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EAN : 9782843984952
Apogée (13/04/2017)
3.33/5   6 notes
Résumé :
Tant d’œuvres d’art détruites, d’artistes censurés, de paroles interdites. Tant de budgets dédiés à la culture diminués, dans un monde en manque de repères. Il est temps de sonner le tocsin et d’en appeler à l’instauration d’un véritable état d’urgence, pour la création artistique et les politiques culturelles !
Il nous faut réenchanter le monde et réenchanter l’avenir. "Rallumer tous les soleils", disait Jaurès, dans son fameux discours à la jeunesse.
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Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique
Je suis flûtiste professionnelle.
Je donne des concerts et enseigne en conservatoire.
J'allume des étoiles dans les yeux, à commencer par les miens.
Pourtant je dois souvent justifier de mon "utilité". Et mon métier semble moins fondamental que celui d'un médecin, un maçon, un boulanger.

La publication de cet essai m'a donc interpellée, et je remercie babelio, masse critique et les éditions Apogée pour cette pierre portée à l'édifice de ma réflexion.

J'ai trouvé la réflexion parfois un peu difficile à suivre car pas clairement structurée, mais toujours exaltée !

L'ouvrage s'ouvre sur l'importance de la culture pour une société et s'appuie sur des références du passé, les grands penseurs que sont Clémenceau, Jaurès ou Camus et un discours de Victor Hugo intemporel que l'on pourrait reprendre mot pour mot de nos jours.
Le propos s'oriente ensuite sur la crise des valeurs actuelle, due selon l'auteur à une prééminence de l'immédiateté et à une modification incroyable de notre espace. Or il est difficile de faire une place à la culture tant les effets n'en sont pas quantifiables, mêmes si essentiels.
L'essai conclut enfin sur l' "émiettement" de notre société : au XIXE siècle et au début du XXE, les enfants vivaient mieux que leurs parents, et l'avènement de la république avait suscité un espoir sans précédent. Or de nos jours l'avenir est une menace, et la peur provoque la haine et le repli. La culture est le meilleur rempart contre ces craintes et ces dérives. le premier article de la déclaration universelle des droits de l'homme est cité pas moins de trois fois, illustrant le fait qu'aucune culture n'est supérieure à une autre, et que c'est en tolérant nos différences via nos diversités culturelles que nous pourrons vivre en fraternité.

Merci à Jean-Michel le Boulanger pour ces références utiles et ces beaux idéaux.
Je retiens l'image du sillage : "ce que je préfère dans un bateau, c'est son sillage", dit l'écrivain Georges Perros. Et si l'on peut mesurer le succès d'un concert, d'une exposition à son nombre d'entrées, on ne peut imaginer ses retombées sur la société, l'humain, les graines semées pour l'avenir, pour l'essentiel.

Donc oui, je le clame haut et fort, la culture est primordiale, aussi importante que notre toit, notre santé et notre nourriture. C'est notre oxygène individuel et collectif, comme le transcrit parfaitement cet extrait : "Qui ne s'est pas senti un jour comme agrandi, ému, transporté, bouleversé, à l'écoute d'une oeuvre musicale, devant une peinture, ou à la lecture d'un poème ? L'oeuvre d'art est ce qui nous rappelle, obstinément, contre tout ce qui prétend nous réduire à l'ordinaire des jours, que nous sommes plus grands que nous."
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Comme chaque mois, je parcours la liste des ouvrages proposés lors des Masses critiques Babelio, car c'est l'occasion de découvrir des livres de maisons d'éditions que je ne connais pas, ou des ouvrages vers lesquels je ne me serais pas spontanément dirigée en librairie, où que je n'y aurais tout simplement pas trouvés… Cette fois-ci, lors de l'édition non-fiction, je cherchais des essais, car je lis trop peu d'essais à mon goût, alors que pourtant j'adore ça. J'ai notamment repéré celui-ci, que je suis très heureuse d'avoir reçu, car son sujet m'est tout de suite apparu comme non seulement passionnant, mais aussi crucial. En effet, la manière dont les Hommes traitent la création culturelle et la culture de manière générale montre bien l'ouverture d'esprit d'un gouvernement… La culture est en effet une des premières victimes quand on essaie de mettre la démocratie à terre.
