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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Dernier tome de la trilogie de Sarah Lark qui se déroule principalement en Nouvelle Zélande.
Ici, on suit principalement la petite fille de Gwyn, Gloria, et son arrière petite fille, Lilly.
Entre l'Europe, les Etats Unis et cette île sur laquelle Gwyn s'est installée il y a de nombreuses années, on continue la lecture de cette saga familiale avec plus ou moins d'attachements.
J'ai préféré ce tome 3 au précédent. J'avoue quand même avoir sauté certains passages, notamment ceux qui concernent Jack pendant la guerre en Europe. Mon préféré restant le tome 1 !
Sarah Lark a le don d'écrire ici une vraie saga, sur plusieurs générations.
A découvrir...
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Le Cri de la terre clôt la trilogie néo-zélandaise commencée avec le pays du nuage blanc. Nous continuons de découvrir l'héritage de nos deux chères Gwyneira et Hélène découverte lors du premier tome. Ici, nous nous penchons cette fois sur Gloria, arrière-petite-fille de Gwyneira, fille de Kura. Élevée dans le décor idyllique de Kiward Station et loin de ses parents qui courent les scènes du monde entier, la jeune fille est très heureuse. Ce train-train proche de la nature et composé de découvertes quotidiennes sera stoppé lorsque Kura réclame sa fille prés d'elle. Anéantie, la jeune fille part pour l'Angleterre et laisse tout ce qui faisait son bonheur : sa maison, son arrière-grand-mère et Jack, son cousin dont elle est très proche. Mais elle le sait, un jour, elle retrouvera ce pays si cher à son coeur, qu'importe le prix à payer…

Très éloigné des autres tomes, le Cri de la terre est un tome de clôture très complexe à critiquer car particulièrement dramatique et dur. Loin de ces promesses pleines de douceur, de légèreté et de voyage promises par la couverture, on est, ici, dans un roman plutôt poignant. Très crédible cependant car Gloria, pour retourner en Nouvelle-Zélande, va s'enfuir, seule et sans un sou. On a donc une très jeune femme qui se retrouve à voyager sans aucune protection et on se doute bien que l'on va être très loin d'un voyage de croisière. le roman est très dur et on enchaîne les scènes de violences physiques et psychologiques qui vont nous laisser une protagoniste brisée. La jeune enfant intrépide de Kiward Station que l'on découvre au début semble totalement morte. C'est vrai que je ne m'attendais pas du tout à lire cela et Sarah Lark nous offre ici un troisième tome en total décalage avec les deux autres. Tout en sachant cela, l'auteure n'arrive cependant pas à sortir de ces intrigues habituelles et je sors assez déçue de ma lecture. Les 100 dernières pages paraissent interminables et l'auteure a réellement du mal à clôturer son histoire. Bien qu'on soit plein d'empathie pour Gloria (qui ne le serait pas) je n'ai pas réussi à m'attacher autant à elle qu'à une charismatique Gwyneira ou à une douce Hélène. Renfermée avec les autres, elle l'est finalement également avec nous.

Malgré un dernier tome en décalage avec les deux autres, je garderai malgré tout de cette trilogie des souvenirs doux pleins de voyages et de personnages attachants. Cette trilogie restera marquante pour moi et c'est avec beaucoup de tendresse que je me souviendrai de ces deux jeunes femmes avec qui tout a commencé !
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J'ai eu un peu de mal à entrer dans ce troisième et dernier volet de la saga néozélandaise de Sarah Lark, peut-être parce que j'en attendais trop...

Il a déjà fallu que je retrouve mes marques parmi les nombreux personnages secondaires issus des deux précédents tomes. J'ai ainsi eu l'impression que l'intrigue s'éparpillait entre les différents personnages et que l'auteur survolait un peu trop vite certains passages qui auraient mérité d'être davantage développés. En plus, certaines situations m'ont paru trop extrêmes pour rester crédibles (comme la jeune fille de bonne famille et éduquée pour qui la prostitution est une alternative acceptable).

