L'ouvrage n'est pas inintéressant mais il est à prendre avec des pincettes. Déjà le titre soit il est mal choisi soit ce sont certaines protagonistes qui ne doivent pas s'y trouvé. Car si une
Elisabeth Bàthory correspond au terme de cruauté pour une
Leïla Khaled c'est moins explicable. Avec un tel titre, il fallait s'attendre à des portraits tapageurs et c'est le cas. L'auteur a pris l'option de prendre les sources qui donnent les pires portraits de ces femmes et ça se voit dès le début puisque pour Messaline il opte que pour les récits de
Suétone et Tacite et pour Boadicée c'est à nouveau une seule source qui a été privilégiée. Ce n'est pas dérangeant car on s'y attend avant de lire le livre mais il est important d'approfondir cette lecture par la suite avec d'autres ouvrages. Pour moi c'est un ouvrage intéressant dans son optique et qui peut servir de base.