>
Critique de dictus
Monument du genre. Intrigue bien ficelée, action menée tambour battant, écriture savoureuse, tels sont les ingrédients de ce très bon polar publié en 1954 qui fit la notoriété d'Auguste le Breton et fut porté à l'écran en 1955 par Jules Dassin.
L'ouvrage est d'autant plus admirable que l'auteur est un enfant de la balle qui n'a connu qu'une école : la rue. Il a introduit et popularisé le terme « rififi » (issu de rif : feu, front, combat), le déclinant ensuite dans d'autres ouvrages moins réussis (Du rififi chez les femmes, du rififi à Paname, etc.). À lire et à relire.
L'ouvrage est d'autant plus admirable que l'auteur est un enfant de la balle qui n'a connu qu'une école : la rue. Il a introduit et popularisé le terme « rififi » (issu de rif : feu, front, combat), le déclinant ensuite dans d'autres ouvrages moins réussis (Du rififi chez les femmes, du rififi à Paname, etc.). À lire et à relire.
