Il s'agit de voir quels sont les ressorts de l'historiographie à différentes époques. Dieu ? La providence ? le progrès ?
On sait que Guizot avait la volonté de trouver et rassembler les faits vérifiés mais qu'il les mettait en relation dans une perspective de développement social et moral (page 164). Ce sont les historiens positivistes, tels
Gabriel Monod ou Lavisse, qui allèrent le plus loin dans la volonté « de démontrer le progrès parcouru, par le biais d'un règne ou d'un temps précis, d'une ou de civilisations » (page 200).
« Cette autre histoire devait devenir une science, structurée par des lois qui la rendraient irréfutable, et conduire l'homme vers son avenir, après avoir éclairé son présent ». (page 212).
Commenter  J’apprécie         170