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Aujourd'hui, jeudi 20 juin sort Un souffle d'indépendance d'Alain Leblanc, ultime tome de sa trilogie Les Conquérantes. Je remercie chaleureusement French Pulp éditions pour l'envoi de ce roman en service presse et en avant première, via net galley.
Après Clémence puis Noémie je voudrais... Marianne. Fille de Noémie et petite fille de Clémence, Marianne est née un peu après la guerre et avec elle va régner un souffle d'indépendance. Elle souhaite devenir avocate, ne pas se marier, aimer librement sans avoir de chaînes comme cela a pu être le cas pour ses aînées. Arrivera t'elle à faire ce qu'elle veut et à devenir celle qu'elle rêve d'être ??
Nous partons des années 1960 pour arriver doucement de nos jours : guerre d'Algérie, guerre du Vietnam, Mai 1968, toute la campagne contre et pour l'avortement, l'arrivée du SIDA et tant d'autres choses qui ont fait notre histoire... et ont aidés à ce que nous, les femmes, soyons (enfin) indépendantes.
J'ai adoré ce troisième tome, pour moi c'est le plus réussi.
Il est vrai que forcément ce tome ci me parle plus, je suis née dans les années 70 et j'ai pris plaisir à revenir sur les temps forts de ces années là. Je n'ai pas vécue tout ce qui est en rapport avec l'avortement, certains faits m'ont parus aberrants. Et je suis un peu mal à l'aise car j'ai l'impression que nous revenons en arrière. Certains médecins refusent maintenant de pratiquer l'avortement alors qu'il y 45 ans des femmes se battaient pour ce droit. Nous avons pourtant le droit de décider de ce que nous souhaitons faire de notre corps, notamment dans le cas d'un viol.
Comme dans les deux précédents tomes, l'auteur nous explique de nombreuses choses en rapport avec ce que vivent Marianne et les siens. Ces apartés ne m'ont pas dérangées, au contraire elles apportent un vrai plus à la compréhension de l'histoire. Je pense que je me suis fait au style d'Alain Leblanc, tout simplement :)
J'ai vraiment adoré ma lecture, je suis très contente d'avoir pu lire cette trilogie en partie pendant mes vacances. J'ai lu le tome trois quasiment d'une traite et j'ai été triste de quitter Marianne et son entourage.
Les conquérantes est une excellente trilogie qui démarre en 1890 avec Les Chaînes pour se terminer de nos jours. Les personnages sont fouillées, nous avons des femmes fortes qui se battent pour leur indépendance, quelque soit leur époque. Les personnages masculins sont parfois détestables de part leurs idées rétrogrades mais ils sont hauts en couleur et on ne s'ennuie pas avec eux.
Je mets un énorme cinq étoiles à Un souffle d'indépendance, que je recommande sans aucune hésitation.
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Les Conquérantes est une trilogie qui va de 1890 jusqu'à nos jours. le premier tome relatait la vie de Clémence de 1890 à 1930, le deuxième, celle de sa fille, Noémie, de 1930 à 1960 et celui-ci, celle de Marianne, la fille de Noémie, de 1960 à nos jours. Il est possible de lire les tomes indépendamment. En effet, l'histoire n'est pas centrée sur la même génération et au début du livre, Alain Leblanc fait un rappel de tous les faits importants. Cependant, cette saga est tellement passionnante que je conseille de la lire dans son intégralité.


Marianne a eu la chance d'avoir une éducation libre. Contrairement à sa mère et à sa grand-mère, personne ne l'a obligée à se marier, elle a pu faire les études qu'elle voulait. Elle a choisi d'être avocate afin de se battre pour les droits des femmes.


Comme dans les autres tomes, le récit est chronologique, ce qui permet de comprendre et ressentir l'évolution de la société et des personnages. Une fois encore, cette moitié de siècle est riche d'événements marquants. le livre commence lors de la guerre d'Algérie, puis les révoltes étudiantes de mai 68, auxquelles participent les protagonistes, ensuite la guerre du Vietnam, celle du Koweït, etc. Au niveau sociétal, Marianne est de tous les combats : légalisation de l'avortement, pilule contraceptive, criminalisation du viol, lutte contre l'excision, égalité entre les hommes et les femmes, etc. Ce qui est formidable, c'est que des personnalités réelles font parties intégrantes de l'histoire. Marianne se bat aux côtés de Gisèle Halimi et de Simone Veil pour ne citer qu'elles. Ce qui est le plus effarant, c'est que de nombreux combats menés par ces femmes sont toujours d'actualité : les viols sont toujours correctionnalisés, des filles sont toujours excisées, les femmes sont toujours minoritaires dans les postes à responsabilités, etc.


