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Parmi les 867 habitants que compte La Sourle (dont plus de 500 vieux), il y a un adolescent. Un seul ! Et pas des moindres ! Il s'appelle Jean-Yves. Mais tout le monde l'appelle Jeanyf. Fils d'Yvette, tragiquement décédée d'une longue maladie, et de Pierre-Yves, que tout le monde appelle Pierryf. Neveu de Jacques-Yves, que tout le monde... À 14 ans, le petit Jeanyf (du bas de ses 1m35) rêve de devenir footballeur professionnel. Mais, à La Sourle, loin des montagnes et des côtes, entre les vieux grabataires, un père marionnettiste dépressif qui taille au canif des portraits d'Yvette partout (vraiment partout), un oncle soit-disant herboriste, un cousin, surnommé Soubirou, tout droit sorti d'une déchèterie, il n'y a rien à faire. Heureusement, de nouveaux voisins, pour le moins originaux et excentriques, vont bientôt débarquer et avec eux, une drôle de nana qui va ébranler le petit Jeanyf...


C'est mort à La Sourle, petit village perdu au milieu de nulle part... Heureusement que Jeanyf et consorts sont là pour pimenter un tant soit peu la morosité ambiante. du haut de ses 14 ans, Jeanyf touche presque son rêve ultime de devenir footballeur. N'était sa petite taille qui semble freiner le staff. Qu'importe, Jeanyf court, à perdre haleine. Qu'il est attachant ce petit bonhomme encore perturbé par la mort de sa maman. Faut dire que son père, à exposer des portraits d'Yvette partout, ne fait rien pour l'aider. Ça se bouscule alors un peu dans la tête de Jeanyf. C'est dans une ambiance déjantée et rocambolesque que nous plonge Arnaud le Guilcher. Avec sa galerie de personnages aussi farfelus les uns que les autres, ça swingue à tout va. L'auteur ne manque pas d'imagination et nous offre un roman aussi loufoque qu'émouvant où les situations ne manquent pas de piquant. Les dialogues, jubilatoires, et l'écriture, enlevée et pittoresque, embrassent à merveille ce récit ô combien jouissif.
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Je ne suis pas douée pour raconter des histoires drôles, ce n'est pas vraiment un handicap social sauf quand l'envie se fait trop forte et que je me fourvoie lamentablement en oubliant la chute ou pire en la révélant au début. Bref je ne vais pas vous raconter Ric-Rac.

Ce que je peux quand même vous dire c'est que c'est l'histoire d'un petit gars qui vivait à La Soule, qu'avait un papa qui s'appelait Pierryf, qu'avait plus de maman (qui s'appelait Yvette), qu'avait encore un oncle qui s'appelait Jackyf et un cousin qu'on appelait Soubirou.

La Soule, village de huit cents habitants, presque tous retraités ou alcooliques ou les deux, où Pierryf, papa marionnettiste inconsolable et monomaniaque, sculpte et peint feu maman Yvette partout, pendant que Jackyf, herboriste, soigne tous les maux, et que son illuminé de fils, Soubirou, prie.

Et le p'tit gars Jeanyf dans tout ça ? Il veut devenir footballeur, mais doit grandir, et gérer son amour - mais ne connaît rien à la chose - pour l'adorable Bessie, la fille d'un couple propriétaire du gite sado-maso voisin.

Mais Arnaud le Guilcher vous racontera tout ça beaucoup mieux que moi - à condition que vous le lisiez, ce que je vous conseille si vous aimez les romans drôles, tendres et franchement déjantés - Merci à lolokili pour cette découverte.
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Ici c'est la fête aux Yves, Yvette, Jean-Yves, Pierre-Yves et autres déryvés déclinés à l'envi. Mais là prononcez yf, comme dans Jeanyf (le narrateur, 14 ans), Pierryf (son paternel un brin dépressyf suite au trépas de sa femme Yvette, mère de Jeanyf de par le fait) ou encore Jackyf, le tonton de compétition.

N'allons pas plus loin dans la généalogie pittoresque, la galerie à elle seule mérite l'entière lecture de ce petit récit tant l'auteur maîtrise (entre autres) l'art du portrait qui ébouryf.

En outre et contrairement aux apparences on n'est pas à Gif (sur Yvette) mais à La Sourle. Et La Sourle, pour situer, c'est comme qui dirait nulle part. Genre 800 pécores sur un terrain vague avitaillé par les choucas. Plus paumé ça peut pas. Et question climat, rien à voir avec les Maldyf.
Le kif.

Ne manquait plus que cet opus à ma Guilchermania et me voilà pas loin de penser que c'est l'un des meilleurs. Le plus tendre aussi, qui cette fois met en scène l'éveil d'un enfant parmi des adultes tous plus barrés les uns que les autres.
Un bonheur.
Que j'en viens à me demander si Marie-Sabine Roger n'aurait pas un jour fauté avec Michel Audiard et engendré un rejeton clandestin prénommé Arnaud...
A voir.