Évacuons pour commencer par ce qui pourrait être le point négatif de cet ouvrage avant de nous consacrer au reste… Ce n'en est pas vraiment un pour moi, mais je préfère vous le présenter. Cet essai, si il aborde des sujets universels, est très « armoricano-centré », du moins dans ses exemples. Je m'explique : l'auteur est breton, et il cite en premier lieu des événements bretons ou mettant en scène des bretons. Sans compter que l'ouverture est signée Yvon le Men, poète breton, et l'épilogue Michel le Bris, écrivain breton et organisateur du festival Étonnants Voyageurs à Saint Malo entre autres. La maison d'édition Apogée est d'ailleurs située à Rennes. En tant que bretonne, cet aspect ne me rebute pas, loin de là. Il apporte même une valeur ajoutée à cet essai. Pour les non-bretons qui se poserait la question de l'intérêt de la lecture de cet essai, je tiens à mettre en avant la richesse et la diversité de la culture bretonne (comme celle de nombre de régions d'ailleurs^^), ainsi que le fait que la Bretagne soit un foyer actif de festivals, et présente un nombre de bénévoles peu courant… Les bretons portent haut leurs couleurs (qui peut dire qu'il a assisté à un rassemblement, quel qu'il soit, sans y avoir vu un drapeau breton ? 😂), et sont très actifs dans la préservation et la mise en avant de leur culture. Les exemples sur lesquels s'appuie cet essai ne servent que de base à une réflexion plus générale sur la culture et son rôle dans une société, et comment la préserver préserve aussi la liberté… Ne soyez donc pas effrayés par cet aspect bretonnant de l'essai, et plongez dans cet ouvrage pour vous nourrir de son contenu !!!
Je me rends compte que je me suis appesantie sur ce point qui peut être ressenti comme négatif pour qui n'en serait pas prévenu, alors que finalement il peut être considéré comme une force. En effet, il est effarant de voir le nombre d'exemples de destruction ou tentative de censure de la culture constatés rien qu'en Bretagne. Je n'ose imaginer ce que donnerait une recherche rapide sur la France entière, et encore moins au-delà… Nous avons tous des images de mythes culturels détruits, comme en Irak ou en Afghanistan, hélas, il n'est pas besoin d'aller aussi loin pour que des êtres humains détruisent des oeuvres qui ne leur conviennent pas. Et, plus grave peut-être, il suffit de se plonger dans l'actualité locale, nationale, pour trouver de nombreux exemples de mise en danger de la création artistique et culturelle par des décideurs car ils « n'aiment pas ».
