Arsène Lupin : La Comtesse de Cagliostro

Cela faisait un bon moment déjà que ce roman était dans ma PAL, m'ayant été donné à une quelconque occasion. Certes, j'avais bien sûr entendu parler d'Arsène Lupin et connaissais sa légende et son surnom de "gentleman cambrioleur" mais sans avoir, jusqu'à ce jour, ne serait-ce lu qu'une seule de ses aventures et ce, je dois l'admettre, à ma grande honte, mais ouf, voilà que celle-ci commence à s'effacer. Je me réjouissais à l'avance de me plonger dans l'une des aventures de Maurice Leblanc mais quelle n'a pas été ma surprise en découvrant que ce héros légendaire se faisait appeler Raoul d'Andrésy ? Que tout le monde ignorait jusqu'alors le nom d'Arène Lupin ? Et c'est là qu'intervient tout le génie de l'auteur et de son personnage aux multiples facettes et identités et quel meilleure entrée en matière avec cette première aventure que de ne pas introduire immédiatement le nom d'Arsène Lupin ?

J'avoue avoir été un peu déconcertée durant cette lecture car il y a ici une femme, qui elle aussi, a de multiples appellations et qui deviendra le temps de cette intrigue, l'ennemie jurée de Raoul mais aussi avec un amour réciproque mais ne dit-on pas que l'amour est très proche de la haine ? Un roman où il est bien évidemment question de trésor et de richesses inestimables sinon, cela ne serait pas une aventure dans laquelle tremperait Arsène Lupin me direz-vous ?
Complots, alliance, trahisons...tout est réuni ici mais cela a fait trop d'un coup pour moi, ce qui fait que jusqu'à la toute dernière page (enfin j'exagère beaucoup), je ne savais quelle note j'allais attribuer à cet ouvrage et surtout si j'allais, comme je l'espérais, adorer ou si, au contraire, celui-ci me décevrait !

Au final, une lecture à laquelle il faut s'accrocher si l'on ne veut pas perdre le fil en route mais que je ne peux que vous recommander !

''C'est ici la première aventure d'Arsène Lupin, et sans doute serait elle publiée depuis longtemps si il ne s'y était maintes fois résolument opposé. Non, entre lui et la comtesse de Cagliostro tout n'était pas réglé. Il fallait attendre. Et un quart de siècle se passa''.
Maurice Leblanc nous raconte ici, avec son formidable talent, un des chapitres fondateurs de la personnalité d'Arsène Lupin.
Suivi de ''la Cagliostro se venge'' cet opus a été récemment adapté avec succès au cinéma. Sûrement vaut-il mieux lire cet excellent livre avant de voir le film.

Raoul d'Andrésy, alias Arsène Lupin, est jeune, pas encore le fameux gentleman cambrioleur. Sa rencontre avec la comtesse Cagliostro qu'il sauve d'une noyade certaine va transformer sa vie. Non seulement il tombe éperdument amoureux, mais il apprendra d'elle son métier de voleur. Les deux personnalités trop bien trempées et divergentes vont finir par s'affronter, par être adversaires pour le gain d'un trésor monastique convoité par un groupe d'hommes prêts à tout. Puis, petit à petit, la passion des deux amants va se muer en haine. Lupin, qui finira par dépasser le maître, gagne la partie, mais la belle et névrosée comtesse lui fera payer toute sa vie, pas tant de lui avoir ravi le butin, mais de lui avoir refusé son amour.
En conclusion, un bon Arsène Lupin, plein de rebondissements, de sentiments contrastés, de personnages obscurs tout en profondeur, et une fin très ouverte, mais plutôt mitigée pour le héros. Car ce roman en annonce un autre qu'il me tarde déjà de lire.
À bientôt donc, pour la suite, avec La Cagliostro se venge.

