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3,28

sur 507 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Décidément je crois pouvoir dire qu'à de rares exceptions les polars nordiques ne sont pas mes bouquins favoris, j'ai pourtant eu une très bonne surprise avec Les corps de verre donc je me suis dis pourquoi ne pas m'y remettre.

Ce livre a commencé pour moi très rapidement avec le meurtre d'une pasteur pendu dans une église et je me suis dit cela commence bien et vite. Je trouve en effet les polars nordiques trop lent. Et bien j'ai vite déchanté, c'est long, plat, sans relief, je n'ai pas bien compris l'histoire de la louve au milieu de tout cela.

Une déception et pourtant je pensais vraiment appréciée ma lecture.
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Il y a des belles découvertes littéraires et parfois non.
Pour moi ce roman fait partie de la seconde option...

Du début à la (presque) fin j'ai pas réussi à me mettre dans l'histoire.
C'est long, pas beaucoup de rebondissements qui donne envie de poursuivre. Pourtant j'adore les policiers venus du froid.
J'ai fini ce livre avec une sensation de soulagement. J'aime pas ça, être déçue comme ça c'est plutôt rare.

Je n'est pas réussi à m'attacher aux divers protagonistes. Ils manquent de charisme, de charme.

Le rythme s'accélère un peu sur la fin... Mais voilà en refermant je me suis dis, tout ça pour ça.

Bon je n'aime pas rester sur un "échec" en ayant lu qu'un livre alors je vais m'en procurer un autre... Mais pas tout de suite.
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Ce que j'ai apprécié dans ce roman se sont les descriptions des paysages. Concernant l'histoire je n'y ai trouvé aucun intérêt. Pour moi ce n'est pas le meilleur polar que j'ai lu. J'ai été déçu et j'ai eu beaucoup de mal à terminer cette lecture.
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J'ai été attiré par ce roman avec sa publicité alléchante : « Prix du meilleur roman policier suédois ».
Alors, sur le moment, je pensais que c'était le tout premier roman de l'auteure et des aventures de Rebecka Martinsson. Et non, le premier roman est Horreur boréale mais comme il s'agit d'une suite avec de nouveaux personnages et un nouveau meurtrier, je n'ai pas eu de mal à rentrer dans cette histoire où le sujet me parraissait bien original : meurtres de pasteurs (tout comme le premier).
Le début est bien rythmé avec un cadavre pendu à une chaine, retrouvé dans la paroisse puis la suite est lente. Elle s'éparpille autour des autres personnages qui pourraient suspects et du caractère de la victime...Je m'attendais aussi à ce que l'héroine, Rebecka, sois au premier plan et même pas...