Les hommes ont aussi évolué[…]


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Pour le troisième et dernier tome, une nouvelle fois, l'auteur redonne la voix à ces femmes et hommes qui ont changé les choses et ont fait évoluer nos modes de vie.

Dès le début, le récit nous accapare, d'autant que cette fois, il est susceptible de rassembler des lecteurs ayant directement vécu ces années-là. Il commence au début des années 60. Alors que la guerre d'Algérie bat son plein, les personnages que l'on connaissait déjà dans le deuxième tome s'expriment en faveur de l'indépendance du pays. Ensuite, comme vous vous en doutez, on assiste très vite à la révolution estudiantine de mai 68, à laquelle, nos personnages, toujours aussi progressistes, prennent part. Ils prônent des idées pacifistes face à la guerre qui sévit en Indochine et se battent pour la libéralisation des moeurs, notamment sur le plan sexuel : légalisation de l'avortement, démocratisation de la pilule contraceptive, criminalisation du viol. le roman est, cette fois, centré plus sur Marianne, petite-fille de Clémence (1er tome) et fille de Noémie et Guillaume (2ème tome). Engagée dans des études de droit, elle ne tarde pas à prendre sa part aux conflits sociétaux de l'époque : ceux déjà évoqués lors des manifestations de mai 68 mais aussi la lutte contre l'excision, le sida, la simplification du divorce et l'égalité salariale entre les hommes et les femmes.

Les personnages féminins sont tous extrêmement courageux, en proie à l'évolution de la société. Elles veulent que les choses changent et participent aux combats. Plus que dans les précédents romans -la chronologie oblige !-, les personnages masculins sont de plus en plus ouverts d'esprit. Ils prennent part aux causes féministes, et heureusement ! La plume de l'auteur est fluide, il entremêle avec brio la fiction à l'histoire de sorte qu'on se surprend parfois à se demander si Marianne, cette jeune stagiaire avocate, n'a pas réellement travaillé aux côtés de la grande Gisèle Halimi. L'histoire s'insère très bien dans le roman car on sent derrière la réelle documentation de l'auteur. Il sait de quoi il parle.

Sur la forme, je suis obligée d'enlever une demie étoile à ce roman que j'ai pourtant beaucoup apprécié car, dans une saga comme celle-ci, je ne comprends pas pourquoi la maison d'édition a fait le choix de ne plus suivre sa ligne de publication. Alors que les deux premiers tomes avaient dans leur titre la spécification du tome (1 et 2) et la période chronologique que ces romans couvraient, elle est absente du troisième. de même, pour la couverture qui a quelque peu changée, ainsi que la tranche et quatrième de couverture auparavant noires. Je trouve cela dommage dans la mesure où le lecteur, en tout qu'à c'est mon cas, quand il commence une saga en format papier, aime avoir une collection au même visuel.

Bien que ce roman soit arrivé à sa fin, il me semble pertinent de préciser que le combat des femmes, lui, ne l'est pas encore. La lutte a évolué évidemment et concerne désormais d'autres sujets mais tout n'est pas encore acquis. Alors, pour Clémence, Gilberte, Noémie, Ninon, Marianne et tous les autres : continuons ce combat, aux côtés des hommes, pour qu'enfin, hommes et femmes soient sur un pied strict d'égalité.