Nouvelle rencontre Dumas /Leblanc (Après le collier de la Reine) Arsène Lupin a 20 ans et fait la rencontre de Joséphine Balsamo (qui réunit dans ce nom Beauharnais et Dumas,la révolution et l'Empire) lors d'une scène qui rappelle en bien des points l'exécution de Milady . Il sauve la belle mystérieuse ;il l'aime ,le volage, malgré son lien avec Clarisse ; il devient son complice puis la trahit pour un trésor et la voilà devenue sa Némésis pour longtemps. Une aventure au parfum fantastique que j'ai aimé (et aime encore)

Ce 13e tome d'Arsène Lupin nous raconte en fait la 1e véritable aventure du célèbre gentleman cambrioleur. Nous découvrons ici un tout jeune homme qui hésite encore entre la voie de l'honnêteté et celle de la cambriole et qui va faire ses 1es armes face à de terribles adversaires, tout aussi déterminés que dévoyés.

Aventures, action, humour, passion, mystères et amour forment la trame d'une intrigue qui ne connaît aucun temps mort et se révèle palpitant du début à la fin. Pendant ma lecture, je me disais « encore un chapitre et je ferme le livre » et finalement je n'arrivais jamais à le fermer ^^

Certains tomes de cette série semblent un peu vieillots à la fois dans le style et dans l'ambiance (du moins je trouve), ce n'est pas du tout le cas de celui-ci, qui a réussi à me captiver du début à la fin. Arsène Lupin jeune n'est pas tellement différent d'Arsène Lupin dans la force de l'âge, mais ce livre permet de découvrir comment il a compris à quel point il était doué, comment il a choisi cette voie et pourquoi.

Bref, un tome très intéressant, toujours haletant, qui fait la part belle à un personnage féminin fort, même si on sent parfois le machisme de l'époque dans certains aspects. Une des meilleures aventures concoctées par Maurice Leblanc à mon avis. Si vous aimez Arsène Lupin, ou seulement les romans d'aventures, vous aimerez ce livre.
Lien : https://bienvenueducotedeche..

On découvre la 1ère aventure d'Arsène Lupin, qui n'est pas encore Arsène à ce moment-là et que l'on rencontre sous le nom de Régis. le lecteur voit la facette humaine de ce personnage au grand coeur. La magie autour de cet homme est déjà présente. J'ai trouvé l'histoire intéressante pour mieux comprendre son personnage ainsi que la vie qu'il aura par la suite mais l'histoire ne m'a pas passionnée.

Nous voici plongés à l'époque où Arsène Lupin n'était qu'un jeune homme. Son chemin croise par hasard celui d'une femme fatale qui influencera sa vie de gentleman cambrioleur. La comtesse de Cagliostro est à la fois une femme courageuse, intelligente, belle et entreprenante, mais aussi une femme blessée, manipulatrice, à la morale douteuse. le combat entre ces deux personnalités hors norme est intense. Il oscille entre amour fou et haine féroce. Il oblige Arsène à définir ses propres limites.
Cette aventure est plus intense que plusieurs des histoires précédentes de Lupin. Ici il n'arrive pas en sauveur écrasant les autres personnages par sa puissance. Au contraire il a tout à prouver, il montre des failles et des forces qui ne vont pas de soi.
Moi qui commençais à me lasser de l'écriture de Maurice Leblanc, j'ai retrouvé un attrait pour l'oeuvre. Les personnages féminins semblaient trop ternes. La Cagliostro est loin d'être un modèle, mais elle est tout sauf passive. Je reprocherais à l'auteur de passer à l'extrème inverse : l'image de femme puissante s'accompagne de celle d'une personne égoïste et prête à toutes les vilénies derrière une apparence parfaite.
Bref la vision d'une époque où le chemin des femmes est encore long et difficile avant d'arriver à une équité de considération avec les hommes.

Encore un tome, et encore une fois, Maurice Leblanc parvient à donner aux aventures d'Arsène Lupin un goût nouveau, quelque chose qui empêche de dire « tiens ça me rappelle un précédent tome ». Et là, il fait fort car dans La Comtesse de Cagliostro, Arsène Lupin à 20 ans. En gros, on peu dire qu'on est à la genèse du fameux héros, avec ses questionnements, ses doutes et ses ambitions.