Faut-il seulement autoriser le développement de la culture que l'on aime, qui nous convient ? A quel moment, et selon quels critères doit-on considérer un travail artistique comme étant liberticide, voire dangereux ? L'arrivée au pouvoir de régimes totalitaires coïncide toujours avec l'apparition ou le renforcement de la censure. Certains vont jusqu'à détruire une partie du patrimoine, de l'Histoire de leur pays pour mieux régner et faire prospérer leurs idéaux. Il est donc important que le peuple d'un pays dans son ensemble soit mobilisé pour défendre le droit à l'expression artistique et l'accès à la culture du plus grand nombre. C'est un aspect qu'on a un peu perdu de vue, comme le rappelle l'auteur, alors que c'était un des fondements de la création du Ministère de la culture…
Il ne faut jamais perdre de vue les impératifs budgétaires quand on rêve de plus de culture, mais il ne faut pas non plus oublier que la culture est un secteur économique fort en France, avec 3,2% du PIB (quasiment équivalent à l'agriculture et l'agroalimentaire), et près de 650000 emplois, répartis sur l'ensemble du territoire, y compris les plus petites communes. Couper dans les budgets de la culture ne serait pas se tirer une balle dans le pied ??? Alors oui, cet essai est politique, mais pas dans un sens politicien, même si on sent remonter par moments les opinions de l'auteur (ce qui est logique dans un essai^^). Cet essai est politique aussi et surtout dans le sens noble du terme. « La politique est principalement ce qui a trait au collectif, à une somme d'individualités et/ou de multiplicités. »
Je pourrais continuer longtemps, très longtemps, à vous parler de cet essai, qui ne fait pourtant que 84 pages, tellement il est dense et complet. Il n'est pas pour autant ardu, il est même plutôt abordable, pour peu que le sujet vous intéresse. Il est important aussi, car il remet en avant des faits que l'on avait un peu trop perdu de vue, et qu'il propose de nombreuses, très nombreuses pistes de réflexions. L'auteur cite à de nombreuses reprises des figures mythiques de la culture, comme Victor Hugo, André Malraux et de nombreux autres, qui nous rappellent qu'il a toujours fallu, et qu'il faudra encore, rester vigilant pour que la culture reste au coeur des préoccupations des êtres humains, des nations.
J'ai reçu la version papier de cet essai de la part des éditions Apogée dans le cadre d'une opération Masse Critique Babelio. Merci à eux pour la découverte.
Lien : https://leslecturesdesophieb..
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Dans une première partie, Jean-Michel le Boulanger retrace, dans les grandes lignes, l'histoire de la culture artistique démocratique. Il revient rapidement sur un certain nombre de personnalités importantes, qui ont joué un rôle essentiel dans cette histoire de la culture et qui ont permis la création artistique libre que nous connaissons aujourd'hui. Enfin.. tout est relatif. Victor Hugo, Clémenceau, Camus, André Malraux ou encore Jack Lang se sont battus, ont affirmé une position vis-à-vis de la création artistique et sur l'importance d'éduquer les citoyens. Malheureusement, de nos jours, le monde culturel (juste le monde ?) est en crise. Des oeuvres sont régulièrement dégradées voire détruites, qu'il s'agisse de livres, d'oeuvres d'art ou de monuments. Les budgets alloués à la culture sont constamment revus à la baisse. Les postes se font de plus en plus rares. Et pourtant, les lieux dédiés à la culture (médiathèques, cinémas, musées…) sont beaucoup plus fréquentés aujourd'hui qu'il y a cinquante ans ! C'est à n'y rien comprendre.
Le problème réside aujourd'hui dans l'acceptation des oeuvres. Les gens ne comprennent pas ce qu'ils voient, ce qu'ils lisent. Ils se confortent dans l'idée que l'art est réservé à un petit groupe élitiste. Il y a actuellement un gros problème de tolérance. On n'aime pas ? On détruit. On accepte pas, on ne reconnait pas ses propres valeurs dans une oeuvre ? On ne passe pas son chemin, voyons, on détruit. Il s'agit pour moi d'une forme de terrorisme, un terrorisme culturel.
« Créer, c'est résister. Résister, c'est créer. »
S'il y a bien une chose que j'ai pu constater au cours de mes cinq années d'études, c'est que l'art permet de transmettre un certain nombre de choses et de poser un regard sur des vérités qui dérangent. Ce n'est pas pour rien que de nombreuses féministes ont choisi un médium artistique (photographie, peinture, littérature, happenings théâtraux) pour partager leur point de vue, alors que beaucoup choisissaient de fermer les yeux, d'ignorer leurs besoins, leurs revendications. L'art leur a permis de faire du bruit, de faire parler d'elles et de faire progresser lentement mais sûrement la condition féminine. Ce n'est pas pour rien que les régimes totalitaires s'empressent de museler les artistes, artistes surnommés « voix de la liberté » par l'auteur.