En attendant on n'ira pas jusqu'à réserver ses vacances à La Sourle, mais pour un été d'hilarité ne pas hésiter à consulter Le Guilcher.
Avis ferme et définityf.



Lien : http://minimalyks.tumblr.com/
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Il est temps d'arrêter de recopier des extraits savoureux, et de me coller à la rédaction d'un avis.

Vous avez lu 'Sukkwan Island' de David Vann ?
'Ric-Rac', c'est un peu la même histoire, sauf que c'est très amusant.
A la place d'une île, un patelin ; à la place des ours, des gens qui picolent sévère ; à la place du bois pour se chauffer, des meubles sculptés à l'effigie d'Yvette.
Dans le rôle de la mère divorcée, restée sur le continent : une mère décédée d'une longue maladie.
Dans le rôle du père déprimé : un père déprimé, mais suffisamment attentif à son fiston, quand même, pour sortir de temps en temps de ses monstrueux délires de veuf inconsolable.
Dans le rôle du fils : Jeanyf qui peut compter sur un oncle herboriste formidable, quand il a des questions, quand le père divague trop, etc.
Parce que Jeanyf a quand même des soucis dans la vie :
- sa maman lui manque
- son père est complètement à côté de ses pompes
- il veut devenir footballeur, il en a les capacités, sauf qu'il plafonne à 1 mètre 30 à quatorze ans
- il n'y connaît rien en sexe alors qu'il vient de tomber amoureux...

Rigolade assurée à chaque page, grâce aux personnages déjantés, aux situations cocasses, aux réflexions et reparties qui claquent, au style vif.
L'humour m'a rappelé celui d'Olivier Maulin, en moins répétitif, et celui de Marie-Sabine Roger, en plus caustique, moins guimauve.
J'ai été surprise par une drôle d'idée aux trois quarts du livre - pourquoi mêler des jeunes adolescents à ce genre de fantaisie d'adultes ? Malaise...
Sans ça j'aurais trouvé ce roman parfait, un bijou de mignonne déconne, et je lui aurais attribué un gros coeur.
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Mon deuxième Arnaud le Guilcher et soyez certains que ce ne sera pas le dernier. Même si je dois dire que celui-ci m'a un tout petit peu moins épatée que "Du tout au tout". Et, j'ai bien dit "un tout petit peu moins" car, cette fois encore, j'ai passé un savoureux moment, truffé d'éclats de rire, toute seule en tête-à-tête avec mon bouquin.
Mention spéciale pour les personnages de Soubirou et sa Pocahontas. Tellement improbables, totalement à la masse et pourtant si attachants. Enfin... attachants mais de loin, parce qu'ils schlinguent un peu quand même, hein !

Alors, oui, je suis bien partie pour tous les lire, les Le Guilcher. Parce qu'ils me font du bien. Comme les apéros déjantés sous ma glycine avec les potes où l'on oublie les horreurs du monde, où l'on est tout simplement peinards, heureux d'être ensemble sans la moindre prétention de changer quoi que ce soit au cours des choses, où l'on part dans de doux délires, où l'on a le rire gras et l'humour graveleux, où notre plus grande intelligence est d'être conscients que la vie n'est pas sérieuse et qu'il est salutaire pour notre équilibre mental de s'offrir des plages de "lâcher prise".
J'ai un nouveau copain de "lâcher prise", il s'appelle Arnaud le Guilcher, il est complètement barré et il me fait un bien fou !
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Le pauvre gars Jeanyf,
S'arrache les tifs:
Son pater vraiment, y a pas plus poussif
Limite dépressif ,
Depuis que son Yvette-daronne de Jeanyf -
Repose sous les ifs
Il sculpte , créatif,
Les chênes au canif.


Son cousin qui poque
-un pantin loufoque-
La défunte évoque
- quel choc-
Est-il ventriloque
Ou seulement cinoque?

Son tonton Jackyf
-Un vrai jouissif-
A coup de hashif '
De kif et de pif
La vie enjolif'!
(approximatif.. .)

Sa copine Bessie
Quoique bien jolie
A le bourre-pif
Bien vindicatif
Et impératif!

Pauvre petit Jeanyf
Il est tout chétif
Tout mal, tout rétif
- Rien de bien festif..

Pourtant on rigole:
Cantona , l' footboll,
Un fantôme tout drôle
Bientôt le consolent.

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« Evidemment, j'ai raison. La preuve c'est que je n'ai jamais eu tort. Cette pensée parfois m'effraye. » Hercule Poirot
Aux antipodes de Ric-Rac, je cite de mémoire le célèbre détective Belgo-Anglais, de par ses origines et son double héritage culturel doté d'un humour d'une finesse inversément proportionnelle à son tour de taille. L'ouvrage d'Arnaud le Guilcher à la grande qualité d'être léger à emporter… Faites donc travailler vos petites cellules grises, mes amis.


