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Critique de Sachenka


Pendragon est le quatrième tome du Cycle de Pendragon. Ceux qui ont lu mes critiques des tomes précédents savent que ce ne fut pas une aventure heureuse, certains d'entre eux ont trouvé grâce à mes yeux, de peine et de misère, mais ce ne fut pas le cas de ce volet-ci. Pourtant, l'idée de départ m'a plu : on revient sur le règne d'Arthur, raconté en long et en large dans le troisième volet, mais en proposant des épisodes inédits. Intéressant. Je croyais découvrir des aspects nouveaux, des secrets bien enfouis, des événements plus personnels peut-être en lien avec son épouse Gwenhwyvar. En effet, jusqu'à maintenant, l'auteur Stephen Lawhead s'était contenté de raconter les guerres du jeune roi contre les Pictes, les Angles, les Saxons et d'autres encore. Eh bien, déception ! Ce quatrième volet ne fait que relater une énième guerre mais les enjeux sont toujours les mêmes : sauver les Bretons des envahisseurs (ou d'eux-mêmes et de leurs luttes intestines). « le monde court à sa perte ! » un personnage lance à la page 413. Eh bien qu'il tombe en ruine ! Rendu à ce point, il m'importe peu. L'auteur n'a absolument rien à offrir à part des batailles, des batailles et… ah oui, des batailles. Vers la fin du roman, Merlin commence à douter de ses capacités de conseiller et rappelle qu'il est un barde – peut-être pas au sens où on l'entend au 21e siècle mais, tout de même – et ça m'a ramené à la mémoire que je m'attendais à ce qu'il pousse la chansonnette. Pourtant, il n'a récité des poèmes ou des prières qu'à deux occasions, soit aux pages 135 et 289. Et très brièvement. C'est plutôt décevant quand j'y pense. Un peu comme l'ensemble de l'oeuvre…
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