Je remercie chaleureusement Babelio et les éditions French Pulp pour l'envoi de ce formidable roman qui m'a permis de connaître l'entière saga. Surutout, je me dois d'avoir un petit mot pour l'auteur que je remercie pour avoir retranscrit si fidèlement la voix des femmes à travers les siècles.
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Magistrale… Cette fin de saga est tout simplement géniale. J'attendais le troisième tome de cette série d'Alain Leblanc chez FrenchPulp Editions depuis longtemps et je ne suis vraiment pas déçue du voyage.
Alors que le premier tome nous présentait Clémence née en 1890, mariée à un homme qu'elle ne connaissait pas et destinée à rester au foyer, nous assistions à la passionnante prise de pouvoir de cette femme sur son mari, sur la société, sur son destin. le second tome nous avait transportés dans la Seconde Guerre Mondiale aux côtés de Clémence et de ses filles, dont l'une revendiquait son indépendance et son engagement, Gilberte, et l'autre, Noémie, avait été mariée à un sympathisant de la politique d'Hitler. le dernier opus nous invite à découvrir la génération suivante, celle de Marianne (l'une des filles de Noémie), de ses soeur et cousines, dans la seconde moitié de ce XXe siècle, qui fut celui du début de l'émancipation féminine.
J'ai eu le plaisir de voir renouer l'auteur avec le type d'histoire que nous avions dans le premier tome, le deuxième tournant essentiellement autour des problèmes inhérents à la Seconde Guerre Mondiale en France (collaboration, résistance, protection ou délation des Juifs…). Ici, les conflits mondiaux, fort nombreux du reste, constituent une toile de fond sur laquelle les destins de Marianne, Lise, Carole, Anne et les autres s'écrivent peu à peu.
Et quel destin ! Cette période (des années 1960 aux années 2000) va être celle de la légalisation de l'IVG, de la multiplication des divorces, de l'entrée des premières femmes à l'Académie, au gouvernement, de la pénalisation du « viol » comme crime mais aussi celle de l'OAS, du SIDA, de l'immigration et de la découverte des traditions atroces comme l'excision, après les horreurs qui s'étaient multipliées avec les faiseuses d'anges. Carole, Marianne, Ninon ne sont pas que des témoins de tout cela, elles en sont des victimes, des actrices. Elles conquièrent difficilement un bonheur qu'elles ne trouvent toutes qu'après cinquante ans, forcées qu'elles sont, auparavant, de se battre pendant leurs études, contre leur(s) père(s), contre leurs maris qui deviennent souvent autoritaires et violents, contre la société qui peut leur retirer leurs enfants, contre la loi qui refuse de statuer sur tous ces trous béants dans la législation sur le statut des femmes. J'ai avec plaisir recroisé les personnages historiques centraux dans cette évolution.
Mais surtout, après l'ébranlement que furent les deux conflits mondiaux, ce ne sont pas seulement les femmes qui doivent se battre. Les combats de Marianne croisent ceux de Steve et des Américains contre la guerre du Viêtnam, des défenseurs des nationalistes pendant la guerre d'Algérie, des jeunes révoltés contre le système de 1968, mais aussi des homosexuels contre le Sida ou des pères qui, eux non plus, ne peuvent rien contre un divorce qui leur retire leurs enfants. Une vie et un bonheur qui s'arrachent dans le sang et dans les larmes.
Je pense sincèrement qu'il est nécessaire de rappeler à quel point nous, femmes d'aujourd'hui, sommes redevables à toutes celles qui se sont battue pour que l'on puisse épouser qui l'on veut, monter une société individuellement, avoir un compte en banque, mener ou non une grossesse à son terme, quitter un homme que l'on n'aime pas, porter plainte à la suite d'un viol et espérer que le coupable aille en prison pour longtemps.
Les héros de cette saga (parce que, oui, certains hommes aident les femmes dans leur lutte, ils sont même assez nombreux, le roman n'est absolument pas manichéen) sont à des postes stratégiques (cabinets d'avocat, gouvernement, hôpitaux, presse) et se dressent ainsi en témoins privilégiés des changements de la société.
Parallèlement à ce travail d'archive exceptionnel mené par l'auteur, Les Conquérantes se distinguent aussi comme une fiction aux qualités remarquables. Tous les personnages sont finement construits avec leurs histoires, leurs désirs, leurs traumatismes, leurs complexités. Leurs relations sont également d'une richesse rare : à l'amour familial s'ajoutent des antécédents générationnels, des intrigues qui ne les touchent même pas directement. Toutes ces données construisent une mosaïque de personnages hauts en couleurs et attachants.
La destinée de Marianne est vraiment palpitante. Privée très tôt de ses parents qui l'avaient éduquée dans l'idée que la révolte était nécessaire, elle va se construire comme l'opposé des autres femmes : elle ne veut pas se marier, elle ne veut pas forcément d'enfants… Pourtant la vie suit son cours : elle tombera amoureuse, elle fera des erreurs, elle sera heureuse… souvent, elle souffrira… beaucoup !
J'avais déjà été vraiment emballée par les deux premiers tomes mais celui-ci m'a définitivement conquise, je ne peux que chaleureusement vous le conseiller, vraiment !
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La suite des deux premiers tomes, on est après la seconde guerre mondiale, le monde se remet, les femmes continuent de lutter pour leur indépendance et surtout pour défendre leurs droits : à voter, à la contraception, à l'avortement… on vit l'évolution au travers de la vie de petite fille de l'héroïne du tome un jusqu'à nos jours…
Ce dernier tome est très prenant et « rapide » il s'est passé beaucoup d'événements et les pas mal de choses ont « évoluées » mais on constate qu'il y a toujours des « combats » à mener pour rendre le monde meilleur, et qu'hélas on ne tire pas assez de leçons des expériences du passées.
J'avais vraiment bien aimé le premier tome, le second était un peu trop détaillé à mon goût sur la seconde guerre mondiale et par contre le troisième et son rythme rapide survole, la guerre d'Indochine, du Vietnam, d'Algérie, les problèmes en Afrique, les combats pour la contraception et l'avortement, les maladies en l'occurrence le SIDA… l'évolution de la vie politique en France…
C'est un roman très complet et instructif, certes les héros sont « fictifs » mais c'est l'histoire de la vraie vie qui y est racontée avec les tous les combats et luttes qui ont pu être menés. Un cours d'histoire résumé dans cette trilogie et très agréable à lire.
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Quand j'ai reçu Un souffle d'indépendance, j'ai été ennuyée. Non, pas parce que le livre ne m'intéressait pas (sinon je ne l'aurai pas demandé lors de la Masse Critique de Babelio de septembre) mais plutôt parce qu'il s'agissait d'un dernier tome d'une trilogie. Ennui vite évaporé quand j'ai compris qu'on pouvait le lire sans connaître les deux premiers tomes (ouf !!!).