Et puis, la magie du texte a opéré et tandis que je me laissais emporter par l'histoire, j'oubliais tous ces désagréments, car le Cri de la Terre réunit tous les ingrédients d'une grande saga : de l'aventure, du dépaysement, de la passion... J'ai particulièrement aimé la façon dont Sarah Lark décrit la Nouvelle-Zélande du début du XXème siècle ainsi que ses habitants : une terre de contraste entre grands espaces sauvages et villes modernes en pleine expansion où se mêlent plus ou moins harmonieusement propriétaires terriens, industriels, érudits, Maoris,..
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toujours le style agréable parlant de la vie compliquée d'une famille néo zélandaise.
Des parents expédient leur enfant dans une pension de Grande Bretagne :
l'horreur
elle est maltraitée par la directrice et par certaines élèves
elle doit apprendre à chanter et peindre ; ce qu'elle exècre
des années très pénibles qui nous sapent le moral
va t elle trouver un chemin pour retourner en Nouvelle Zélande ?
sans argent ? comment faire ?
nous espérons que cela se termine bien ..... A LIRE ::!!
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Dernier tome de cette trilogie, ce livre n'est à découvrir qu'en ayant lu les précédents au préalable car sinon, les liens familiaux et le contexte sont incompréhensibles.
Nous retrouvons ainsi Gwyn et ses nombreux descendants pour un dernier roman
C'est une lecture toujours aussi addictive. J'ai adoré la trilogie et je conseille vivement les 3 tomes de cette saga qui se lisent très vite. Un beau portrait de la Nouvelle Zélande que l'on a envie de visiter après ces lectures.
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Dernier tome de cette trilogie que j'ai eu le plaisir en Lecture Commune

Un opus en décalage avec les deux précédents, qui comporte quelques scènes assez dures et des passages un peu longs que j'aurais apprécié plus succincts, ayant trouvé des détails pas toujours nécessaires au récit.

Nous avons trouvé que certaines réactions de Gloria n'étaient pas très censées, et que l'absence de communication entre les trois principaux personnages de cette partie devenait pesante à force d'allonger le récit.
Mais, sans cela le bouquin ne ferait pas ses 700 pages et l'histoire en serait sacrément écourtée.

Il faut reconnaître que l'auteure a une très belle plume et qu'elle sait parfaitement nous communiquer toutes les émotions de ses personnages.
Elle a su aussi très bien travailler les côtés dramatiques et les petits effets suspense.

J'ai aimé voir Gloria reprendre en main la gestion d'un domaine qui restait ancrée dans des traditions devenues obsolètes, qu'une aïeule qui avait tout construit avait du mal à lâcher.

