Le résumé m'avait tout de suite intriguée, et la couverture est très belle et après cette lecture, je trouve qu'elle représente bien l'idée que je me suis faite de Jacob.
Andrew Barber est procureur adjoint dans une ville où presque tous les habitants se connaissent. Laurie, sa femme et lui ont un fils de quatorze ans : Jacob. Ils vivent dans un bonheur sans tâche jusqu'au jour où Ben
Rifkin, un camarade de classe de Jacob est retrouvé assassiné. Jacob est accusé de ce meurtre. Mais pour Andrew, son fils est innocent, et il va tout faire pour aider son fils.
William Landay a un bon style, il est simple, fluide, et ne nous ennuie pas. Il raconte ce procès avec un vocabulaire technique tout en l'expliquant. On s'imagine donc très bien le procès du côté de la famille Barber. L'auteur alterne le passé et le procès tout au long du roman, ce qui nous permet de comprendre les événements.
Les éditions Michel Lafon ont décidé d'éditer
Défendre Jacob en grand format, et celui-ci fait plus de 400 pages, mais malgré cette épaisseur, on ne s'ennuie pas un seul instant. Et à chaque moment, on se demande si Jacob est coupable, ou non.
Pour Andrew Barber, son fils ne peut pas être coupable, il connaît son fils, il a confiance en lui. Comment peut-on douter de son enfant ? Andrew va tout faire pour le sauver, pour le défendre, pour lui empêcher la prison. On peut voir qu'un procès n'est pas seulement difficile pour l'accusé, mais aussi pour sa famille. La vie de beaucoup de personnes est concernée par cet événement.
Le suspense est bien gardé, on ne peut pas connaître un seul instant le fin mot de l'histoire. L'auteur nous a réservé quelques surprises.
En résumé, j'ai énormément aimé
Défendre Jacob, et je le recommande fortement, sa lecture marque, on y repense encore après sa lecture.
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