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sur 677 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Je ne connais que les magiciens pour faire sortir des lapins blancs sous leur chapeau. Maintenant je sais que le chapeau de Mitterand est tout aussi magique. Dans un dernier souffle, Mitterand n'en démord pas : « Je crois aux forces de l'esprit et je ne vous quitterai pas ».
Daniel Mercier dine en solitaire aux côtés de François Mitterand quand ce dernier oublie son chapeau. C'est le début de grandes aventures pour Daniel et les autres qui au hasard d'une maladresse, d'un oubli, s'empareront du chapeau aux initiales FM. Ce chapeau semble être possédé de pouvoirs magiques car quiconque le porte voit sa vie changer.
Plus haut de ce chapeau sur la tête, les citoyens chanceux se retrouvent boostés dans leur confiance, avec une force nouvelle de réaliser de meilleures choses.
On est loin du surréalisme, de l'utopie, l'écriture de l'auteur se fond dans une réalité commune. L'accessoire du chapeau est prétexte à une balade dans Paris, à des prises de décisions essentielles pour aller de l'avant. Mitterand a t-il laissé un peu de son âme dans son chapeau, il faut admettre que quelque chose de mystique s'y rapproche. Et pour le plus grand plaisir des lecteurs qui ne s'ennuient pas à suivre les aventures du chapeau de Mitterand.
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Plaisir de lecture !
Antoine Laurain sait capter l'attention du lecteur grâce à une série de petites histoires et de personnages variés qu'il relie, de façon originale, grâce à un chapeau qui passera de mains en mains grâce à un concours de circonstances tout à fait fortuit. Mais pas n'importe quel chapeau, celui de monsieur Mitterand, actuel Président de la République. Enfin, actuel, au moment des faits. Et ce chapeau, remarquable feutre noir, aurait un étrange pouvoir sur ses successifs possesseurs. Vous ne le croyez pas ? Tut tut tut, lisez et vous verrez que je n'invente rien.
« Il le sentait obscurément, quelque chose du Président était resté dans le chapeau, sous une forme immatérielle, mais cette chose portait en elle le souffle du destin. »

J'ai pris grand plaisir à lire ce roman et à me plonger dans les années quatre-vingt parfaitement peintes par l'auteur. On y retrouve actualités, chansons et personnages de l'époque.
Une lecture légère, sympathique et savoureuse !
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Véronique ayant emmené Jérôme, leur fils, chez ses parents pour un court séjour, Daniel, seul, décide d'aller dîner dans une brasserie parisienne. Il a de la chance, un client s'est désisté, il hérite de la table où le conduit le serveur. Dégustant son plateau de fruits de mer, il ne remarque pas l'arrivée des occupants de la table voisine lorsqu'on lui demande si cela ne le dérange pas qu'un manteau et un chapeau soient posés sur la banquette à côté de lui ; il lève la tête et surprise, il s'agit du Président, François Mitterrand. Daniel Mercier traîne son repas en longueur, il veut bénéficier le plus longtemps possible de sa proximité avec le Président. À l'issue du repas, lorsque François Mitterrand quitte l'établissement, il oublie son chapeau. Daniel s'en empare et, le lendemain, lors d'une réunion d'entreprise, Daniel prend de l'assurance avec la conséquence qu'il se voit confier la direction d'une agence à Rouen. le chapeau lui porte chance, il a changé sa vie. Un jour, il l'oublie dans un train ...
Début des aventures d'un chapeau qui transforme les différentes personnes qui portent ce précieux couvre-chef. Antoine Laurain nous balade avec beaucoup d'humour dans la France des années quatre-vingt. Une lecture agréable et divertissante.

Challenge Petits plaisirs 2017 – 191 pages
Challenge Atout prix 2017 – Prix Relay des voyageurs 2012 – Prix Landerneau – Découvertes – 2012
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Quel(s) point(s) commun(s) entre Daniel Mercier, Fanny Marquant, Pierre Aslan et Bernard Lavallière en 1986 ? Aucun, a priori, si ce n'est que chacun va posséder à tour de rôle un même chapeau, et pas n'importe lequel : le célèbre feutre de François Mitterrand, le vrai, avec ses initiales dorées. Au gré du hasard, il passe entre ces mains et chamboule les existences, doté des pouvoirs magiques que chacun veut bien lui conférer.

Une fable très amusante, truffée de remarques grinçantes. Une réflexion intéressante sur les superstitions à vertu thérapeutique. Et surtout, un portrait subtil et acéré des années 80 - ou de "nos années Mitterrand", formule des nostalgiques (nostalgiques de leur jeunesse, bien sûr ). Esquissés en quelques traits, Michel Polac, le tandem Mourousi-Augry, Gainsbourg et l'abominable JR reviennent plus vrais que nature. On revisite aussi l'émergence de Canal Plus, l'apogée du Minitel, quelques tubes du "Top 50", les controverses sur les colonnes de Buren et la Pyramide du Louvre... La droite conservatrice, terrorisée par 'les communistes dans le gouvernement' se fait égratigner, mais à peine plus que la gauche caviar...