Et quelle bonne idée de Maurice Leblanc de faire ça. Il amène une profondeur et une humanité plus tangible à Arsène Lupin. En outre Arsène Lupin devient (presque) comme les autres. On apprend d'où vient cette homme et d'ou viennent ses particularités.

Mais La Comtesse de Cagliostro est un roman qui nous raconte le moment clé de la bascule vers ce qu'il est devenu par la suite. Et de fait, ce tome est plus accès sur l'humain, les sentiments que sur les astuces et les chausses trappes. D'autant qu'Arsène Lupin est faillible comme jamais il ne le fût.
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Cet épisode des aventures d'Arsène Lupin porte sur ses débuts, à l'âge de vingt ans et nous permet de le voir élaborer au fil de l'action son éthique de travail. Il y sera confronté à une mystérieuse et envoûtante Joséphine Balsamo ainsi qu'à un jésuite sanguinaire à la tête d'une cohorte de brutes. Qu'à cela ne tienne, notre héros, tel qu'on pouvait s'en douter, se tirera d'affaire tout en se jurant bien par contre de monter lui aussi une bande afin de disposer de moyens dont sa solitude le prive.

J'ai apprécié cet opus qui mêle sentiments amoureux, intrigue historique, duel d'esprit. Leblanc rends bien toute la complexité de la comtesse et les tiraillements d'Arsène, très jeune et inexpérimenté. Bien que l'action ne manque pas, l'accent est mis sur les caractères particuliers des protagonistes qui sont, chacun à leur façon, particulièrement intéressants.

Lupin, che mantenga il suo nome o ne usi altri, non può essere confuso. Qui è Raoul d'Andrésy, giovane, ha appena vent'anni, e usa il suo secondo nome di battesimo e il cognome da nubile della madre (e si fa passare per visconte, sposandosi per la prima volta).
Ora, l'avventura è degna di nota e porta alla luce molti spunti interessanti. Uno fra tutti, i quattro enigmi che dovrebbero condurre ad altrettanti tesori:
In robore fortuna
La lastra dei re di Boemia
La fortuna dei re di Francia
Il candeliere a sette bracci
Si può affermare che Raoul, grazie al suo incontro con Joséphine Balsamo, abbia intrapreso la sua strada verso la grande avventura di Arsène Lupin.
Ho solo un appunto. Maurice Leblanc in questi suoi racconti/romanzi ha descritto uomini di ogni tipo, dai tratti e caratteri più disparati, ma di donne ce ne sono solo di due tipi: quelle geniali e pazze da legare e quelle che esistono perché sono belle da vedere (curiosamente anche quelle pazze da legare sono belle da vedere…). Forse, e sottolineo forse, il signor Lebalnc avrebbe potuto chiedere qualche informazione in più alla sorella, che mi pareva una donna piuttosto interessante, al contrario di quelle dei suoi romanzi. Fra le altre cose molte delle suddette muoiono giovani o in modo violento (o entrambi), oppure scompaiono nel nulla, inghiottite dal gorgo dell'oblio.
Hortense Daniel : un picco di interesse iniziale, poi svanito nel nulla con l'avanzare dalla narrazione
Florence Levasseur : lasciamo perdere
Raymonde de Saint-Véran : idem come Hortense
Dolorès Kesselbach : pazza psicopatica
Sonia Krichnoff : idem come Hortense
Clarisse d'Etigues : non pervenuta
Joséphine Balsamo: pazza psicopatica
Nelly Underdown: linea piatta
Clarisse Mergy: discreta, forse l'unica che vale la pena di attenzione
Angélique Sarzeau-Vendôme : non pervenuta
Geneviève Ernemont : figlia di Lupin, un pacco da spostare a seconda della bisogna
Maman Coralie: pesante
Véronique d'Hergemont: insopportabilmente pesante
Ho finito. Altrimenti divento pesante anch'io.