" Il est 1 heure du matin. Je ne sais pas comment je n'ai pas la poitrine défoncée, depuis 4 heures que je hurle sans interruption ", écrit Flaubert à son ami Louis Bouilhet en 1852. Enfermé dans son cabinet de travail de Croisset qui donne sur la Seine. Flaubert reste très tard la nuit à écrire, à travailler son style, à " gueuler " ses phrases, comme il dit, en quête du bon rythme, du " mot juste ", chassant les assonances et les répétitions. Comment ce fils de mé... >Voir plus