Roman percutant et très drôle.
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le chapeau, simple accessoire de mode ? Pas pour Antoine Laurain qui dans ce roman auréole un chapeau en feutre noir d'une mystérieuse aura. Voyageant de tête en tête étrangère l'une à l'autre, ce chapeau va allumer ou ressusciter la pulsation de dignité ou de courage qui était en sommeil chez des personnages fragilisés pendant trop longtemps. Par quel processus le chapeau bouleverse la vie des gens qui le portent ? le fait qu'il appartienne à François Mitterrand a-t-elle une incidence sur ces phénomènes ?

Antoine Laurain préfère entretenir le mystère dans ce roman à la simplicité enveloppante. Pas de trame dense ni d'écriture ample, le chapeau de Mitterrand est avant tout une jolie histoire avec des personnages attachants que l'on aime voir reprendre goût à la vie, retrouver confiance en eux, lutter avec autorité contre les tourments de la vie avant de tracer le chemin de leur vie. Un roman léger avec un dénouement inattendu.


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J'étais partie pour écrire un truc sympa sur le chapeau de Tonton. Situé en 1986, année de mes 12 ans, Laurain m'a replongée dans cette bienheureuse adolescence bercée par l'insouciance des années 80.

Puis ce matin : George Michael est mort. Geor-ge-Mi-chael-est-mort. Choc.
Non pas que j'étais fan, moi c'est Madonna (No comment svp, on ne touche pas à Madonna même trente ans après, ma pote d'enfance ça se respecte).
Sauf que dans les 80's, tu ne pouvais pas trop y échapper au George Michael. Et je l'aimais bien. Puis t'as forcément connu la copine qui te couinait du "wake me up" dans les oreilles en bavant devant le garçon tellement il était trop bôôô... Car on se fichait déjà pas mal du talent tant que y'avait la beau-gosse attitude. Bieber n'a rien inventé.

Mais tandis que Bieber chante encore (dans la série mauvaise nouvelle du jour), George Michael s'est éteint. Comme Whitney Houston et Prince avant lui. Ou Michael Jackson. Et là ça fait beaucoup pour la "vieille" que je suis (toujours rassurant les guillemets) et qui voit, comme qui dirait, tous ses potes partirent. Parce que j'ai partagé pas mal de temps avec ces types et qu'à dix ans près ils ont mon âge... Et ça, ça te chamboule un chouïa.

Alors ton passé redéfile sous tes yeux. Tiens, le même passé qu'en lisant Antoine Laurain. Mais alors que la lecture t'arrachait des sourires nostalgiques, le décès de George te fout un sacré bourdon.

Et tu revois ton walkman avec cette cassette de Cindy Lauper tellement usée que tu la rembobinais avec ton HB planqué au fond de ta Tann's. Tu sens encore dans la poche de ton jean's trop court cette précieuse pièce d'un franc que tu ne devais surtout pas perdre pour appeler môman à la cabine du collège le midi. Tu suis les jeux de vingt heures sur FR3 quand t'apprenais chaque soir des nouveaux mots avec Maitre Capelo. Puis JR et Sue Ellen que tu ne ratais surtout pas pour faire comme môman qu'étais méga fan, enfin surtout de Bobby. Et tu retrouves le sourire en pensant à ta chambre tapissée de ta Madonna (Popopop, on ne touche toujours pas, merci). Cette même chambre où Jules Verne, Alice et les 6 compagnons t'entraînaient au bout de la nuit avec les démons de minuit...

J'étais donc partie pour écrire un truc sympa disais-je... Sur les années 80. Sur Laurain. Sur Mitterrand et son chapeau. Puis j'ai allumé BFM... J'ai vu, j'ai entendu, j'étais vaincue. de nostalgie heureuse je passai à coup de blues du jour. Direz merci à George Michael.
Mais le bouquin est top.

Et qu'on se rassure : le premier de l'an, je souhaiterai encore "bonne année". Me sens quand même pas assez vieille ni déprimée pour le "bonne santé". Faut pas déconner.

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"Le chapeau de Mitterrand", Antoine Laurain, raconte l'histoire de Daniel Mercier, un modeste comptable parisien qui, à la faveur d'un concours de circonstances rocambolesques, se retrouve en possession du chapeau que François Mitterrand a oublié dans un restaurant. le couvre-chef présidentiel, flanqué des initiales de son propriétaire, va changer de vie de manière inattendue et ouvrir des portes pour les moins surprenantes à son nouveau propriétaire, tout en se trimbalant d'un crâne à l'autre. Il va alors bouleverser la vie de ceux qui désormais le porteront, tout en racontant une tranche de l'Histoire de France.