« L'auteur peut bousculer nos regards, et nous en avons besoin ! »
A notre époque, il convient de se demander quelle est la place de l'art dans un monde fracturé ? L'auteur souligne l'importance de faire des choix politiques et militants. Il défend la culture populaire. Nous ne sommes pas seulement un public, nous sommes également des acteurs. Nous posons un regard sur des oeuvres qui questionnent notre mode de vie, notre société actuelle et qui vont remettre en perspective notre vision des choses. Jean-Michel le Boulanger remet en cause le mode de vie contemporain, marqué par l'hyperindividualisme et l'hyperconsommation. Il y a une mutation profonde du rapport de l'individu à la société. Il faut aujourd'hui promouvoir des valeurs données par une culture qui permet le discernement, l'esprit critique face à la complexité du monde. La culture doit permettre une ouverture sur ce qui nous entoure.
« Une addition de « je » ne construit pas un « nous ». »
L'essai de Jean-Michel le Boulanger est clair, concis. Il se lit facilement et rapidement. Il est très intéressant, particulièrement enrichissant. J'aurais aimé un peu plus d'exemples, des études de cas plus développées. Mais, à mes yeux, cet essai est à mettre entre toutes les mains, notamment entre celles de nos chers politiciens. Il faut que la France construise une nouvelle politique culturelle. Il faut redonner à la culture une place de premier ordre. L'auteur nous interpelle. Il choisit soigneusement ses mots, des mots forts qui montrent l'ampleur du drame qui touche actuellement la culture, du danger qui la guette si nous ne réagissons pas et que chacun reste dans sa bulle. Ceci fait que son livre est prenant, on se sent concernés et impliqués.
Il faut construire cette nouvelle politique culturelle sur un pied d'égalité. La culture pour tous est, à ce jour, une priorité et l'auteur insiste sur l'importance de « faire humanité ensemble ».
Lien : https://ibidouu.wordpress.co..
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Dans cet ouvrage que j'ai découvert grâce à la Masse Critique, Jean-Michel le Boulanger dresse un portrait de notre société actuelle, de notre monde contemporain et des multiples crises qu'il traverse : économique, identitaire, migratoire ... Face à ces diverses crises, l'auteur fait le choix de la culture. Culture aux trop nombreuses restrictions budgétaires, trop souvent taxée d'élitisme, oeuvres que l'on détruit lorsqu'on ne les aime pas ... : une culture que cette époque de crise n'épargne pas et qu'on doit pourtant préserver.
J'attendais de cet ouvrage, si ce n'est une bouffée d'espoir, au moins un élan d'optimisme. j'ai trouvé au contraire la description faite du monde parfois un peu défaitiste et certains discours déjà vus. Cela à le mérite de rendre l'ouvrage très accessible et abordable même si cela m'a parfois frustrée.
Malgré les quelques défauts que j'ai pu lui trouver, cette lecture n'a pas été dépourvue de sens pour moi. J'ai été particulièrement touchée et inspirée par les citation du discours de Victor Hugo, tellement approprié encore aujourd'hui, et par la conclusion rappelant la nécessité pour les collectivités de soutenir la culture et l'importance de la culture pour l'humanité.
Au final, une lecture un peu inégale pour ma part, dont je retiendrai de nombreux passages et que je conseillerai à quiconque s'interroge sur la place de la culture dans la société actuelle.
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Dans ce très court essai, très abordable, Jean-Marie le Boulanger dénonce une politique culturelle trop modeste, et qui ne répond plus aux enjeux de la société actuelle marquée par l'individualisme, malgré le travail des artistes et des médiateurs.
Il retrace d'abord brièvement l'histoire de la culture artistique et surtout de la politique culturelle française, citant Zola, Camus, Malraux, et beaucoup d'autres. Faisant ensuite le constat du budget toujours trop faible alloué à la culture, et de l'incompatibilité de ce domaine avec le culte des chiffres et des indicateurs de performance, il en appelle à la "reconstruction d'un nouveau récit français", multiculturel, bannissant l'élitisme et restaurant la démocratie culturelle.

