Stéphane Lambert scrute et interroge les célèbres « peintures noires » du maître espagnol.
Lire la critique sur le site : LeSoir
Se confrontant aux "Peintures noires" de Goya, Stéphane Lambert y voit une victoire de la création sur le chaos.
Lire la critique sur le site : LaLibreBelgique
Stéphane Lambert, écrivain, partage ce qu'il y a de plus intime avec les peintures noires de Goya : la souffrance à se dire.
Lire la critique sur le site : NonFiction
En effet, de livre en livre, Stéphane Lambert explore ce qu'il en coûte de vouer sa vie à l'art [...] L'auteur signe ici un autoportrait en sourdine, dans lequel se reconnaîtront tous ceux pour qui l'art n'est pas anecdote, mais question existentielle cruciale.
Lire la critique sur le site : LePoint
Je savais que l'art est bien plus qu'une affaire décorative. Derrière les figures et les formes, je percevais un souffle sans nom qui dépassait l'idée de représentation. En créant on flirtait avec l'énigme de sa présence, on rejoignait un sous-monde où les certitudes de l'accessoire se brisaient contre les indéterminations élémentaires, on épousait un mouvement qui échappait à l'ordre établi. L'art s'aventurait dans un espace imaginaire où continuaient d'errer les hommes. Un lieu immémorial enfoui sous l'agitation. C'était vers cela que je voulais m'acheminer.
Portrait de l'écrivain en amateur de peinture (p. 13)
Ce que la vue obstrue par son trop grand flamboiement, ce que la conscience cache à l'esprit, ce que le savoir ignore, le peintre agissant comme un rêve le sort de sa réserve nocturne. (p. 82)
"Je suis fait ainsi. Lorsque je veux penser, je vois."
Fernando Pessoa
"Osons comprendre. L'avenir de l'énergie" de Stéphane Lambert et Ludovic Torbey