"Le chapeau de Mitterrand" a remporté le prix Landerneau et le prix Relay des voyageurs en 2012. Laurain est un écrivain discret, mais talentueux, qui a acquis une certaine notoriété en France et à l'étranger. Ses livres sont traduits en une vingtaine de langues et il accompagne ses personnages à travers le monde, de l'Amérique du Nord à la Corée du Sud.


"Le chapeau de Mitterrand" est une fable qui transporte dans une histoire passionnante. L'écriture est fluide, élégante et pleine d'humour. le récit est bien construit et mêle habilement fiction et réalité historiques. Les personnages sont attachants et l'on prend plaisir à les suivre dans leurs aventures.


Mais ce qui rend ce livre vraiment plus particulier, c'est sa capacité à évoquer l'histoire de France à travers un simple chapeau. Antoine Laurain réussit à s'approprier l'essence de cette époque, à la fois nostalgique, légère et fascinante, tout en proposant une réflexion sur le pouvoir de l'objet et de la chance dans nos vies.


"Le chapeau de Mitterrand" est un livre à lire absolument, qui donne et laisse une sensation de bonheur et d'émerveillement., dont je recommande vivement la lecture aux amoureux de la littérature, de l'Histoire et aux nostalgiques.


Bonne lecture.


Michel.
Lien : https://fureur-de-lire.blogs..
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Enfin une intrigue originale et pour cela on peut dire cocorico cet auteur est français madame, oui parfaitement ! Faut dire que les Frenchies n'ont pas leur pareil pour servir des histoires rocambolesques matinées d'un soupçon d'absurde. le chapeau de Mitterand vise dans le mil pour mon plus grand bonheur de lectrice. le nerf de la guerre de notre récit tourne autour du fameux chapeau de feu notre président de la République. Nous sommes en 1986, François Mitterand achève bientôt son 1e mandat et avec lui bon nombre de bouleversements sociaux, culturels, politiques et économiques, bref les fameuses années 80 où la coupe à la Bonnie Tyler et les épaulettes étaient tendances (oui ça semble dingue). Nous faisons ainsi la connaissance de Daniel Mercier, brave comptable dans une grande société et qui parce qu'il est seul pour une fois, s'est dit qu'un petit gueuleton à base de fruits de mer et de bon vin blanc dans une brasserie cossue parisienne ne serait pas de refus. Alors qu'il déguste avec délectation son exquis repas, quelle n'est pas sa surprise de voir débarquer à côté de lui François Mitterand, Roland Dumas et un autre compagnon de bonne chère. Ce qui ne pourrait être qu'une anecdote à raconter se change en coup du destin quand François oublie son chapeau, le fameux couvre-chef si emblématique. Pris d'un sursaut, que dis-je d'un moment de folie, notre brave Daniel Mercier repart avec le chapeau et là, par une étrange magie, tout lui semble plus simple, plus accessible, se sentant d'un coup investi d'un charisme, d'une détermination qui lui faisaient défaut. Notre bon président aurait-il insuffler son magnétisme et sa force de caractère à notre héros malgré lui ? C'est en tout cas ce que croit Daniel Mercier car dans la foulée une super promotion s'offre à lui et pleins de bonnes choses avec. Bref, tout lui réussit d'un coup jusqu'à qu'il oublie son chapeau dans un train qui finit par tomber entre les mains de quelqu'un d'autre et hop c'est reparti pour un tour. le chapeau de Mitterand alterne les compagnons et c'est autour de nos protagonistes que se poursuit notre histoire. Nos personnages vont ainsi se croiser dans une course folle et burlesque au cours de laquelle leur vie ne sera plus jamais la même, bouleversée par ce chapeau.

J'ai clairement passé un agréable moment de lecture grâce à ce roman que j'ai dévoré en à peine 2 jours. Ce roman est idéal pour une lecture détente, décomplexée et qui coule de source grâce à un style simple, épuré, anecdotique et attachant. La galerie de portraits est un petit régal, je me suis immédiatement attachée à tous les protagonistes sans goûter mon plaisir grâce aux multiples références et clins d'oeil aux années 80 qui sont pour moi si spéciales et insaisissables alors que je suis née à cette période. Bref, sans être le roman du siècle, ne passez pas à côté de ces centaines de pages légèrement déjantées et inventives.

Lien : http://livreetcompagnie.over..
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Pour mon ressenti de lecture, allez directement en ▓ ▓. Pour les plus courageux, commencez par mon histoire qui sort du chapeau et qui n'a pas grand-chose à voir avec le coeur de l'ouvrage !

