Ce livre est une véritable merveille, l'essayer c'est l'adopter. Il est également la preuve qu'avec des choses simples on arrive à des résultats extraordinaires. Avec mes collègues à la librairie on ne se lasse pas de jouer avec.
Pas d'illusion perdue ici!
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Le côté animation est extraordinaire : une méthode si simple, et si ancienne, pour voir la ville s'animer devant nos yeux, avec de très beaux effets d'optique.
Mais je regrette un texte vraiment basique, et même pas les noms des lieux : par exemple, pourquoi parler d'"un parc en plein centre" au lieu de nommer Central Park ?
Un bon album à emprunter à la bibliothèque, pour voir les yeux des enfants s'éclairer devant ces animations insolites, mais je ne regrette pas de ne pas l'avoir acheté, car je pense qu'il n'aurait pas été utilisé longtemps.
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Il est vraiment dommage de n'avoir pas mis cet ingénieux procédé au service d'une VRAIE aventure à New York. En effet, si les illustrations animées sont étonnantes, le récit lui est très sommaire et assez plat.
Passé le moment de curiosité, ma fille s'est vite désintéressée de cet album dont l'histoire ne l'a pas du tout faite rêver.
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Premier tome de la série des « pyjamarama » et une belle découverte pour moi !
Ca faisait un moment que je voyais ces albums sans pouvoir prendre le temps de jouer avec… Et voila qui est fait (grâce à ma BMI que j'aime !)
Je comprends l'engouement pour cette série : on survole la ville dans tout ce qu'elle a de fascinant et d'un peu inquiétant parfois… en pyjama à rayures ! bon j'aurais aimé un pyjama a pieds aussi mais ça ne fonctionnerait pas haha
Le système d'illusions d'optiques qui anime toutes les pages fonctionne très bien : à différentes vitesses, en avant ou en arrière. On a des effets de déplacement, de rotation, d'ondulation… en un mot c'est superbement géré ! L'histoire est mignonne et voyager dans ses rêves c'est après tout le meilleur qu'on souhaite aux enfants que l'on force à aller se coucher !
Le tout avec un petit coté rétro (un clin d'oeil à Little Nemo aussi) qui fait plaisir.
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A première vue, un album tout ce qu'il y a de plus banal. Une couverture grise affichant un bonhomme bleu en pyjama, à l'allure particulièrement réjouie. Mais quand même, on s'interroge : pourquoi New York ? Pourquoi en « pyjamarama » ? Et puis « des images qui s'animent comme par magie », qu'est-ce que cela veut dire ?
Grâce à son pyjama à rayure, on va suivre le petit garçon dans ses rêves. Une très ancienne technique d'animation, l'ombro-cinéma, nous permet de basculer dans New York où l'on va découvrir un monde foisonnant toujours en mouvement.
Complètement bluffant ! Une super réussite.
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Michaël Leblond utilise ici avec ingéniosité l’ombro-cinéma – une technique d’animation ancienne – qu’il met au service d’un texte rythmé et typographié à la verticale quand il transcrit les éléments du rêve. De même, le travail graphique de Frédérique Bertrand – réalisé à partir de dessins découpés – s’intègre harmonieusement à l’ensemble de l’ouvrage.
Lire la critique sur le site : Ricochet
Avec sa couverture de carton gris imprimée en bleu, l'album pourrait bien passer inaperçu en librairie. Ce serait rater un petit trésor d'ingéniosité, porté par une haute dimension artistique.
Lire la critique sur le site : LeSoir
- Bonne nuit bonhomme ! Il faut éteindre la lumière maintenant.
- Bonne nuit papa !
Tout est noir...
Heureusement, le pyjama à rayures est le costume idéal pour filer sous les couvertures
YOUPLA ! Quand c'est le moment d'aller se coucher, on peut commencer à rêver...
Vous me suivez ?
- Bonne nuit bonhomme !
Il faut éteindre la lumière maintenant.
- Bonne nuit papa !
Tout est noir...
Heureusement, le pyjama à rayures
est le costume idéal
pour filer sous les couvertures.
New-york est une ville vraiment incroyable. Pourvu qu'on est le temps de tout voir...
FCHHHH...
un chuchotement dans les arbres.
Nous voici dans un parc en plein centre. Ouf ! Ici c'est plus calme.
Et voilà l'avenue la plus animée de New York !
Dans la file d'attente, les gens se pressent pour aller au spectacle.
"New York en pyjamarama" de Michaël Leblond et Frédérique Bertrand