Dès les premières pages, Alain Leblanc nous plonge dans l'action de l'Histoire. Nous sommes au début des années 1960, en pleine guerre d'Algérie. Puis on enchaîne avec la révolution estudiantine de mai 1968, la guerre d'Indochine, la libération des moeurs (légalisation de l'avortement, démocratisation de la pilule contraceptive, criminalisation du viol, …).

Le roman est centré sur Marianne, étudiante en droit, elle prend part aux conflits sociétaux de l'époque. Les personnages féminins de Un souffle d'indépendance veulent que les choses changent, prennent part aux combats, insufflent un souffle nouveau à la société. Les personnages masculins ne sont pas en reste. Ils prennent part aux causes féministes, eux aussi.

La plume de l'auteur est fluide, agréable à lire et il est difficile de lâcher le roman une fois que l'on est plongé dedans. D'ailleurs je l'avais pris pour le quart d'heure de lecture quotidienne et j'ai vite laissé tomber, tellement j'étais frustrée au terme des quinze minutes de ne pouvoir continuer à lire !

Alain Leblanc entremêle parfaitement ses personnages à l'Histoire contemporaine de la France. Parfois on se demande même si ses personnages n'ont pas réellement existé pour prendre part aux évolutions de la société.

Un grand merci à Babelio et à French Pulp Editions pour l'envoi de ce roman qui m'a donné envie de découvrir les aïeules de Marianne dans les deux premiers tomes de cette série, Les Conquérantes.
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Marianne, c'est la troisième génération de la famille et bien que les temps aient changé, que les moeurs soient plus douces et que la place de la femme semble être plus mise en avant que dans le passé, elle doit elle aussi, comme ses aïeules, lutter chaque jour pour que sa voix compte. La guerre du Vietnam, les étudiants dans Paris, l'IVG seront pour elle des combats au quotidien. Face aux injustices ou la maladie, entre sida et excision, elle devra garder le cap, comme elle l'a promis à son père, militant de la première heure.
Quel bel été passé avec ces trois tomes des conquérantes, un siècle d'histoire du point de vue des femmes et que de combats ne reste-t-il pas à mener au monde ? Un souffle d'indépendance mais aussi un souffle d'espoir pour les générations montantes.
Superbe écriture fine et intelligente, cultivée aussi bien sûr. A recommander !
merci Mélie de @frenchpulpeditions
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Petite déception pour moi, autour de ces éditions Pulp qui m'attiraient tant. Quelle pauvreté dans l'écriture de la part d'Alain Leblanc. C'est d'un ennui. Tout est simple, pour ne dire simplet. Sujet, verbe, complément. C'est d'une tristesse. Aucune friandise à se mettre sous la dent, on peine à extraire une citation digne de ce nom. C'est fade. Premier degré. Sans saveur. Trop sage pour m'emporter totalement.

Et pourtant, les thématiques sont attractives, il n'y a pas de doute. le fond est traité, l'envie de personnages féminins forts, d'une trame historique, mais personnellement, le sujet ne me suffit pas. J'ai besoin d'auteurs, d'une patte d'écrivain, d'une personnalité qui transpire entre les lignes, de gourmandise dans la prose, de générosité, de trouvailles d'écriture. Je n'ai pas ressenti ça ici, juste un devoir propret, une histoire bien documentée, un docu-fiction très correct, mais sans portée littéraire.

Et alors, l'attitude des éditions French Pulp est assez vomitive pour être signalée : le livre est couvert en grosses lettres de l'inscription "Service de presse, ne peut être vendu" ! Les médias s'alarmaient il y a peu de grands magasins parisiens qui meurtrissaient au cutter les chaussures invendues, French pulp éditions meurtrit les livres qu'il soumet aux masses critiques Babelio. Une bien belle image de la maison, un bel état d'esprit. Personnellement, je suis déçue.
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