La cabane est là, paisible, noire, nichée dans la roche. Je m'en approche. Je la touche. Elle est de ce bois dont on fait les pinasses. Elle est calme. Me regarde. Elle m'attend. Je suis dégrisée mais ne sais où m'asseoir tant je suppose d'amours et de désamours sur l'herbe et la terre qui l'entourent. Avec la logeuse, dimanche, nous étions en retrait, là-haut sur la dune. Je cherche à m'asseoir, me méfie de la terre. On m'en a trop dit. Je devine. Tous ces prénoms ... >Voir plus