L'humour pour un Belge est une affaire de fin gourmet. Pour un Anglais, mystère. Il eût fallu demander à Poirot. Sa mort, hélas, laissera cette énigme à jamais non-élucidée. Je préférais déjà à l'âge du petit Jeanyf Buster Keaton à Laurel et Hardy. Les tartes à la crème, je n'aime rien que les manger. Il y a quelque chose de pathétique dans l'atterrissage d'une tarte à la crème. Heureusement court mais s'essoufflant malgré quelques tentatives de relances désordonnées, Ric-Rac m'aura laissé sur ma faim.


Y a-t-il à rire de la mort d'une maman ? du désarroi d'un veuf éperdu et perdu ? ou de l'écrasement d'un enfant prisonnier d'une gériatrie à ciel ouvert ? Y a-t-il à rire de la ruralité se noyant dans l'alcoolisme galopant, les uns y voyant un divin fléau ? Oui ! L'on peut rire de tout. Vive l'exutoire ! Cependant Poirot vous le dirait mes amis, les gros gags pipi-caca sont moins de mise sous les monarchies que chez les sans-culottes. L'humour purgatif devient vite un enfer aux royaumes des estomacs délicats.


Miracle de Noël, Pascal ! L'étoile de la crèche vient finalement de tomber du ciel comme un but décisif que l'on attendait plus. Sauvé par l'apparition de Cantona, digne de l'annonciation à Marie et surtout par la tendresse de l'auteur pour ses personnages, Ric-Rac, à l'arrache, obtient de justesse la moyenne. Je n'exclus pas une possible part autobiographique au bout d'un match correct donc mais qui n'a pas tenu toutes ses promesses. On me l'avait par trop survendu.
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" When the seagulls follow the trawler, it is because they think sardines will be thrown into the sea."
Cette célèbre citation d'Eric Cantona aurait pu être le titre de ce livre.
En effet, c'est à Canto qu'on doit « Ric-rac ». Enfin juste le titre, pas le bouquin, même s'il y joue un rôle (dans le bouquin, pas dans le titre… euh… ben si dans le titre aussi, je viens de le dire). Rassurez vous, ce n'est pas un livre sur le foot. Sur la couverture on nous promet : « Bukowski + le Petit Prince = Ric Rac » comme ça, ça rassure tout le monde (sauf si on est fan de la poésie de Nabila et des interviews de Ribery retranscrite aux éditions Babel Yo).

Pour tout dire, je me suis identifié aux zéro… pardon, au héro dès la première page. Si vous êtes comme moi, que vous avez quitté Paris et ses merveilles (oui Paris me manque terriblement, ça existe) pour vous retrouver en Bretagne (nananan, je déconne pas, en Bretagne, pour de vrai) dans un coin où il n'y a rien à faire d'autre après 16h30 que d'hésiter entre la corde et l'opinel voir de devenir prozac addict dans le meilleur des cas (en plein mois de… novembre en plus, oui j'ai déconné grave… je sais), bref si vous avez vécu ce genre de truc, vous serez en immersion complète dès le début (juste par rapport au lieu parce que pour le reste… )* .

Jeanyf, ado apprenti footballeur vit dans un endroit qui ne ressemble à rien (et c'est limite insultant pour le « rien »). La Sourle, rien que le nom déjà, c'est l'invitation au voyage… intérieur le voyage.
Un père dépresso artisto colèro déglingo, gentil comme tout, une mère fantôme, un oncle herboriste genre Rika Zarai sous amphétamines, un cousin qui a vu la vierge, une fiancée bien flippante, des voisins… comment dire… lisez, vous verrez, enfin un environnement ne favorisant pas forcément un enrichissement et un épanouissement personnel serein.
Tout ce petit monde, numéro un ex aequo au concours du plus taré, est attachant comme tout (un indice chez vous, surtout les voisins… nan j'ai rien dit).
Encore une fois, les dialogues d'Arnaud le Guilcher font mouche avec un humour décapant tout comme j'aime. C'est drôle, c'est corrosif, c'est tendre, bourru, affectueux.
Comme dans « Pile entre deux », j'ai un peu de mal avec la fin mais c'est perso, peut être que je n'ai pas envie de quitter ce bouquin, enfin pas comme ça, pas… je peux pas dire sans déflorer donc … donc je dirai pas pourquoi!
Deuxième lecture de m'sieur le Guilcher et deuxième strike.
Jeu set et match.

