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Critique de Elamia
C'est toujours un plaisir de plonger dans l'univers médiéval. Surtout lorsqu'il est aussi réussi que celui proposé par Camille Leboulanger. Merci de tout coeur à Babelio et aux éditions Libretto pour l'envoi de cette petite pépite littéraire.
Le papier et l'écriture ayant complètement disparu, le rôle des musiciens est d'autant plus grand. Ils sont les seuls à pouvoir colporter la mémoire du monde. Ils apprennent leur art à la citadelle avant de partir sur les routes où ils mettront un point d'honneur à diffuser histoires et épopées. Lorsque Bertram se fait dérober son instrument c'est donc catastrophique pour lui. Il perd à la fois son seul moyen de subsistance mais aussi, sa seule raison d'exister. Il est complètement voué à son art. Dès le départ, je me suis prise d'affection pour ce musicien désespéré et pour sa drôle de compagne. Tous deux forment un duo atypique et touchant.
Sous un scénario à première vue, très simple, se cache en réalité une vraie petite pépite. Bertram le baladin n'est pas seulement l'histoire d'un musicien qui a perdu son luth et qui va tout faire pour le retrouver. Non, c'est bien plus que cela. C'est une quête des origines, la quête pour un nom perdu, mais aussi une ode à la musique. L'auteur trouve les mots justes pour décrire les sensations d'un musicien exalté par son art. Camille Leboulanger est un jeune auteur qui manie les mots avec un talent et une maturité accomplie. Il nous propose ici une aventure rocambolesque qui cache une grande sagesse et surtout, beaucoup d'émotions.
Le papier et l'écriture ayant complètement disparu, le rôle des musiciens est d'autant plus grand. Ils sont les seuls à pouvoir colporter la mémoire du monde. Ils apprennent leur art à la citadelle avant de partir sur les routes où ils mettront un point d'honneur à diffuser histoires et épopées. Lorsque Bertram se fait dérober son instrument c'est donc catastrophique pour lui. Il perd à la fois son seul moyen de subsistance mais aussi, sa seule raison d'exister. Il est complètement voué à son art. Dès le départ, je me suis prise d'affection pour ce musicien désespéré et pour sa drôle de compagne. Tous deux forment un duo atypique et touchant.
Sous un scénario à première vue, très simple, se cache en réalité une vraie petite pépite. Bertram le baladin n'est pas seulement l'histoire d'un musicien qui a perdu son luth et qui va tout faire pour le retrouver. Non, c'est bien plus que cela. C'est une quête des origines, la quête pour un nom perdu, mais aussi une ode à la musique. L'auteur trouve les mots justes pour décrire les sensations d'un musicien exalté par son art. Camille Leboulanger est un jeune auteur qui manie les mots avec un talent et une maturité accomplie. Il nous propose ici une aventure rocambolesque qui cache une grande sagesse et surtout, beaucoup d'émotions.
