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Critique de Lesratsdebib


Comme vous commencez à le savoir, pour ceux qui suivent mes chroniques (notamment celles de Liane Moriarty et ses bouquins), j'aime bien parler des lectures faites pendant mes nombreuses vacances.
Cette fois-ci, c'était en Inde (oui, je suis contente de l'avoir cassée, tout de suite, mon moral est remonté en hausse, c'est fou), et pour des raisons complètement bêbébiles, je m'étais procurée le tout dernier d'Agnès Ledig. Alors les raisons :
1. En vacances, pas de lecture prise de tête, envie j'avais.
2. La protagoniste a le même prénom que moi, et ça, inédit c'est. Et ça, grande motivation d'achat, ce fut.
3. D'Agnès Ledig, jamais je n'en avais lu, découverte c'était.
Avant de vous faire un résumé approximatif grâce aux bribes de souvenirs qu'il me reste, je tenais à m'excuser par avance, cela fait...attendez, un, deux...un mois et demi que je l'ai lu, donc l'histoire est en train de redevenir floue dans ma tête, avant de partir aux oubliettes, contrairement à mon ressenti de lecture qui, lui, est intact. Sais pas si vous aussi ça vous le fait ?
Alors, Anaëlle est un jeune fille (comme moi, hihi ^^) qui échange des lettres avec un procureur, Hervé, d'abord pour lui demander des conseils – parce qu'elle écrit un roman policier – et ensuite de manière très privée. Anaëlle cache un événement de son passé, et sans vous raconter toute l'histoire, disons qu'à ce moment, elle se reconstruit mentalement et physiquement. Et en parallèle, on a Thomas, un passionné de nature et d'arbres, qui s'occupe de son petit frère qui a de graves soucis de santé.
C'est plein de bons sentiments, dépeints avec une certaine naïveté mignonne, mais qui n'a pas su m'émouvoir de plein fouet comme d'autres lectrices. Peut-être parce que ce n'est pas assez bien décrit...c'est un ressenti très personnel, bien entendu que j'ai été émue, mais on va dire que j'ai plus sourit et je me suis plus sentie investit dans la correspondance entre Anaëlle et Hervé (pardon Thomas).
Et alors, une interrogation à laquelle l'auteur ne répond jamais, et qui du coup, ne m'a pas lâché tel un moustique me tournant autour toute une nuit – pour les personnes ne souhaitant pas être spolier, ne lisez pas, pardon je ne sais pas comment on cache un passage - : Comment Anaëlle est en capacité de conduire avec une prothèse à la jambe droite (si j'ai bien compris que c'était bien sa jambe droite), parce que même avec une voiture automatique, on utilise ce pied, ou alors elle a une voiture conçue exprès pour elle, mais jamais ce n'est dit, du coup je me demande sans cesse : comment c'est possible ?
Lecture finie dans l'avion du retour, qui me marquera certainement moins que mon voyage en Inde et le piment que j'ai mangé goulûment sans savoir ce que c'était et qui m'a allumé la bouche pendant plus d'une heure. Je retenterai peut-être un autre de cet auteur, mais une chose est sûre : ce n'est pas parce que la protagoniste porte le même prénom que moi que c'est signe de qualité. Jusqu'à preuve du contraire...m'enfin c'est mieux si j'arrête de me faire stupidement avoir par des arguments pareils ! C'était la conclusion du jour !
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