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Une jolie petite surprise que la lecture de ce bouquin.

J'ai enfin pu découvrir un personnage principal dont les démons ne le rendent pas caricaturaux, mais juste humain. Qui ne fonce pas spécialement tête baissée dans les brancards, même si, mais dont la psychologie humaine se laisse parfois aller à la sinuosité. Aussi, le nom de famille aussi imprononçable que tordu à écrire prête à sourire. Les autres membres de l'équipe sont, quant à eux, bien posés sur leurs pattes. Cela donne envie de continuer la lecture, surtout quand il s'agit de la première enquête que l'on lit, alors qu'il existe d'autres enquêtes de la même bande. Les touches d'humour dissimulées ne sont pas négligeables.

L'histoire jongle avec le présent dont l'action se déroule en France et le passé dont l'action se déroule totalement en Irlande du Nord. A mesure des chapitres, ceux-ci viennent à se rencontrer et à ne former plus qu'un tout bien agencé. Les éléments sont distribués au compte-goutte. Je me suis habitué à jongler avec les autres qui séparent leurs chapitres en passé/présent, et pour ce livre, on pouvait y ressentir l'idée d'être sur un sentier qui avance vers son point de chute. Tel un farfadet malicieux préparant son mauvais coup de grâce. Ensuite vient le moment final lorsque le passé vient à rencontrer le présent pour empêcher le futur de croître. Tout feu, tout flamme.

Dans l'ensemble, c'est un roman de bonne fracture qui mérite d'être lu. A bâtons rompus.
Toutefois quelques petits bémols à souligner : l'utilisation du terme items pour dire objet, un pléonasme non corrigé et un belgicisme. Mais surtout l'éternelle allusion aux attentats de France qui au bout d'un quatrième auteur sont pénibles à devoir encore lire.

Jerrycan dans mes dents, mais il commence sacrément à faire chaud ici,
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Le capitaine Mehrlicht et ses équipiers les lieutenants Latour et Dossantos ne sont pas à la fête sur leur 4ème enquête.
C'est pourtant bientôt Pâques, et ils ne vont pas partir à la recherche d'oeux mais d'une sorte de gnome maléfique , amateur de barbecue à la sauce diable. ça crame sec dans Paris et en plus tous ceux qui passent au grill sont anglais ou irlandais !
Mehrlicht a beaucoup de mal à comprendre pourquoi le croquefeu, ou far darrrig selon que l'on se trouve de coté ou l'autre de la manche, vient faire ça cuisine expiatoire sur le territoire français. Fumant ses gitanes à la file et jurant à tour de bras notre Kermit policier se délite, se ratatine au fil des heures qui passent, et son équipe avec lui.

Bref, tout le monde part en sucette et, je l'avoue, malgré la gravité du sujet, Nicolas Lebel arrive à me faire rire. Ses descriptions autant physiques que verbales de son capitaine batracien sont hilarantes et ce savant mélange d'humour, d'histoire, et de terreur donne un résultat absolument captivant.

Au delà de l'enquête, l'auteur nous emmène dans le passé d'une Irlande détruite au fil des siècles par des guerres intestines entre catholiques, protestants et anglais. L'époque évoquée est celle des années 60/70 et entre hier et aujourd"hui se tisse peu à peu le lien destructeur qui, grâce à l'aide du superintendant anglais Tullamore va éclairer ce bûcher pascal.

Ce dernier opus est mon préféré parce que j'ai beaucoup appris sur l'histoire de l'Irlande, parce que j'ai beaucoup ri avec ce capitaine version Kermit défraichit et parce que je suis entrée davantage dans l'intimité de ce groupe de policiers atypique;

Excellent moment de lecture;




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Vous commencez à me connaitre et vous savez très bien qu'il y a des auteurs que je suis avec grand intérêt. Nicolas Lebel est de ceux-là. Ce nouveau roman, qui est le quatrième tome de sa série Mehrlicht, nous fait traverser la Manche.

Un homme d'une soixantaine d'années est retrouvé assassiné dans les toilettes d'un pub parisien. L'équipe de Mehrlicht se voit confier l'enquête. Lors de l'autopsie, on découvre un cadavre tatoué de messages et sigles d'appartenance avec l'IRA. Qu'est-ce que cet homme vient faire en France ?? Surtout qu'on est déjà en plan Vigipirate écarlate avec les attentats de Bruxelles !

