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Critique de Houbbabzh
Terrorisme sur Paris .Sujet brûlant et pénible au souvenir.
on se retrouve donc, suite à une arrestation de terroristes à l'escalade du groupe auquel ils appartiennent, pour aboutir, à un attentat.
De l'autre côté de la Manche, un groupe de jeune filles prend des cours d'ULM avec de charmants instructeurs arabes ... la suite est prévisible: deux d'entre elles tombent amoureuses de leurs moniteurs, terroristes bien camouflés.
Côté paris, un commissaire perdu entre ses problèmes familiaux, ses problèmes de santé et la prévention de l'attentat.
Réunions sur réunions, d'un côté, drague et espoirs amoureux de l'autre, tandis que les chefs terroristes peaufinent leurs plans.
Le roman donne lieu à un cours sur le terrorisme et l'organisation de la lutte contre lui. Certes, mais un peu lassant.
Quant au suspens, euh, il n'y en n'a pas: les personnages des terroristes sont convenus et ne sont pas sans rappeler ceux d'un 11 septembre.
Tout ce qui permet de continuer la lecture c'est de savoir si oui ou non, les deux amoureuses ouvriront les yeux à temps et leurs familles aussi.
On se perd dans les pensées du commissaire, les sigles en tous genres, bref, on finit par trouver le temps long...
L'écriture manque de punch, il y a des longueurs et on finit par se perdre...
on se retrouve donc, suite à une arrestation de terroristes à l'escalade du groupe auquel ils appartiennent, pour aboutir, à un attentat.
De l'autre côté de la Manche, un groupe de jeune filles prend des cours d'ULM avec de charmants instructeurs arabes ... la suite est prévisible: deux d'entre elles tombent amoureuses de leurs moniteurs, terroristes bien camouflés.
Côté paris, un commissaire perdu entre ses problèmes familiaux, ses problèmes de santé et la prévention de l'attentat.
Réunions sur réunions, d'un côté, drague et espoirs amoureux de l'autre, tandis que les chefs terroristes peaufinent leurs plans.
Le roman donne lieu à un cours sur le terrorisme et l'organisation de la lutte contre lui. Certes, mais un peu lassant.
Quant au suspens, euh, il n'y en n'a pas: les personnages des terroristes sont convenus et ne sont pas sans rappeler ceux d'un 11 septembre.
Tout ce qui permet de continuer la lecture c'est de savoir si oui ou non, les deux amoureuses ouvriront les yeux à temps et leurs familles aussi.
On se perd dans les pensées du commissaire, les sigles en tous genres, bref, on finit par trouver le temps long...
L'écriture manque de punch, il y a des longueurs et on finit par se perdre...
