'on connaisse l'issus du roman, l'auteur a réussi a créer du suspens et des émotions. Cela est si bien fait que on en oubli le contexte dramatique qui est la guerre et que l'on s'attache à l'intrigue familial, à l'amitié……



Je voulais lire quelque chose de différent, j'ai regardé dans la sélection BABELIO et j'ai vus qu'il y avait des bandes dessinées j'ai retenu quelques titres….
En vacances, chez ma grand-mère a Belle-Île en mer, je rentre chez un libraire et sur une table je vois posé « Si je reviens un jour » je l'ai donc pris et il m'a tellement plu que j'ai décidé de vous le présenter à j'ai lus.

Je le conseillerai à tout le monde, même m'a petite soeur de 9 ans l'a lu et l'a beaucoup aimé. le style st abordable il n'y a pas de violence, tout se déroule calmement et le niveau de langue est adapté à tous types de lecteurs.

J'en ai tiré une conclusion : qu'une Bande déssinée n'est pas seulement un « style » réservé a l'humour, légèreté mais peut ce prêter a des sujets « sérieux »
Victoria
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Citations et extraits (50) Voir plus Ajouter une citation
Je pense que les Grecs avaient raison de considérer comme plus grande souffrance, celle de ne plus voir la lumière du soleil. Pouvoir respirer de l'herbe, voir le soleil dans les champs, et à défaut, voir même les couchers de soleil à Paris, admirer les étoiles, c'est bien la première joie. La joie est bien en nous.
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Je comprends maintenant ce texte latin que j'ai traduit en 5ème et dont je ne me rappelle plus que ceci "Un homme ayant perdu ses biens, dont les filles ont été emmenées en esclavage, et qui dit on ne m'a pas pris ma richesse car ma richesse est en moi"
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Bien sûr que si. J'ai peur que papa se fasse de nouveau arrêter. J'ai peur de disparaître comme certains de nos camarades. J'ai peur de ne plus pourvoir retourner à l'école à la rentrée. J'ai peur de ne plus pouvoir étudier...
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Vous voulez que je choisisse un livre qui sera mon ami pendant plusieurs années ? Existe-t-il un chef-d'œuvre assez parfait pour répondre à toutes mes exigences ? Un tel livre doit me distraire en me faisant oublier les horreurs de la vie, me redonner du courage. Il doit aussi me former le caractère et surtout, il faut que je le relise sans me lasser.
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Pouvoir respirer l'odeur de l'herbe, voir le soleil dans les champs, et à défaut, voir même les couchers de soleil à Paris, admirer les étoiles, c'est bien la première joie. La joie est bien en nous.
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