▓ M'étant rendue hier à la médiathèque accompagnée de ma mère, je l'ai placée devant le rayon des livres à gros caractères avec pour consigne de s'en choisir un susceptible de l'intéresser et lui rappelant comment faire : retirer le livre avec précaution, lire le résumé, reposer le livre ne convenant pas à la même place, garder celui qui lui plaît et me rejoindre dans le rayon d'à côté... Car elle est comme Ferdinand Taupe dans « Mémoires de la forêt » de Mickaël Brun-Arnaud, atteinte de la maladie de l'oublie-tout, je dirais même « l'oublie-vraiment-tout » !

Son choix effectué, elle me rejoint avec le sourire aux lèvres et me lance : « le chapeau de Mitterrand, ça va être bien ça ! ». Cela m'amuse mais je note tout de même que cela semble allumer une petite lumière dans son esprit. Je lui demande ce que c'est ce « chapeau de Mitterrand », afin qu'elle verbalise sa pensée et développe un peu. « Bah, Mitterand, le chapeau ! ». Pas plus. Les tiroirs à souvenirs sont coincés, ils sont difficiles à ouvrir et certains refusent de bouger, ils restent fermés. « Va falloir frotter un peu de savon sur les glissières », pensai-je. Je lui rappelle qu'elle doit tout de même le lire rapidement, le retour étant prévu dans 3 semaines, car cela fait plusieurs fois que je ramène un livre dont elle n'aura parcouru que les premières pages. Quelques pages seulement mais à plusieurs reprises, en repartant du début. C'est ce qu'on pourrait appeler se mettre dans le bain de la lecture, mais pas dans celui de l'histoire du livre ! Toujours contente, elle me suit jusqu'à la voiture, son bonheur fait plaisir à voir car le sourire ne vient plus guère éclairer son visage. Elle ne doit plus savoir comment faire, les rides du bonheur sont un peu raides aussi. Tout en marchant, elle me dit : « qu'est-ce que c'est bien ici, tous ces livres ! Et on ne paie pas ? ». Je ne suis pas entrée dans les explications habituelles, l'abonnement, les emprunts... Car c'est une réponse qui passe comme un souffle sur son visage, rien de plus. Ca ne rentre même plus dans une oreille pour en ressortir par l'autre, autant souffler dans un violon, pas l'énergie cette fois ni l'envie de lire l'angoisse déformant ses traits en raison de mots qu'elle ne saisit plus toujours. Autant la laisser avec l'image très parlante de la couverture du livre qu'elle a encore en tête.

Une fois rentrées, je sors les merveilles du sac dédié à la médiathèque, cela me fait chaud au coeur, j'ai l'impression de déballer un colis de Noël. Avant de lui remettre son livre, j'en parcours quelques extraits et surprise, cela pique ma curiosité. L'écriture est belle, fluide, j'ai l'impression qu'il y a du rythme, l'histoire me saisit. Je lui remets sa merveille tout en me disant que je la lui emprunterai le soir pour la lire, délaissant ma lecture actuelle pour m'offrir une parenthèse feutrée (le chapeau est en feutre, haha).

▓ ▓ Et bien, chapeau bas à l'auteur qui, tel un magicien, a fait sortir une bien belle histoire de ce "chapeau de Mitterrand". On suit le parcours de ce feutre célèbre entre le moment où il est oublié dans un restaurant et celui de sa restitution à son propriétaire. C'est un voyage au cours duquel les différentes personnes qui le possèdent voient leur vie modifiée positivement. Ainsi l'histoire est tintée à la fois de fantaisie et d'optimisme, un histoire un peu « feel food » qui se lit avec plaisir, le sourire aux lèvres. le roman nous fait voyager dans le temps également, et fait revivre pour certains d'entre nous les années 1980. Et c'est aussi une fable qui reste de l'ordre du réel car c'est crédible, aussi surprenant que cela puisse paraître. de ce chapeau en tout cas, j'en retiens les pouvoirs magiques qui, en cette période de fin d'année, vient ajouter un peu de féerie avec sa capacité à améliorer la vie des têtes qu'il protège !

▓ ▓ ▓ A présent, retour vers le futur, ma mère vient de sortir de sa chambre chapeautée de son livre ouvert en deux :-)) Je plaisante... quoique !
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Ce roman est celui d'un chapeau... Ou plutôt de son voyage et du pouvoir qu'il donne à ceux qui le portent. Au fil des aventures, on découvre des personnages emmêlés dans une vie qu'ils n'ont pas vraiment choisie ou qui se sont laissés porter sans vraiment décider des trajectoires. le chapeau est alors un cadeau pour reprendre leur destin en main et enfin vivre !!!
Après "la femme au carnet rouge" j'avais envié de découvrir cet autre roman d'Antoine Laurain... Et j'ai bien fait !!! Une vraie lecture plaisir, une histoire bien écrite et des personnages attachants : un joli bouquet qui fait de ce livre une petite pépite de bonheur !!!
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