Une critique qui peut paraitre sévère mais ce polar est une déception pour moi. J'ai trouvé l'intrigue pas complquée et le mobile du meurtre léger.
Peut-être que je lirais Horreur boréale pour rattraper cette lecture...A voir.
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L'appellation roman suédois est loin d'être un label de qualité! Hormis le fait qu'il est toujours plaisant, dans son salon, au creux de son fauteuil, bien au chaud sous le plaid de lire un roman du Nord, froid, brumeux et humide d'une Suède où les gens apparaissent brut de décoffrage, aux comportements sclérosés et énigmatiques, hormis donc ce choc du cadre, je n'ai été soumis à aucun choc des idées tant les personnages de Asa LARSSON me sont apparus aussi nombreux que brouillons, flous, aux forces de caractère peu typées, si non, trop ! Quant à l'histoire, elle n'a que peu d'aspérités, peu de mouvements, peu de rebonds… Entre une histoire de rivalités entre pasteurs protestants, celle d'une avocate démoralisée par ce qu'elle a vécu dans le livre précédent de Asa LARSSON et un combat machiste pour gérer le territoire de la chasse, on voit le sang coulé ... et on lit pour savoir, sachant qu'on saura sans étonnement et sans s'être attaché plus subtilement à l'un ou l'autre personnage … quoique Nalle et Gula Ben méritent une mention spéciale …. Malgré tout le sang versé, il manque à cette histoire un fil rouge. C'est dommage !
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Prix du meilleur roman policier suédois ? Et bien il faut croire que mes critères ne sont pas les mêmes.
Je dirais qu'il s'agit plutot d'une étude sociologique d'une communauté dans laquelle un pasteur a été sauvagement assassiné. le pourquoi étant plus important que par qui.
L'auteure nous brosse le portrait de tous les personnages mêlés de près et de loin à l'affaire. Ce qui donne trop de digressions avec la description des paysages, du temps qu'il fait, et des vécus présents ou passé des protagonistes. C'est sûr l'image qui s'impose à nous est complète tellement Asa Larsson est minutieuse, trop même et l'intrigue passe au second plan.
L'auteur nous plonge une fois de plus dans un univers religieux avec le meurtre de Mildred la pasteure détestée de beaucoup par ses initiatives perturbant un milieu rural macho. Point intéressant et réaliste du quotidien des femmes, maltraitées, déconsidérées et j'en passe.
Autant j 'ai apprécié l'idée dans le tome précédent, autant j'ai trouvé le thème redondant cette fois-ci.
Pour autant la religion n'est pas vraiment le sujet principal de cette intrigue, c'est Rebecka. Et si en début de lecture il appréciable de découvrir les effets secondaires sur notre héroïne suite au drame qui la frappée 2 ans plus tôt. Drame qui la poursuit et déterminera la suite des événements dans cet opus, le lecteur s'essouffle en cours de route et s'ennuie.
Que dire des chapitres concernant la Louve ? J'en cherche encore l'intérêt, et pour être tout à fait honnête, l'auteur m'a fait craquer et poussé dès la 1/2 partie du récit à les sauter, n'y trouvant rien en lien avec l'intrigue. Je veux croire qu'Asa Larsson ait souhaité faire un parallèle entre Gula Ben et Rebecka y mettant une part de symbolique, mais je ne suis pas parvenue à y adhérer.
Il faut attendre le dernier 1/3 du récit et je suis large pour que les événements se bousculent vers une fin que je trouve précipitée. J'ai beau avoir compris que les auteurs nordiques ne sont pas du genre à vous tenir en haleine genre un Coben, mais là c'est d'une platitude effrayante.
Une fin inattendue et surprenante dois-je reconnaître, mais qui ne me réconcilie pas avec l'auteure, ne me convaincant pas et arrivant de manière bien trop abrupte.
Le seul plus, c 'est la petite séquence émotion qu'elle a suscité en moi m'étant attaché au personnage de Nalle. Quand à Rebecka, elle m'a passablement énervée.
Je ne comprends pas les objectifs de l'auteur dans ce roman classé policier et primé, où ça en Suède ? Car qu'en est-il de cette aventure bien moins policière qu'elle ne le devrait dans laquelle j'attendais une participation active de notre héroïne principale. Asa Larsson se complaît à nous livrer les détails minutieux de la vie quotidienne, rendant certes les scènes réalistes mais sans intérêt pour l'énigme. Je me triture le cerveau sur l'importance de la disparition du chat de l'inspecteur ( et l'auteure en parle longtemps y revenant même à plusieurs reprises) dans cette histoire.
Un deuxième opus sur un personnage récurent et Asa Larsson nous promet une suite,( d'ailleurs soit dit en passant je n'ai pas eu les réponses attendues du dernier tome) qui me laisse pantoise et très déçue, ne correspondant pas à ce que j'attend d'un roman policier, et encore moins d'un vendu comme primé, à croire que nous n'avons pas les même valeurs.
Je pense que bien qu'ayant apprécié le premier volet, que je considérais comme un tome de présentation, je m'arrêterais à ce 2e opus. L'héroïne ne pas pas convaincue, et le style de polar non plus, bien que l'écriture soit plaisante.


Lien : http://missneferlectures.ekl..
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Un petit bouquin sympa
Mais......n'ayant pas lu les autres aventures de l'avocate Rebecka Martinsson je suis un peu perdue
Un petit bled au nord de la Suède ...le grand nord ....
Un meurtre d'une femme pasteur féministe ....des chasseurs....une louve ....
Des gens qui vivent repliés sur eux même face à l'âpreté de la nature et de leurs vies pas marrantes
Forcément trop de différences entre les personnages amènent le conflit , les ressentiments , la haine
Et cette avocate Rebecka ...dépressive ..qui a visiblement déjà vécu des choses horribles dans la région
Et l'histoire de la louve Gula Ben ....pour elle au moins la fin est heureuse
Très envie de lire les autres bouquins de cette auteure.....
Pour connaître le passé de Rebecka et mieux comprendre qui elle est
Et le mot de la fin revient à la tante de l'auteure :
" j'ai trouvé ton livre épouvantable, surtout à la troisième lecture ." ..................................................