– Ils sont pas les musulmans qui font les bombes. Ils sont les assassins, reprit-il.
– Je sais, Jebril.
– Ils pensent que c'est le Dieu qui dit de faire la bombe, mais c'est l'imam fou !
Jebril s'agitait, clairement révolté par les récentes attaques.
– Je sais…
– Mais pourquoi elle dit pas, elle ?
Il désigna la journaliste de la main.
– Parce qu'elle a des ordres, certainement, pour orienter son débat ou pour apaiser les foules. Ou parce que, comme tout le monde, elle est perdue, abattue par les événements ; elle voudrait être en sécurité, mais pressent que ce ne sera plus jamais possible. Parce qu'elle se dit qu'elle a peur mais refuse de l'admettre pour qu'ils gagnent jamais. Parce qu'elle y pense dès que son mari ou ses enfants sortent dans la rue, dès qu'elle entend un pétard ou un cri, parce qu'il faut vivre avec ça désormais, et que c'est inhumain…
A chaque nouveau roman de l'auteur, je me dis que le dernier est mieux que les précédents ! Mais celui-ci est vraiment un cran au-dessus ! Surement parce qu'il correspond à ce que j'aime ! Un roman de fiction basé sur des faits historiques. le conflit Irlandais est l'essence de ce livre. On ressent une véritable implication de l'auteur dans ce sujet. J'ai le sentiment qu'il y a déposé une part de son âme. Nicolas Lebel a la particularité de dessiner le monde tel qu'il le voit dans ses romans ! Il n'y a jamais de neutralité, et j'aime particulièrement ça ! Je ne dirai pas que c'est un auteur engagé, mais avec humour, il nous passe quelques vérités !

En parlant d'humour, tiens ! Une des forces aussi de cet auteur ! Par contre, je trouve qu'elle s'appauvrit dans ce roman, il est bien plus noir (heu n'oubliez pas que Sans pitié, ni remords est, à mon gout, le plus violent ! ). Mais cela s'explique, car l'humour est incarné par le capitaine or dans cet opus, Mehrlicht et son équipe sont en second plan, d'ailleurs ils ne maîtrisent rien. Les personnages principaux sont bien des Irlandais qui vivent le conflit .

Vous l'aurez compris les chapitres passent de 2016 aux années 1970 …Une danse entre présent et passé. Un pas de deux sombre, révoltant. Qui donne un souffle, un rythme à ce roman que l'on ne souhaite pas refermer.

Je ne sais pas si l'auteur prend de l'aisance au fil de ses romans ou si ce style littéraire lui convient parfaitement, mais une chose est certaine j'attends avec une grande impatience le moment ou il se décidera à quitter Mehrlicht (non pas que je souhaite qu'on arrête cette série) pour un roman généraliste.

Pour conclure, j'ai adoré cette lecture et mes mots sont bien pâles par rapport à mon ressenti ! LISEZ CE LIVRE !
Lien : https://lesciblesdunelectric..
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C'est fou tout ce qu'on peut faire au nom d'une religion.
Il suffit d'un auteur de policiers pour nous rappeler qu'il y a encore peu d'années, deux pays que nous chérissons, à l'heure du thé, de la pinte, ou des refrains celtes lors d'une soirée de Saint Patrick, se tiraient dessus.
Sunday Bloody Sunday qu'ils chantaient.
Nicolas Lebel nous en rappelle les faits et les causes, via une enquête de ce poilant Capitaine Merlicht.
Puisqu'il semblerait que des crimes soient perpétrés au nom du douloureux et violent groupe IRA..

Putain que la lecture fut un délice de torture, ou une torture délicieuse.
Merde, je dois 5euros. 10 ...
Mais ça valait bien ce chiasme.

La mise en place de l'enquête m'a parue au début longue tant les retours dans le passé sont nombreux. Mais Nicolas Lebel a réussi à immiscer vertueusement le suspense au fil des pages.
Les chapitres sont courts mais denses. Et l'intensité de l'intrigue gonfle au fur et à mesure.
Il réussit tout ce que la lectrice que je suis attend : Plume littéraire, personnages détestables mais qu'on aime quand même, enquête servant de prétexte pour parler de faits réels et historiques,
Tout en parsemant par çi par là de jolis mots de vocabulaire inconnus. Comme Lycanthropie. Je vous laisse chercher par vous-même sa définition.

Merci Babelio et l'éditeur pour la masse critique.