*La Bretagne est magnifique même si c'est vrai qu'y arriver en novembre ça craint, mais l'Océan (le luxe à son apogée pour ce qui me concerne) à ma porte, en face de Groix, m'a bien aidé à faire sans « ma Seine » et « ma ville ».
Pardon aux bretons, je déconnais... mais bon... la bretagne... quand même...
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Tu vois le trou du cul du monde ? Bin continue un peu plus loin... Là... Non... Encore un peu... Stoooop là, c'est bon, t'es arrivé à La Sourle.
T'es perdu ? T'inquiète pas , le petit Jeanyf va te faire visiter... Mais un conseil avant de commencer, chausse tes meilleures baskets et laisse tes soucis aux vestiaires...Le petit, quand il est parti à courir, il s'arrête plus.. Si t'arrives à suivre son rythme, tu vas vivre un été à La Sourle qui va passer à la vitesse d'un 400 m... En apnée... Courir...courir...courir...
Tu passeras en coup de vent au café de la mairie, siège de la beaufitude locale... Dont le patron s'appelle André, mais qu'on appelle Bob... Après deux ou trois brèves de comptoir que Gouriot aurait adorées, tu fileras au salon de coiffure, faire la connaissance de Cindy, la pétasse du bled et son fiancé Jordan qui ne la satisfera qu'avec un jeu de quilles...Sans reprendre ton souffle, tu suivras la rivière. Près d'un grand sycomore, tu apercevras Bessie, un ravissante petite blonde de 14 ans qui aime brûler les oisillons.... Si tu vois ton guide tomber à l'eau à ce moment là, t'inquiète pas, c'est normal... Ça lui fait ça à chaque fois qu'il voit Bessie...
Si Jeanyf t'a à la bonne, il te fera peut être visiter son chez lui... Tu feras connaissance avec son paternel, Pierryf... La pauvre homme ne s'est jamais vraiment remis de la perte de sa femme Yvette, au point de lui édifier un temple... facteur Cheval puissance dix...
En sortant de chez ton guide, tu longeras une grande propriété. C'est le Silo, un grand gîte rural sado maso, tenu par les parents de Bessie... Et qui fait baver tout la populace pequenaude de la Sourle, à commencer par son premier magistrat qui se voudrait un maire étalon...
Si t'as encore des calories à perdre, fais donc un détour chez l'oncle Jackyf, le rebouteux herboriste du coin, mais surtout coach et confident de ton jeune guide... si tu croises un monstre velu, ne ralentis pas, il s'agit de Pocahontas, l'improbable fiancée du cousin Soubirou... Lui, si tes yeux ne le repèrent pas, c'est ton pif qui fera le boulot... Sa dernière toilette remontant à plusieurs années, il laisse des traces dans son atmosphère proche...Ça ne l'empêche pas d'être un puissant médium et de pouvoir parler avec les morts...

Accroché à la foulée de ce trop petit grand footballeur, tu vas voir se peindre le très beau tableau d'un été d'ado...Patchwork de rires et d'émotions; prairie d'herbes folles dans laquelle tu te surprendras à tenter quelques galipettes qui te laisseront un peu groggy...
Là... Épuisé, ivre d'humour et de tendresse, tu laisseras Jeanyf continuer seul sa course effrénée contre le désespoir, contre le manque, contre la douleur de l'absence...

il n'y a pas longtemps, une bouche exquise me parlait de "L'humour comme politesse du désespoir "... C'est une formule de Chris Marker que Boris Vian à popularisé et dont l'ami Arnaud le Guilcher maîtrise toutes les subtilités...

Cours Jeanyf.... Cours....
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J'ai déja lu deux des livres de l'auteur En moins bien et pas mieux que j'avais beaucoup aimé avec une préférence pour le second mais les deux romans se suivent. J'aime toujours autant le style de l'auteur déjanté avec des répliques savoureuses mais je découvre également ici une sensibilité et des moments émouvants.

Jean-Yves (Jeanyf) et en effet un adolescent qui vit avec son père Pierre-Yves (Pierryf) après le décès de sa mère Yvette. Son père depuis fait de la maison et de l'extérieur de celle-ci un mausolée à la mémoire de sa femme mais vraiment partout du portail, à la poterie, à la peinture, à la cuvette des toilettes c'est dire.

Ajouté à ce cela son oncle Jacques-Yves (Jackyf) herboriste un peu fêlé et le fils de celui-ci Soubirou complétement illuminé on a déja de quoi avoir des dialogues savoureux. Mais à la Sourle de nouveaux voisins bien étranges vont aménagés en achetant le manoir de 31 chambres pour en faire un gîte sadomaso. Leur fille Bessie est donc complétement allumée également.

Je lirai donc de nouveau avec plaisir l'auteur j'ai d'ailleurs pile entre deux dans ma Pal et pour ceux qui peuvent allez le voir en dédicace foncer il est très sympathique et fait toujours de très beau dessin avec plaisir (avec sa trousse de feutre).
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