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3,65

sur 354 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
J'en suis à la moitié de ma lecture et je n'en peux plus. L'auteur ne m'a pas perdue : il ne m'a jamais conquise. Il y a trop de personnages, trop de points de vue, trop de longueurs.
Je ne suis pas rentrée dans l'intrigue, ni dans la semaine sanglante. Dommage
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J'ai peiné pour arriver au bout. Une intrigue plus que mince malgré une bonne documentation sur cette période historique. Beaucoup trop de descriptions redondantes avec un penchant pour le gore qui n'apporte rien .La psychologie des personnages aurait mérité d'être un peu plus nuancée et fouillée.
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Pas fini... passe complétement à coté du sujet et de l'ambiance.
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Je venais de lire "Histoire de la Commune de 1871" de Prosper-Olivier Lissagaray (1876) et "Le brasier" de Nicolas Chaudin (2015) quand la Mairie du 13è arrondissement* proposa "Dans l'ombre du brasier" de Hervé le Corre (2020) dans une liste "Polar" pour je ne sais plus trop quel prix…
Bref, Polar, Commune de Paris, Histoire, … Il n'en fallait pas plus pour m'emballer.
Hélas, déception. Malgré une plume plutôt agréable, un Français assez riche, une excellente documentation, le roman souffre d'une mauvaise construction et de répétitions laborieuses (surtout dans sa deuxième partie). L'auteur hésite tout au long de son roman entre une enquête policière légère et un roman historique. Il a beaucoup de mal à joindre les deux et abandonne bientôt l'une pour se concentrer sur l'autre. Trop tard. le lecteur s'est déjà perdu. Il aurait mieux fait d'écrire deux romans distincts. La partie enquête policière est un peu bâclée et finit en eau-de-boudin. La partie "Semaine sanglante" est très partisane (vue exclusivement côté communard), parti pris respectable, si ce n'est que le propos de l'auteur est globalement très manichéen : les bons d'un côté, les méchants de l'autre. C'est oublier un peu vite que du côté de la soldatesque, il y avait beaucoup de paysans que le Parti de l'Ordre avait trompés, faisant passer les Communards pour des ogres assoiffés de sang, comme on le leur fera de nouveau croire des Allemands quelques décennies plus tard pour les envoyer se faire tuer dans les tranchées du Nord. Et, du côté des insurgés, il y avait aussi de nombreuses brutes épaisses avinées dont le seul but était de tuer, violer, et piller. L'auteur y fait furtivement allusion à deux – trois reprises, citant notamment Eugène Varlin. S'il s'était concentré sur cette intrigue historique, plutôt que de diluer son roman dans une histoire de photographies licencieuses, il aurait pu développer cet aspect sans se perdre dans une fastidieuse description du recul des Fédérés, il aurait pu créer des personnages plus charismatiques, mieux nuancés et de tous bords, et les tenir dans son récit plutôt que de les abandonner ci et là, ce qui aurait été, à mon sens, bien plus intéressant.
Dommage, il y avait de la substance et du style.

* A la même époque, cette municipalité nommait une rue nouvelle du nom d'un agitateur Hongrois, partisan du Comité de Salut Public, qui, profitant de l'aide des Prussiens, s'enfuit en catimini avant le massacre final, laissant les Communards se faire exterminer dans la Capitale et fusiller au mur des Fédérés.
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