Pour vous Lebel/Merlicht.
Je suis ... une homme ou une femme, de 7 à jusqu'à ce que mes yeux et ma tête travaillent encore. Je dévore sans que mon estomac ait à travailler.
Le silence m'est préférable et je suis reste souvent immobile même si je peux prendre des risques en marchant, sous les yeux étonnés des passants.
Il m'arrive de m'endormir la lumière allumée et mon sac de voyages est souvent lourd. Je porte allégeance aux chinois et à Gutenberg. Je suis ? Je suis ?
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« Une enquête chaotique dans un monde chaotique à la poursuite d'un esprit de la nuit resurgissant d'une guerre qu'on croyait éteinte mais qui menaçait comme un volcan. » c'est ce que fait dire Nicolas Lebel à Mehrtlicht page 354 et on ne peut rêver meilleure formule pour résumer ce thriller. Dans ce tome 4, c'est donc tout au long d'une traque que nous côtoyons ce capitaine qui ne veut pas devenir commandant pour ne pas ressembler à Coustaud … mais au-delà de cette intrigue complexe et dense, c'est une réflexion sur les intégrismes et les extrémismes à laquelle nous convie l'auteur. Ici ce sont les épilogues douloureux de la guerre civile en Irlande, ses enjeux ambigus et je pense que toute ressemblance avec une actualité plus méridionale n'est absolument pas fortuite. Une enquête aussi documentée que les trois précédents épisodes de la série, avec le même humour décalé, le regard aiguisé sur notre actualité et encore une sonnerie de téléphone improbable qui détend l'atmosphère au bon moment. L'ambiance très noire de ce thriller permet en outre d'approfondir notre connaissance sur les coéquipiers (permanents ou stagiaire sont au rendez-vous) de l'homme à tête de grenouille, un peu comme au Département V de Jussi Olsen . Un très bon cru … de Guinness !
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Après avoir beaucoup apprécié son dernier polar « Sans pitié, ni remords », je dois vous dire que c'est avec un plaisir non dissimulé que j'ai retrouvé la verve et la plume de Nicolas Lebel dans son nouvel opus « de cauchemar et de feu ».

Aujourd'hui, Nicolas Lebel nous offre un polar entre passé et présent. Il nous explique de l'intérieur le conflit nord irlandais et nous entraîne dans une nouvelle enquête pour meurtre à Paris de nos jours.

L'HISTOIRE

Irlande du Nord, avril 1966 : nous sommes témoins de l'émergence d'un conflit en Irlande du Nord, entre les catholiques nationalistes minoritaires dans cette partie du pays et les loyalistes anglais. Un conflit qui durera trente ans.

Paris, mars 2016 : une personne apparentée au mouvement nationaliste irlandais, l'IRA (Armée Républicaine Irlandaise), est retrouvée assassinée dans un pub. le capitaine Mehrlicht et son équipe composée des lieutenants Latour et Dossantos sont chargés de l'enquête. Ceux-ci doivent savoir rapidement s'il s'agit d'un règlement de compte ou d'une potentielle menace terroriste.

MON AVIS

Le fait d'aborder deux époques dans deux pays différents, en alternant les récits, m'a permis d'être totalement immergé dans l'histoire et d'avoir une réelle empathie pour les personnages passés et présents.

Mais l'intrigue est moins fluide et moins rapide que dans « Sans pitié, ni remords » qui se passait entièrement à Paris. C'est le revers de la médaille.

L'enquête pour meurtre à Paris m'a permis de renouer avec la vie personnelle du capitaine Daniel Mehrlitch qui vit seul avec son fils et de ses lieutenants Sophie Latour et Mickael Dossantos. le passé de Dossantos va réapparaître pour son plus grand malheur. J'ai aimé revoir ces personnages qui restent attachants.

J'ai goûté avec délice l'humour de Nicolas Lebel, grâce au capitaine Mehrlicht, l'homme à la tête de grenouille, qui nous pond des fulgurances mémorables ! J'ai adoré le voir s'acharner contre sa nouvelle stagiaire, le lieutenant Reinier, fraîchement débarquée de sa province natale.

La partie en Irlande du Nord sur la vie des habitants m'a appris des choses. J'ai vu ces hommes, ses femmes et ses enfants en proie à un dilemme intérieur : soit rester dans une manifestation pacifique face au pouvoir anglais ou rejoindre un groupe de résistance active contre l'armée anglaise.

J'ai beaucoup aimé le style de Nicolas Lebel qui sait adapter son langage aux époques et aux personnes. L'humour de l'auteur est toujours présent dans ses polars et j'espère qu'il perdurera. L'action et le suspense sont toujours là, rassurez-vous !

Pour conclure, je remercie l'auteur pour ce très beau polar nord irlandais dépaysant et enrichissant. Ce polar allie histoire et suspense et peu de gens peuvent se targuer de réussir un tel exploit.
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Ca y est, j'ai lu toutes les enquêtes de Mehrlicht, certes dans le désordre, mais je les ai toutes lu! Et ça vaut largement plus le coup que d'avoir le quinté dans le désordre.
Jackpot!