Les idées exposées ne me semblent pas nouvelles, ni exposées de façon très claire. le style est un peu lourd : oratoire, presque emphatique. On trouve beaucoup de répétitions et de questions rhétoriques qui rendent la lecture un peu pénible. Je me suis demandée s'il s'agissait d'un discours.
Un exemple parmi d'autres : "Il nous faut rappeler le sens. le sens de la vie. le sens des mots. le sens de la république. Oui, le sens. Sinon, le risque est grand de cumuler cette privation de sens, la "sensure" dont nous parle le poète Bernard Noël, et la privation de parole, la vieille et malodorante censure, que l'ont croit vaincue et qui renaît sans cesse."
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Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
Qui ne s'est pas senti un jour comme agrandi, ému, transporté, bouleversé, à l'écoute d'une œuvre musicale, devant une peinture, ou à la lecture d'un poème ? L'œuvre d'art est ce qui nous rappelle, obstinément, contre tout ce qui prétend nous réduire à l'ordinaire des jours, que nous sommes plus grands que nous.
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Il faut affirmer les vertus du dialogue.
Oser énoncer les richesses de la diversité.
Afficher sa bienveillance à l’égard de l’altérité.
Proclamer, haut et fort, la vitale nécessité de soutenir la liberté du geste artistique.
Proclamer, sans relâche, l’exigence de politiques culturelles ambitieuses.
Décréter l’État d’urgence non seulement au nom de notre sécurité, nécessaire à tout exercice de liberté, mais pour ces valeurs qui nous ont fondés.
État d’urgence, face aux œuvres menacées et parfois détruites.
État d’urgence, face aux budgets culturels amputés et aux acteurs culturels précarisés.
État d’urgence, pour bâtir les politiques culturelles de demain, outil de nos émancipations.
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Il n'y a pas d'un côté la tradition et de l'autre la création. Toute création naît d'influences venues du passé, toute création, peu ou prou, est palimpseste. Toute tradition s'enrichit régulièrement d'innovations sous peine de se scléroser et de périr. Entre la tradition et la création, une conversation...
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Les droits culturels des personnes s'inscrivent dans une lignée. Dans un terreau. Dans une histoire.
C'est la reconnaissance des pratiques culturelles, de toutes les pratiques culturelles, amateures comme professionnelles, sans hiérarchie aucune en terme de dignité, dès lors qu'elles respectent ces textes fondateurs.
C'est la reconnaissance de la capacité de chacun à faire.
C'est l'éducation populaire.
C'est reconnaître en chaque personne un acteur potentiel et non seulement un public éventuel.
Les "droits culturels" pour résumer, c'est "faire avec" et non "faire pour".
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Mitterrand était un ecrivain, comme De Gaulle, comme Blum, comme Clémenceau ou Jaurès, comme Churchill, prix Nobel de littérature, on l'oublie souvent. Ces hommes d'État hantés par le tragique de la condition humaine étaient tous habités par l'espoir de mondes meilleurs.
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Videos de Jean-Michel Le Boulanger (6) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Jean-Michel Le Boulanger
https://www.librairiedialogues.fr/livre/9898379-manifeste-pour-une-france-de-la-diversite-de--jean-michel-le-boulanger-editions-dialogues Version longue de la rencontre avec Jean-Michel le Boulanger, qui a eu lieu le 27 octobre 2016 à la librairie dialogues à Brest, à l'occasion de la parution du livre Manifeste pour une France de la diversité (éditions Dialogues). Entretien mené par Charles Kermarec. Réalisation : Ronan Loup.
Retrouvez nous aussi sur : Facebook : https://www.facebook.com/librairie.dialogues Twitter : https://twitter.com/dialogues Instagram : https://www.instagram.com/librairiedialogues
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