Une trilogie que j'ai bien aimé, voyageant dans ce pays peu connu, découvrant l'installation de tous ces colons, suivant l'évolution de ces familles, l'essor industriel et l'arrivée des premiers véhicules à moteur qui transformeront peu à peu ce pays du "nuage blanc".
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C'est un roman que j'ai bien aimé, plus que le premier de la série. le fait de ne pas avoir lu le deuxième ne m'a gênée qu'un peu par moment pour savoir avec plus de certitude qui était qui dans les liens familiaux ou amicaux, mais cela n'a causé aucun désagrément dans le déroulement des événements.
Nous suivons dans celui-ci, la vie de jeunes filles devenant des jeunes femmes : Gloria, l'arrière-petite-fille de Gwyneira, une des deux héroïnes du premier roman "Le pays du nuage blanc", et de sa cousine, Lilian. La première est aussi introvertie, timide et pessimiste que la seconde est extravertie, confiante et optimiste. Alors que la première âgée de 12 ans voit son monde sombré de devoir partir en Angleterre pour y faire son éducation à la demande de ses parents, artistes qui se produisent dans le monde, la seconde âgée de 10 ans s'en réjouit totalement. Il faut dire que Gloria s'épanouit complètement dans la ferme de son aïeule où elle vit et dont sa mère est l'héritière. Elle est très attachée à cette terre et à cette vie dans les grands espaces avec chiens, chevaux et moutons et est secrètement amoureusement de Jack, le fils de Gwyneira, jeune homme de plusieurs années son aîné. Autant Gloria passe toutes ses années en Angleterre dans l'attente pénible du retour chez elle, autant Lilian, qui y est surtout pour faciliter le séjour de Gloria, s'y amuse beaucoup. le moment tant attendu du retour se transforme en cauchemard lorsque Gloria apprend de ses parents qu'ils préfèrent la garder avec eux en tournée aux Etats-Unis plus longtemps que prévu et qu'ils la destinent à épouser un gentleman qu'elle n'aura pas choisi. Lilian, à l'âme romanesque, elle, est contrainte avec regret de retourner en Nouvelle-Zélande avant que la guerre ne fasse des ravages alors qu'elle venait de tomber amoureuse.
J'ai beaucoup aimé la première partie et adorée la troisième et dernière. La seconde est très sombre pour Gloria et pour Jack entre violence et guerre dans une période entre 1914 et 1916.
L'auteure de cette saga se veut réaliste car la violence à l'égard des femmes y est omniprésente. C'était déjà le cas dans le premier et elle renouvelle cela dans celui-ci. Je m'attends donc à ce que ce soit le cas aussi dans le second. Pour ma part, je ne suis pas fan. C'est le seul bémol à mon goût. Mais, cela a l'air d'être un parti pris pour l'auteure. Ce n'est donc pas que de la romance. J'aime moins mais sachant cela, le roman est appréciable dans l'optique qui est le sien.
Ce que j'ai beaucoup aimé, c'est le personnage de Lilian toute légère et lumineuse qui a permis d'adoucir cette atmosphère dure qu'il pouvait y avoir par moment. le personnage de Jack est très intéressant aussi. Tous les personnages secondaires, et ils sont nombreux, apportent quelque chose et rendent le récit très distrayant et varié. Gloria est une héroïne inhabituelle, une anti-héroïne de romance, je dirais. Cependant, son caractère est très bien défini en fonction de ce qu'elle vit et j'aime beaucoup la femme qu'elle devient à la fin.
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3ème et dernier tome de cette saga dans lequel on suit l'histoire de Lilian et Gloria les arrières petites-filles de Gwyneira et Hélène (héroïnes du Pays du nuage blanc).
Pas de grandes surprises dans ce livre (un changement de décor dans une grande partie du roman sur fond de 1ère guerre mondiale, l'action se déroulant entre 1907 et 1918) mais on retrouve l'ambiance et les thèmes qui ont fait le succès de cette saga et on se laisse vite happer par les aventures des différents personnages, et les descriptions des paysages donnent toujours envie d'aller visiter la Nouvelle-Zélande.
J'ai bien aimé suivre sur plusieurs générations les deux familles à travers l'histoire de femmes de caractère.
Une belle conclusion à cette trilogie.
Mention spéciale pour les jolies couvertures qui invitent à la lecture !
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Dernier pavé de 700 pages de cette trilogie Néo-zélandaise romancée, que je suis assez heureuse d'avoir terminée. le troisième tome a heureusement été moins pénible pour moi que le deuxième, l'histoire étant encore un peu plus brutale que les autres.

J'avais bien deviné, cette histoire concerne la dernière génération née en Nouvelle-Zélande, celle qui subit la première guerre mondiale. Celle-ci perturbe tout, et, comme la plupart des jeunes gens envoyés comme chaire à canon, les néo-zélandais n'ont pas été épargnés. le corps d'armée australien et néo-zélandais a bel et bien fait partie du conflit et c'est une partie que j'ai beaucoup aimée dans ce tome.

Je me suis également sentie très proche de Gloria, jeune fille introvertie que personne n'écoute, que tout le monde trouve bizarre et qui est obligée de se battre pour retrouver un semblant d'humanité.

Je trouve que ce tome conclut bien une saga, certes pas d'une qualité éblouissante mais qui m'a fait passer un bon long moment de divertissement. Je ne pense pas lire d'autre Sarah Lark, mais elle aura au moins eu le mérite de titiller ma curiosité par rapport à la culture polynésienne et au massacre de la culture maorie.
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Toujours un plaisir de suivre ces personnages, mème si ce 3e tome est selon moi moins passionnant que les deux premiers. Peut etre la faute à la guerre de 14-18 ou au pensionnat anglais qui enlèvent du dépaysement à cette histoire néozélandaise.
Des personnages sont morts, meurent, d'autres leur survivent tant bien que mal... Quel crève coeur de finir cette trilogie....
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