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L'histoire commence avec le meurtre de Mildred Nillson, une pasteur. La jeune femme était une jeune femme qui avait suscité des réactions pour le moins controversé. Elle pouvait être plutôt mal vue, surtout par les hommes qui n'appréciaient pas qu'elle pousse leurs femmes à s'émanciper. Mais est-ce vraiment suffisant pour pousser quelqu'un au meurtre ?
Des enquêteurs vont tout faire pour dénouer cette affaire, tandis que Rebecka Martinsson va être projetée au centre de ce bouleversement. Rebecka appartient à un cabinet d'avocat et elle revient seulement d'un congé maladie. A cause d'une erreur professionnelle, elle se voit écartée du cabinet, faisant seulement acte de présence. Ce meurtre va réveiller des souvenirs douloureux liés à son passé, et le fait d'être envoyé par ses employeurs sur le lieu de l'enquête, qui s'est passé dans sa région d'origine, va fortement l'ébranler.
(Suite de ma chronique sur mon blog.)
Lien : http://chezlechatducheshire...
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C'est pour relever le challenge de poison dans le challenge Mauvais genre que j'ai choisi ce roman. le bandeau indiquant qu'il s'agissait d'un prix du polar suédois a confirmé mon choix. Mal m'en a pris... je n'ai pas adhéré et je me suis ennuyée... tant pis ce sera pour la prochaine fois...
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Quatrième de couverture alléchante, suivie d'une lecture pénible et poussive des premières centaines de pages. J'ai bien failli arrêter ce livre au moins deux ou trois fois entre la soixantième et la cent cinquantième page.

On nous promettait du Mankell, cela m'a plutôt fait penser à du Camilla Lackberg. L'héroïne Rebecka, juriste, est en pleine déprime, il faut dire, à sa décharge, qu'elle ne se remet pas vraiment du fait qu'elle a du tuer deux personnes l'année précédente, dans une autre affaire qu'on est manifestement censé avoir déjà lu. L'activité de son cabinet juridique la conduit dans une petite ville du nord de la Suède, prés du cercle polaire, à proximité de Kiruna, pas loin des lieux de sa jeunesse. le pasteur de la paroisse, une frêle femme à très forte personnalité, vient d'être assassiné à coup de plomb et exposée pendue à l'orgue de son église. Il faut dire que la dame avait su se collectionner des ennemis en multipliant des oeuvres caritatives et des propos impulsifs, pas forcément bien vus de tout le monde.
Elle accueillait les femmes battues quittant leur mari (vu le nombre de livres d'écrivains suédois où cela se produit, on peut se demander si la Suède est vraiment en avance en matière d'égalité des sexes...), elle organisait des activités pour les mères au foyer, elle cherchait à protéger le loup dans une région traditionnellement peuplée de chasseurs. A oui, j'oubliais, accessoirement elle se tapait une de ses paroissiennes.

La police piétine pour retrouver le coupable. Rebecka va leur donner quelques indices provenant de la cure, qui vont relancer l'enquête. Car une bonne part de l'intrigue tourne autour du rôle de l'Église et de ses activités dans ce grand nord. Les jalousies des uns, et les errements de la vie des autres, dans une si petite communauté qui se connaît rendent les relations humaines parfois pesantes, surtout quand elles sont exacerbées par les gens d'Église.

Après un démarrage bien lourd, le livre se fait plus lisible avec l'introduction successive des différents habitants de ce concentré de psychologies humaines. le style reste toujours par contre très faible. J'ai compté un paragraphe de six phrases dont cinq commençaient par « elle » : elle sort de la maison, elle mange, etc...

Le tout reste un polar nordique de deuxième zone. Seule la mode du roman policier suédois peut expliquer qu'on ait sorti de sa gangue de glace cet ouvrage qui date quand même de 2004, mais n'a été publié en France qu'en 2014.
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