Caroline LavergneTassia Trifiatis-Tezgel/5
6 notes
Résumé :
En 2011, Tassia Trifiatis-Tezgel part s’installer à Istanbul avec son mari. Au cours de ses trois années de vie dans la métropole turque, elle écrit des instantanés sur son quotidien, son exploration du quartier populaire où elle habite, ses anecdotes recueillies au marché du coin, sa découverte de la tentaculaire Istanbul, puis la profonde amitié qu’elle réussit finalement à nouer avec Özlem, une jeune femme originaire du Kurdistan.
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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De superbes dessins pour une histoire de femmes à Istanbul.
C'est le récit de Tassia qui est allée vivre avec son mari dans la métropole turque. Elle ouvre les yeux sur les décors, car ne parlant pas la langue, elle a du mal à nouer des amitiés, jusqu'à ce qu'elle rencontre Özlem qui deviendra son âme soeur.
Le texte n'est pas très long, car il est ponctué de planches de dessins. Mais dans ce cas, une image vaut mille mots qui transportent l'émotion avec efficacité.
C'est un plaisir de lecture et de découverte.
C'est le récit de Tassia qui est allée vivre avec son mari dans la métropole turque. Elle ouvre les yeux sur les décors, car ne parlant pas la langue, elle a du mal à nouer des amitiés, jusqu'à ce qu'elle rencontre Özlem qui deviendra son âme soeur.
Le texte n'est pas très long, car il est ponctué de planches de dessins. Mais dans ce cas, une image vaut mille mots qui transportent l'émotion avec efficacité.
C'est un plaisir de lecture et de découverte.
Citations et extraits (2)
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… l’émigration rapproche de son enfance celui qui l’expérimente : elle est à la fois une audacieuse découverte et une découverte de l’humilité; une initiation à sa propre petitesse et à l’infini des possibilités du soi. Et si je n’étais pas l’enfant d’un seul lieu?
(p. 14)
(p. 14)
Avant d’avoir peur des gens des autres pays, l’être humain avait peur des gens des autres villages.
(p.34)
(p.34)
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