Pitch (4ème de couv):
"Paris, à quelques jours du dimanche de Pâques. Un homme d'une soixantaine d'années est retrouvé assassiné dans un pub, une balle dans chaque genou, une troisième dans le front. L'autopsie révèle sur son corps une fresque d'entrelacs celtiques et de slogans nationalistes nord-irlandais. Trois lettres barrent le haut de son dos: IRA. le capitaine Mehrlicht fait la grimace.
Enquêter sur un groupe terroriste en plein état d'urgence ne va pas être une partie de plaisir. Pourtant, le conflit irlandais semble bien s'inviter à Paris…"

Et…Top!
Je suis un polar écrit par un auteur français féru de Krav Maga et in love d'Olivier Norek. Je suis la quatrième enquête de l'inspecteur à tête de grenouille et à l'argot facile. Entre Derry et Paris, mon intrigue sème autant de cadavres que d'humour caustique. Je suis, je suis (allez, faites un effort) Et oui oui ouiiiiiii: je suis de cauchemar et de feu (c'était un peu fastoche quand même, z'aviez le titre au-dessus…)

Le duo Mehrlicht/Lebel m'a mis dans sa poche depuis notre première rencontre littéraire et je crois que ce coup de coeur n'est pas prêt de s'éteindre. Car la recette est rudement bonne: de l'enquête, de l'humour, de l'histoire et une juste dose d'esprit critique (des institutions, des politiques, et ici forcément de l'église). Avec pour ce roman, un petit plus, ce rappel à mes souvenirs de vacances d'il y a vingt ans en arrière qui m'ont emmené vers Derry, entre autres! Une occasion aussi d'en apprendre davantage sur les heures sombres irlandaises chantées par U2.

En attendant le retour de Mehrlicht (une sixième enquête Môsieur Lebel?), je vais aller faire un tour par la trilogie des Furies, du même auteur, dont j'avais là encore adoré la première enquête: le Gibier.

Vous l'aurez compris, Nicolas Lebel est une valeur sûre du polar français. Foncez si vous ne le connaissez pas encore (en lisant la série Mehrlicht dans l'ordre, c'est mieux)!
Et psst: passez le voir lorsqu'il est en dédicaces, la rencontre vaut le coup ;)
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Quatrième tome des aventures du capitaine Mehrlicht et de son équipe. On se retrouve en pays connu, avec le capitaine fidèle à lui-même, martyrisant les stagiaires, sa gouaille à la Audiard que je retrouve avec un réel plaisir et ses coéquipiers que l'on commence à bien connaître. On démarre sur les chapeaux de roues avec un cadavre tué par balle dans les toilettes d'un pub irlandais. Les chapitres alternent avec des faits relatifs aux évènements liés à l'IRA, et aux exactions commises en Irlande comme le bloody sunday. J'ai trouvé très intéressant le fait de vivre de "l'intérieur" cette guerre entre catholiques et protestants et j'ai bien rigolé de la nouvelle appli. installée sur le téléphone de Mehrlicht. J'émets une petite réserve quant à la longueur (et l'épaisseur) de l'histoire mais c'est quand même un réel plaisir que de lire un Nicolas Lebel !
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A travers une enquête pleine de rebondissement, le lecteur s'attache aux personnages qui sont peut-être plus humains que jamais.
Mais au-delà d'un roman policier, c'est un voyage qui nous est proposé ici. Un véritable voyage dans une Irlande déchirée par la guerre civile, une guerre qui déchire un pays, des amitiés, des familles... et des hommes.
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Lecture intéressante mais pas aussi addictive que je l'aurais voulu.
La partie sur la « guerre civile » en Irlande / Conflit nord irlandais est bien documentée, bien construite et assez réaliste. On sent que l'auteur a pris le temps et s'est donné les moyens pour traiter ce sujet complexe avec professionnalisme.
A contrario, l'enquête sur les meurtres commis en France n'est pas très palpitante. L'énigme est même un peu faible. On s'intéresse plus à la psychologie des personnages (surtout les enquêteurs français) qu'au méthodes d'investigations en elle-même.
Cela partait sans doute d'une bonne intention mais j'ai trouvé les personnages un peu trop stéréotypés. A la décharge de l'auteur c'est un mal très français, on retrouve souvent ce cas de figure dans les livres policiers écrit par des auteurs francophones.
La plume de l'auteur n'est pas si mal, elle s'adapte plutôt bien au style du policier bien que le rythme soit parfois un peu lent à cause de quelques longueurs…


Lu dans le cadre du CWC 2018-2019
Lien : http://www.booksanddreams.co..
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